Madame Stone se tourne vers moi. J'ai un petit mouvement de recul. Elle me dit :
— Vous voyez, pour que la
punition soit efficace, il ne faut pas se dépêcher. La douleur met un moment à
se répandre et puis il y a l'appréhension des coups à venir...
Elle en parle avec
gourmandise. Pas de doutes, elle adore faire ça.
— On continue, Moucheron ?
— Ouiii, Madame.
Moucheron est toujours les
fesses en l'air, tremblante et gémissante. Le fouet claque deux fois de plus
sur ses fesses déjà bien rouges. Là, elle reconnaît qu'elle est une voleuse, ce
qui est sûrement faux. Deux coups de plus et ses fesses s'ornent de nouvelles
bandes du plus joli effet. Moucheron dit qu'elle mérite ces deux coups parce
qu'elle suçait la bite de son frère et de son père. Oh ! Ça plaît à Madame
Stone, ça. Elle lui dit :
— Tu aimais faire ça ?
— Oui Madame, j'aimais les
sucer et leur lécher le cul...
— Bon, la punition est
terminée... À condition que tu me remercies comme il faut.
Moucheron se jette aux pieds
de Madame Sone et couvre ses chevilles de baisers en la remerciant de l'avoir
fouettée. Aucune fierté, ces esclaves. Madame Stone dit :
— Remettez-vous toutes au
travail, sauf Banane. Tu viens avec moi.
— Oui Madame
J'ai l'impression que Banane
va se retrouver entre les cuisses de Madame Stone dans peu de temps. Je lui dis
:
— Je voudrais garder
Moucheron, le temps de faire un selfie.
Elle fait un geste, genre
"rien à foutre". Elle est vraiment désinvolte avec moi. Je réglerai
ça plus tard. Moucheron vient se mettre à côté de moi, elle a peur. Je lui dis
:
— Montre tes fesses, je vais
faire un selfie.
Je m'assieds et je mets mon
visage à côté de ses fesses toutes rouges. Je fais quelques photos, pour le
site de Sandra Mae. Je mets la main sur ses fesses, elles sont brûlantes, c'est
mignon. Je lui demande :
— Quelle est la fille qui
lèche le mieux ?
— Je crois que c'est
Poussière, Maîtresse.
Oui, je pense à Madame Stone
qui s'envoie en l'air sous la langue de Banane et pourquoi pas moi ? Je lui dis
:
— Va la chercher.
— Oui Maîtresse.
Poussière arrive bientôt.
C'est une jolie Hispanique. Je lui dis :
— Suis-moi.
— Oui, Maîtresse.
On va sur la terrasse.
Toujours nue, je m'assieds dans un des fauteuils et pose un pied sur le bord de
la table. Je lui dis :
— Déshabille-toi !
Quand elle est nue, je lui montre ma chatte du doigt. Poussière se met aussitôt
à genoux entre mes jambes et elle couvre ma chatte de baisers...
— Une fille, sur la terrasse.
Une fille arrive aussitôt, je
ne me souviens pas de son nom. Je lui dis :
— Café.
— Oui Maîtresse...
Oooh ! J'ai l'impression que
la langue de la fille me caresse le nombril... de l'intérieur, tellement elle
va loin. C'est cool, la vie ici. Même pour les esclaves ! Prenez Poussière :
elle a le grand honneur de me lécher la chatte. Des millions de spectateurs de
Cléopâtre rêvent d'être à sa place. Bon, il y a Madame Stone et le fouet, mais
ils sont spécialement étudiés pour ne pas blesser. Je crois que les esclaves
font beaucoup de cinéma... Poussière se démène et je m'apprête à larguer les
amarres et à voguer vers une mer de félicité, quand Summer arrive essoufflée et
en sueur. Elle me dit :
— Viens avec moi.
— Mais...
— Je dois répéter ?
Je repousse Poussière, je me
lève et je suis Summer. On va dans "sa chambre". Là, elle enlève son
short en jean en disant :
— Ce truc est trop étroit ou
alors j'ai grossi. L'entrejambe n'a pas arrêté de me masturber pendant que je
courais.
Elle se couche sur le lit, les
jambes écartées, sa chatte humide bâille un peu parmi les poils noirs. Pas
besoin d'un dessin je me transforme en Poussière et je lèche sa chatte aux
senteurs marines puissantes après le jogging et avant la douche. J'ai l'habitude
et j'aime bien, même si aujourd'hui, c'est fort... Je la lèche, suce ses
grandes lèvres, enfonce ma langue dans son vagin et son anus. Elle me donne une
claque sur la tête en disant :
— Pas de fantaisies, clito !
Je le suce doucement tout en
le léchant et quelques minutes plus tard, elle serre ma tête entre ses cuisses
et jouit... Quand elle les desserre, je dois avoir les oreilles toutes rouges.
Elle me dit :
— Tu ne vas pas passer ton
temps à te faire lécher par toute les esclaves, tu as des scénarios à lire.
Demain, jogging à 8 h.
C'est un comble, je dois la
lécher et elle, elle m'empêche de jouir. Elle doit voir que je râle, ce qu'elle
ne supporte pas. Et, évidemment, c'est là une nouvelle occasion de me montrer
quelle est ma place. Elle me prend par la nuque, on est à nouveau les yeux dans
les yeux, je les baisse, tandis qu'elle me dit :
— D'ailleurs, je veux que tu
me demandes la permission pour jouir... Et puis, va te laver le visage, tu sens
la chatte pire qu'un congrès de gouines !
Je vous rappelle qu'elle est
armée et qu'avec elle, je ne crains rien.... cela vaut bien quelques
humiliations. Ce qu'elle veut, c'est me contrôler. Elle est payée par Sam pour
s'occuper de moi et elle fait bien son job, voire trop bien. D'un autre côté,
je suis contente qu'elle me demande de la lécher, plutôt que la première
esclave venue...
***
Je deviens célèbre. Je suis
interviewée par différentes chaînes de télé et j'ai de plus en plus de fans.
Summer me fait lire, enfin parcourir, un scénario par jour... Je dois dire que
ma vie ici me plaît. Tous les jours, j'assiste à la punition de la servante qui
a démérité, puis je me fais lécher par une des huit filles... Pas celle qui
vient d'être fouettée : je n'ai pas envie qu'une fille en larme et avec le nez
qui coule le fourre dans ma chatte.
L'après-midi, je fais des
courses avec Summer, on va à la plage et on rejoint souvent nos amis à Venice.
Les gens me reconnaissent et font des selfies...
Cependant, Monsieur Sam
s'impatiente. Il nous a convoqués dans son bureau, la semaine prochaine.
***
Ce midi, Summer a un message
et elle me dit :
— Ce soir tu es invitée à une
soirée à l'hôtel du "Slave Paradise."
— On va à quelle heure ?
— Je ne suis pas invitée...
— Alors, j'y vais pas.
Soupir exaspéré de Summer qui
me dit :
— Monsieur Sam insiste. Il y
aura des gens importants qui veulent te rencontrer.
Je ne réponds pas... elle
ajoute :
— Je te conduis jusqu'à
l'hôtel... et je viens te rechercher.
Je soupire et réponds :
— Bon, d'accord.
L'après-midi, on m'apporte la
robe que je dois mettre. C'est une robe blanche tellement transparente qu'on
pourrait lire ce qui est écrit sur l'étiquette de ma culotte... si j'en avais
une.
Vers 20 h, on est dans le
parking du Slave Paradise. On embrasse les gardes qu'on connaît. En chemin vers
l'hôtel qui est au bord de la mer, je me colle à Summer. J'ai pas envie d'aller
seule. L'hôtel est très éclairé. Il y a des servantes en uniforme un peu
partout. Venant d'un salon, on entend de la musique, des rires... Je dis à
nouveau :
— J'y vais pas sans toi.
Elle ne râle pas, mais elle
s'éloigne et téléphone. Je suis assise dans un canapé, les bras croisés en mode
"J'irai pas". C'est vrai quoi, je suis une vedette et j'ai besoin de
ma garde du corps... Je lui dis :
— Ils vont t'inviter et...
Et là, un homme entre dans la
pièce. Il est... quelconque... Il s'approche de moi, je me lève et il prend mes
mains dans les siennes en disant :
— Ravi de vous rencontrer,
Mademoiselle Stirland.
Il me baise la main.
— Je suis ravie aussi...
mais...
Je le connais ! Je lui dis :
— Vous êtes... euh... un
sosie ?
Il rit et répond :
— Non, non, je suis le vrai.
— Désolée, Monsieur le
Président, je m'attendais si peu....
— J'ai vu votre film et je
vous ai trouvée sublime... J'ai eu envie de vous rencontrer pour vous baiser...
la main.
— La main et le reste, si vous
le désirez, Monsieur le Président.
Il rit. Vous vous rendez
compte : je fais rire le Président des États-Unis, l'homme le plus puissant du
monde... après le Président Chinois, bien sûr.
Il s'éloigne un peu de moi
pour me regarder et dit :
— Tu es ravissante. Tourne...
Je prends des poses de pin up
de dos et de face. Il ajoute :
— Tu es d'accord pour
m'accompagner à cette soirée. ?
— Je vous suivrais jusqu'au
bout de monde Monsieur le Président.
Il rit à nouveau. Je lui dis :
— C'est que je ne suis pas
très habituée aux mondanités. Je suis née à la campagne...
— Je sais, tu es née et tu as
vécu à Notasulga, tu es très intéressée par les esclaves, tu as envie de
devenir une star ou alors d'épouser un homme riche et de vivre dans une grande
maison coloniale avec beaucoup d'esclaves... Ah oui, et tu as la trouille dès
que tu es loin de Summer...
Je le regarde, bouche bée et
les yeux ronds. Summer me dirait : ferme la bouche, Ashley. Il est devin ou alors
la CIA surveille mes moindres faits et gestes. Il me dit :
— Viens...
Il me prend par le bras, une
servante nous ouvre la porte et je fais mon entrée dans une robe transparente
qui doit venir d'un sex-shop, mais je suis au bras du Président des États-Unis.
Quand j'entre dans la pièce,
tout le monde nous regarde. C'est intimidant sauf si on est au bras du
Président. À moins que... je me tourne vers lui en disant tout bas :
— C'est sûr que vous... êtes
bien le Président ?
— Mais, oui, Ashley. Tu veux
voir le drapeau américain qui est tatoué sur mes fesses ?
Il rit... moi aussi. On est
amis !
Dans la pièce, la première
chose que je vois, ce sont quatre derrières de filles. Elles sont attachées sur
une structure composée de deux barres asymétriques. Une haute sur laquelle
elles sont appuyées et une très près du sol pour attacher leurs poignets. Elles
sont bâillonnées au moyen d'une balle dans la bouche, un accessoire pour le bondage.
Les filles sont nues et elles ne ressemblent pas à des esclaves, car elles sont
bien coiffées et maquillées. Je fais un gros effort pour détacher mes yeux de
ce spectacle. Je regarde les gens, Monsieur Sam vient à ma rencontre en disant
:
— Bienvenue Ashley. Notre
Président avait très envie de te rencontrer.
Je l'embrase et réponds :
— Oui... euh... moi aussi...
N'importe quoi, Ashley ! Mais,
bon, je n'ai pas l'habitude des mondanités. Madame Wolf est là avec sa bête
copine, Sara, je crois.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan
pour les super dessins.
Les
tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" et les 2 tomes de "Samia,
filles du voyage sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
D****, très sensuelle et erotique toutes ces chattes
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