samedi 7 novembre 2020

Ashley - 28 Un pique-nique.

 Summer lui dit :

— Ne tirez pas, Monsieur. On va tout vous donner. Mon portefeuille est dans mon sac, je peux le prendre ?
— Oui, mais grouille-toi, connasse !
C'est ça Summer qui fait peur à tout le monde ? Elle a l'air terrifiée. Les autres aussi, même Carl et Zoé, qui enlève ses bijoux. Summer fouille dans son sac. Et, l'instant d'après, il y a 3 détonations presque simultanées et les trois mecs nous regardent avec un air idiot et un trou rond dans le front. Oh putain !! Je regarde Summer, elle a un revolver à la main. Elle vient de les tuer tous les trois. Carl lui dit :
— Bien joué !
Les autres aussi la félicitent. C'est la première fois que j'assiste à un meurtre et c'est un triple meurtre. Summer prend son iPhone, cherche un moment, puis me montre le site de la police de LA. Je vois les photos des trois types et en dessous il est écrit "Ces hommes sont soupçonnés d'avoir tué plusieurs personnes". Je regarde Summer et avec une voix tremblante, je bafouille :
— Tu... euh... nous...
Je dois avoir l'air totalement affolée. Il y a de quoi. Elle me dit :
— Tu as chauffé cette fille, maintenant fais-la jouir. ALLEZ !
— ... Oui... euh...
Zoé s'est couchée et je vais me mettre entre ses cuisses. Je la lèche... machinalement, pour faire ce que Summer me dit... Je revois les trois têtes de ces mecs avec un trou sanglant. Heureusement, je reprends mes esprits, le visage dans la chatte de Zoé.
  

Je la lèche soigneusement et j'arrête de penser à tout ce qui vient de se passer. Carl dit à Summer :

— Tu vas toucher une récompense ?
— Non, il n'y en a pas encore et puis on va perdre du temps, si on appelle les flics. Vous êtes tous d'accord ?
Ils sont tous d'accord, genre "les flics, au moins on les voit, au mieux on se porte". Moi, je ne réponds pas car j'ai la langue dans une chatte.
Zoé parle et rigole ! Eh ! C'est vraiment désinvolte de faire ça pendant que je la lèche. Attend, toi, je vais t'apprendre ! Je m'occupe soigneusement de son clito et rapidement, son bassin parle pour elle : il vient au-devant de ma langue... Je le suce doucement et elle me caresse la tête en disant :
— Pas mal petite... si un jour Summer te vend...
Elle veut sans doute ajouter "je t'achète", mais les mots lui restent dans la gorge. Ma bouche va et vient sur son clito tandis que je le suce... Elle gémit enfin... et elle ne tarde pas à jouir en serrant mon visage entre ses cuisses. Elle a de la force !
Et là, j'entends des gens parler. Oh non ! Ce n'est pas possible. Je sors de la chatte de Zoé, le bas du visage humide et je vois 5 Asiatiques, 4 hommes et 1 femme. Mais qu'est-ce qu'ils viennent faire ici ? Summer discute avec eux, elle explique qu'on tourne une scène d'un film porno. Ah, OK, ils font des grands sourires et des courbettes, c'est signé made in Japan, ça. Un des hommes lui dit :
— Est-ce qu'on peut faire des photos de l'actrice ?
— Pas de son visage, car elle est sous contrat, mais de ses fesses, oui, et c'est ce qu'elle a de mieux. Ou alors...
Elle dit à la fille qui est avec eux :
— Donne-moi ton foulard.
La fille le lui donne. Summer vient derrière moi et met le foulard sur mon visage, juste en dessous des yeux. Je serai la beauté masquée et... Oh, Putain ! Les corps, qu'est-ce qu'ils en ont fait ? Je murmure :
— Ils sont où ?
Summer répond :
— Dans la flotte
Aah, cool ! Ils les ont jetés dans le torrent et je ne m'en suis pas rendu compte. Avec mon foulard sur le bas du visage, je prends des poses pour les Japonais qui font des photos et des selfies. Les photos vont être spéciales, eux avec une beauté nue et masquée. J'en oublie un peu que j'ai failli mourir deux fois aujourd'hui, d'abord au bout de mon élastique et ensuite avec ces trois malades voleurs, violeurs et tueurs.
Je suis faite pour l'aventure, mais bien collée à Summer. Tout en montrant mes fesses aux Japs, je me dis que je ne veux plus jouer les aventurières. Je suis une vedette. Summer leur dit :
— La petite va se rhabiller et manger.
Ils la remercient.  Elle me dit :
— Rhabille-toi, puis enlève ton foulard.
Ben, oui, évidemment, je ne suis pas conne ! Je mets mon jean et mon tee-shirt et j'enlève ce bête foulard. Sandra Mae a des sandwichs dans son sac tandis que Carl a des boîtes de bières. On s'installe en rond comme des gentils scouts, enfin, des scouts, dont un est capable de descendre 3 mecs ! On mange, on boit... Johnny et Sandra Mae remercient encore Summer.  Quand on a fini de manger, Zoé cherche quelque chose dans son sac et je vois briller un objet... c'est un revolver ! Je lui dis :
— Vous... euh... vous êtes aussi armé ?
C'est Summer qui répond :
— Pas trop haut, Ashley. Ils sont aussi, disons, des chasseurs de primes. J'étais prêt de mon sac, sinon ils les auraient descendus aussi facilement que moi.
Hé bien, voilà... Moi, j'ai une brosse à cheveux dans mon sac, elles un flingue ! Je vois que Zoé s'est fait un joint. Elle tire une bouffée et me le passe. Je dis à Summer :
— J'ai sauté, je peux... steupléééé...
— Exceptionnellement, oui.
Les Japonais ont installé leurs élastiques et ils sautent en criant « banzaï ! » ou un truc du genre. Pourvu que leurs élastiques soient solides, j'ai vu assez de cadavres aujourd'hui. On boit et Zoé et moi, on fume... Pique-nique relax entre amis. Je pense à un tableau de Manet "Le déjeuner sur l'herbe", dont j'ai vu une reproduction... Trois hommes discutent, tandis qu'une femme pisse dans une rivière et une autre femme, nue, fixe le spectateur avec désinvolture. C'est moi, j'étais nue il y a un quart d'heure. Cette femme est sûrement une prostituée. Au moment où je pense à ça, un Japonais dit à Summer :
— Mademoiselle, sans vous offenser, si l'actrice porno me fait une fellation, je vous donne 200 $.
Alors là, je vois bien Summer le descendre pour son incorrection. Ah, non ! Elle répond :
— D'accord, mais c'est 250 $
Elle se tourne vers moi en disant :
— Va sucer le Monsieur.
Non, mais... ça va pas la tête ? Jamais ! Je ne suis pas une pute... Elle dit :
— Je dois répéter ?
Je vais me mettre à genoux devant le Japonais, qui a l'air tout à coup beaucoup plus grand. Il est du genre sportif, mais pas séduisant du tout. Il est gentil, voire obséquieux avec Summer, nettement moins avec moi. Il me dit :
— Sors mon sexe et suce-moi.
Summer nous a sauvé la vie et je suis rassurée avec elle, même si elle m'oblige à me prostituer un peu ! Je suis trop lente, le Japonais sort son sexe de son pantalon et il me donne une bifle en disant :
— Qu'est-ce que tu attends ?
Une bifle, c'est une gifle avec une bite. Je pousse un petit cri pour lui faire plaisir et je tire sur la peau pour dégager le gland. Il n'est pas très propre et il me dégoûte, alors je prends son sexe en bouche, de cette façon il sera propre dans quelques minutes. Je n'ai pas envie de traîner avec sa bite en bouche, aussi je le suce soigneusement et je caresse ses couilles... Son sexe doit faire environ 16 cm et quand il est au fond de ma bouche, j'ai mon nez dans ses poils. Allez mon gars, pense à ton empereur ou aux petites salopes de ton pays déguisées en écolières et en soubrettes : jouis ! Vite !

 


Summer lui demande :

— Ça va, elle suce bien ?
— Oui... oui... mademoiselle... et elle avale ?
— Bien sûr, c'est une actrice porno !
Mais non, y a quelques jours, j'étais adulée par toute une foule. J'ai pas du tout envie d'avaler quoi que ce soit venant de ce mec, mais je ne suis pas équipée pour résister à Summer. L'homme est très excité à l'idée que j'avale. Bientôt, il pousse des petits cris en nippon et il arrose mes amygdales de son sperme. J'avale tout en plusieurs fois. Dès qu'il sort de ma bouche, son copain le remplace... Il est rasé lui et il bande, il met sa bite dans ma bouche en disant :
— Regarde-moi !
Je lève la tête et je le regarde avec sa bite en bouche. Pas très confortable. Il me donne des ordres, comme un client pas poli s'adressant à une pute... Non, même pas, les clients de "House of Pussies" étaient sympas. Lui, il me traite comme si j'étais une esclave ! Je le fais pour obéir à Summer.
Je me dis, pourvu qu'on ne voie pas arriver une meute de scouts (de plus de 18 ans, bien sûr). Je ne sucerai pas la meute ! Si je me mets à penser à ce genre de conneries, c'est que ça va mieux. Je caresse les couilles du Japonais et je le suce encore pendant plusieurs minutes. Enfin, il jouit dans ma bouche tout en me regardant dans les yeux. J'avale mais j'espère que c'est le dernier, aujourd'hui. Un des Japonais s'excuse, il est fidèle, l'autre est gay et la fille n'a pas de bite. Merci, mon Dieu. Le premier Japonais que j'ai sucé donne 500 $ à Summer. Elle dit :
— Avec l'argent qu'Ashley a gagné en suçant des bites, on va faire la fête.
Les autres sont ravis et la remercient ! Pendant qu'ils discutent, Johnny vient me parler, il me dit :
— Ça va, tu es remise du saut ?
— Oui, merci, tu es gentil...
— J'ai adoré ton film... Tu vas devenir une star comme tu voulais.
— J'espère... mais c'est pas facile.
— Je m'en doute. Summer est... spéciale, mais en cas de coup dur, on peut compter sur elle, comme on a pu s'en rendre compte.
— Oui, je sais mais par moment je voudrais un peu de douceur.
— C'est une "snipeuse".
C'est vrai, il a raison, il est bien ce petit.
Je regarde les Japonais sauter... dire que j'ai fait ça, je n'en reviens pas...
C'est la fin de l'après-midi, on quitte le Pont des Fantômes, qui a trois fantômes de plus. On va tous ensemble dans un restaurant de West Covina, au sud de Los Angeles. C'est un restaurant, genre ranch spécialisé dans le bœuf. On mange des T-bone steaks. Tout le monde me remercie en rigolant... Ensuite, on va dans une boîte du centre... Je danse un peu, mais je suis vraiment fatiguée, trop d'émotions. Je dis à Summer :
— Je peux les inviter dans la nouvelle maison ?
Notez que je ne suis pas obligée de lui demander la permission de faire une invitation mais c'est... euh... plus poli.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

 
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :

https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search

Mes livres non illustrés, ici :
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