Pendant mes études, j'ai été serveuse, mais l'uniforme était moins sexy.
lundi 30 novembre 2020
samedi 28 novembre 2020
Dessin de Bruce Morgan
Pourquoi, ces jeunes ennuient-ils cette fille ? Pour le savoir lisez "Mia sans dessous" tome 4
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vendredi 27 novembre 2020
Des fesses et des bottes...
Mais, bien sûr, que j'ai 2 bottes... et 2 fesses aussi.
jeudi 26 novembre 2020
Dur, de faire l'auteure i
Est-ce que cet épisode va plaire à Bruce Morgan ?
Vous le saurez en lisant "Mia sans dessous" tome 4.
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mercredi 25 novembre 2020
Des fesses dans la nature.
Nouvelle série de photos dans les bois... Je verrai peut être le loup...
mardi 24 novembre 2020
Dessin de Bruce Morgan
Ce dessin et l'épisode qu'il illustre, sont dans "Mia sans dessous" tome 4.
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lundi 23 novembre 2020
De l'air !
Je m'habitue à cette robe "aérée" et vous ?
***
Si on a les même goûts, vous aimerez mes livres.
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dimanche 22 novembre 2020
Dessin de Bruce Morgan
Ce dessin et l'épisode qu'il illustre, sont dans "Mia sans dessous" tome 4.
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samedi 21 novembre 2020
Ashley - 29 La maison sur la plage
Cet après-midi, on déménage ! On n’a pas besoin d'un camion de déménagent étant donné qu’on n’a que quelques valises, c’est tout. On file à Malibu... J’imagine les interviews :
— Vous habitez où,
Mademoiselle Ashley ?
— Une maison sur la plage de
Malibu !
Pas mal, pour une petite cul
terreuse de Notasulga.
On arrive devant la maison.
Summer sonne et la grille s’ouvre aussitôt. Madame Stone nous attend entre deux
rangées de servantes. Je les compte, il y en a 8 : 4 Blanches, 2 Noires, 2
Hispaniques. Elles sont en uniforme : robe noire avec des bords blancs autour
du cou et des manches, petit tablier blanc et coiffure "au bol".
C’est-à-dire rasée à partir du milieu des oreilles, pour former une belle
touffe sur le haut de la tête. Ah oui, elles ont toutes des chaussures noires
et plates et elles fixent toutes le bout de ces chaussures. Madame Stone vient
à notre rencontre en disant :
— Bienvenue Mesdemoiselles.
Je réponds – ben oui, c’est
moi l’invitée :
— Bonjour Madame Stone.
On entre dans la maison et,
sur notre passage, les servantes font une profonde révérence. C’est amusant...
Madame Stone leur dit :
— Rhume et Moucheron, allez
chercher les bagages.
Les deux filles n’y vont pas,
elles y courent. Moucheron est une Blanche mince avec un joli cul. Rhume est une
jolie Black. On va à l’étage et je dis à Summer :
— On prend la grande chambre
avec la terrasse.
Elle me répond :
— "Je" prends la
grande chambre et je vais choisir la tienne.
C’est tout Summer, ça, mais
devant Madame Stone et les servantes, ça ne me plaît pas des masses. Madame
Stone me regarde avec un petit sourire. Il n’y a plus de doute, c’est Summer
qui porte la culotte ! Elle me dit :
— Il y a une petite chambre à
côté de celle des servantes, vous y serez bien.
Summer me dit :
— Pleure pas, tu pourras venir
dans ma chambre...
Elle ajoute :
— Si tu es sage.
Madame Stone me montre l’autre
chambre, beaucoup plus petite. Elle me dit :
— Vous ne serez pas mal ici,
Mademoiselle Ashley, si vous n’êtes pas sage.
— Mademoiselle Summer aime...
plaisanter.
— Je connais Mademoiselle
Summer. Il n’y a pas de problème pour moi.
Oui, bon... après tout, Madame
Stone est mon employée et les esclaves sont... des esclaves. Et, moi, je suis
la maîtresse de maison. Ce ne serait pas Summer, plutôt ?
Ça, c’est cette petite saleté
de voix intérieure qui me le dit... En théorie, Summer est aussi mon employée.
Je déballe mes affaires dans la petite chambre en râlant, puis je descends et
je vais dans le living-room. J’entends des rires provenant de la cuisine. Je
vais voir. Summer est assise avec Madame Stone et elles boivent une bière.
Elles ont vite fait copines, ces deux-là ! Les deux servantes qui sont là font
une révérence quand j’arrive, mais Madame Stone ne se lève pas pour moi. Elles
parlent, sans faire attention à moi. Je vais sur la terrasse regarder la plage
et la mer... Des esclaves s’activent dans la maison, j’en appelle une. Elle
vient devant moi en faisant une révérence. Je lui dis :
— Apporte-moi un verre de vin
blanc.
— Oui Maîtresse.
Elle revient très vite avec un
plateau et dépose sur la table une bouteille de cabernet et un verre qu’elle
remplit. Je bois... C’est bon... Je m’apprête à dire à la servante de me
resservir... mais un regard a suffi, elle me ressert. Je m’apprête à boire,
quand Summer arrive avec Madame Stone. Elle me prend le verre des mains et elle
jette le vin dans un buisson en disant :
— C’est pas le moment de
picoler, on s’en va.
Ah non, là, elle exagère ! Je
la regarde, on est les yeux dans les yeux et je suis bien décidée à... baisser
les yeux. Elle me dit :
— Toi, tu vas arrêter ces
mômeries. Ou tu m’obéis sans discuter et sans faire la tête ou je me tire.
Décide et dis-le !
— Je... je t’obéis.
— Plus de caprices ?
— Non... Summer.
Elle s’adresse à Madame Stone
:
— On ne mange pas ici ce soir,
Rachel.
— D’accord, bonne soirée.
— À toi aussi.
On va manger à Venice... Tex
n’est pas là, malheureusement. Je bois un peu et j’ai enfin une crise de
lucidité : si je veux garder Summer, faut que j’accepte ses manières. Je gagne
de l’argent, je suis célèbre. Et, en plus, j’ai Summer.
On rentre tard et elle me
laisse dormir dans "sa" chambre...
***
Le lendemain matin, je me
réveille seule dans le lit. Summer doit faire son jogging du matin. Je
m’apprête à m’habiller et puis je change d’avis. Il fait déjà très chaud, je
suis chez moi et il n’y a que des esclaves et une employée, Madame Stone. Je
sors nue de la chambre et je vais dans la cuisine. Madame Stone n'est pas
encore là. Les servantes qui étaient assises se lèvent vite. Elles ont l'air
terrorisées, les sottes.
J'en choisis une et je lui dis :
— Toi, c'est quoi ton nom ?
— Je m’appelle Rhume et je suis à votre service Maîtresse.
Rhume, c’est marrant ! Je lui dis :
— Viens avec moi.
— Oui Maîtresse.
On va dans la salle de bain. Je m’assieds sur les w.c. et je fais ce qu’on fait le matin. Enfin, moi, c’est le matin. C’est excitant de faire une chose aussi intime devant quelqu’un. Quand j’ai fini, j’hésite puis, je me retourne, pose les mains sur la planche des w.c. et je lui dis :
— Lèche-moi.
— Oui Maîtresse.
Elle se met à genoux, derrière moi et bientôt la petite langue de Rhume me lèche soigneusement. J’adore ! Au bout d’un moment, je lui dis :
— C’est bon, arrête. Je me redresse et je me retourne, tandis qu’elle reste à genoux, pratiquement le nez dans ma chatte. Je lui dis :
— Ça n’a pas l’air de te plaire de faire ça. Je devrais peut-être en parler à Madame Stone...
Là, elle panique ! Elle joint
les mains en disant :
— J’ai adoré, Maîtresse, je
vous jure.
Aucune fierté, ces esclaves !
Quelques coups de fouet n’ont jamais fait de mal à personne !
Je vais sur la terrasse,
Rhume sur mes talons. Je lui dis :
— Va dire à Madame Stone que
je voudrais la voir
— Oui, Maîtresse.
Je m’installe en dessous de la
toile. Quel plaisir d’être nue... Deux servantes arrivent très vite. Après une
profonde révérence, elles se mettent "aux ordres", des deux côtés de
mon fauteuil. Madame Stone arrive aussi, sans se presser ! Elle me dit :
— Bonjour Mademoiselle Ashley,
que voulez-vous pour déjeuner ?
— Bonjour Madame Stone.
Disons... un peu de tout avec du café noir.
— Très bien...
Je regarde mes messages sur ma
tablette, rien d’intéressant. Par contre, sur le site de Sandra Mae, il y a
plusieurs photos de moi quand je saute à l’élastique. Putain, je suis belle et
je n’ai presque pas l’air d’avoir la trouille. Les photos sont de Sandra Mae et
Johnny... Des servantes arrivent et installent autour de moi des œufs au bacon,
des viennoiseries, de la confiture, des crêpes... Je n’ai pas peur de salir mes
vêtements, alors je mange salement. Je renverse de la confiture sur un nichon.
Je dis à une servante :
— Lèche.
— Oui Maîtresse.
Cool... non ? Quand j’ai fini,
les servantes débarrassent. Madame Stone arrive et me dit :
— Tous les matins, je fouette
la servante qui a le plus démérité la veille. Je fais ça à 9 h, mais
Mademoiselle Summer m’a demandé d’attendre que vous soyez levée...
Pour une fois, une attention
de Summer. Madame Stone poursuit :
— Elle vous en parlera.
Aujourd’hui, on va le faire maintenant, mais pas les jours suivants. Il faudra
vous lever plus tôt si vous voulez y assister.
Eh ! Elle me fait un reproche,
là ? Je vais la remettre à sa place vite fait... ou plus tard, c’est mieux.
Madame Stone sort un sifflet et siffle trois fois. Aussitôt, toutes les
servantes accourent. Elles se mettent sur deux rangées de quatre, face à face.
Madame Stone me dit :
— Je donne des mauvais points
aux filles, celle qui en a le plus est fouettée.
Elle prend un petit carnet et
lit :
— Poussière 2, Banane 4, Sueur
5, Crevette 6, Rate 3, Rhume 4, Cafard 2 et enfin Moucheron 10. Bravo
Moucheron, tu as fait fort. Tu sais ce qui va t’arriver ?
Moucheron gémit :
— Je vais être fouettée,
Madame.
— Eh oui ! Je vais encore
devoir m’occuper de tes grosses fesses, comme si je n’avais que ça à faire...
Et là Madame Stone change de
ton et sa voix claque quand elle dit :
— En position !!
Moucheron est une jolie
Hispanique... Elle se met à 4 pattes entre les rangées de servantes, puis pose
son front sur ses mains posées sur le sol. Madame Stone se met derrière elle et
avec des gestes délicats, elle remonte la jupe de l’uniforme jusqu’aux reins et
baisse la culotte blanche jusqu’à la pliure des genoux. La position fait
ressortir son derrière rebondi. Elle prend le fouet des esclaves qui comporte 3
lanières plates et le promène sur le derrière de Moucheron qui frémit. Ensuite,
elle fait siffler le fouet dans les airs. À chaque fois, Moucheron fait un
petit bond. Enfin, elle frappe la cible et Moucheron crie :
— Aïe ! Un, merci Madame.
Madame Stone la frappe à
nouveau.
— Aïe ! Deux, merci Madame.
— Ces deux-là, c’est
pourquoi ?
— Pour être paresseuse,
Madame.
Le fouet siffle.
— Aïe ! Trois, merci Madame.
— Aïe ! Quatre, merci Madame.
— Ces deux-là, pourquoi ?
Rhume gémis :
— Pour avoir été insolente,
Madame.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan
pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" et les 2 Samia, filles du voyage" sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici
:
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0
…
Faits pour s'entendre.
Ah oui, y a pas de doutes, ma robe s'est ouverte. Bah, un peu d'air ça fait du bien.
Vous aimez lire et j'aime écrire : on est faits pour s'entendre. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
vendredi 20 novembre 2020
Bruce Morgan pour Mia 4
Ce dessin et l'épisode qu'il illustre, sont dans "Mia sans dessous" tome 4.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=searchjeudi 19 novembre 2020
Ooops !
J'ai l'impression que me robe s'est dégrafée !
J'adore écrire et vous aimerez mes livres. essayez...
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mercredi 18 novembre 2020
Mia sans dessous 4
Ces dessins et les épisodes qu'ils illustrent, sont dans "Mia sans dessous" tome 4.
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mardi 17 novembre 2020
un nichon...
Un petit nichon a insisté pour se montrer... le voici.
Passez à travers le miroir, lisez mes livres.
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Pour recevoir gratuitement mon livre "Les fesses d'Eva", il vous suffit de me donner votre mail et je vous l'envoie sur votre mail. Le début est autobiographique. mia.michael@hotmail.fr
lundi 16 novembre 2020
Dessin de Bruce Morgan
Pour savoir si la fille va s'en prendre plein les fesses, lisez "Mia sans dessous" tome 4
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dimanche 15 novembre 2020
Les fesses d'Eva.
Pour vous distraire pendant ce re-confinement, je vous offre gratuitement "Les fesses d'Eva" dont le début est autobiographique.
mia.michael@hotmail.fr
Au travail !
Un peu de repos avant de pécher... euh... je veux dire bêcher.
Mes livres sont ici :
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samedi 14 novembre 2020
Un joli numéro.
Ce sont des artistes qui ont mis au point ce numéro et c'est dans "Mia sans dessous" tome 3
***
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vendredi 13 novembre 2020
Jardinage.
Tout ça à désherber ! Je vais demander un coup de main au voisin... Il est toujours d'accord...
jeudi 12 novembre 2020
Bruce Morgan
L'amant, l'épouse et le vieux mari... Le mari va t'il se réveiller ? Pour le savoir, lisez "Mia sans dessous" tome 3.
***
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mercredi 11 novembre 2020
Des nichons...
Bien sûr que j'ai des nichons... la preuve :
Si vous avez envie de vous changez les idées, lisez mes livres.
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mardi 10 novembre 2020
Golden shower....
Attention ! Elle éclabousse !
lundi 9 novembre 2020
Au club naturiste.
- Viens t'asseoir sur mes genoux, petite.
Oh, merci M'sieur.
dimanche 8 novembre 2020
Bruce Morgan...
Oh, la pauvre !
- C'est une esclave.
Ah, d'accord, j'ai rien dit...
***
La suite dans "Mia sans desous" tome 3.
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samedi 7 novembre 2020
Ashley - 28 Un pique-nique.
Summer lui dit :
— Ne tirez pas, Monsieur.
On va tout vous donner. Mon portefeuille est dans mon sac, je peux le prendre ?
— Oui, mais grouille-toi,
connasse !
C'est ça Summer qui fait peur
à tout le monde ? Elle a l'air terrifiée. Les autres aussi, même Carl et Zoé,
qui enlève ses bijoux. Summer fouille dans son sac. Et, l'instant d'après, il y
a 3 détonations presque simultanées et les trois mecs nous regardent avec un
air idiot et un trou rond dans le front. Oh putain !! Je regarde Summer, elle a
un revolver à la main. Elle vient de les tuer tous les trois. Carl lui dit :
— Bien joué !
Les autres aussi la
félicitent. C'est la première fois que j'assiste à un meurtre et c'est un
triple meurtre. Summer prend son iPhone, cherche un moment, puis me montre le
site de la police de LA. Je vois les photos des trois types et en dessous il
est écrit "Ces hommes sont soupçonnés d'avoir tué plusieurs
personnes". Je regarde Summer et avec une voix tremblante, je bafouille :
— Tu... euh... nous...
Je dois avoir l'air totalement
affolée. Il y a de quoi. Elle me dit :
— Tu as chauffé cette
fille, maintenant fais-la jouir. ALLEZ !
— ... Oui... euh...
Zoé s'est couchée et je vais
me mettre entre ses cuisses. Je la lèche... machinalement, pour faire ce que
Summer me dit... Je revois les trois têtes de ces mecs avec un trou sanglant.
Heureusement, je reprends mes esprits, le visage dans la chatte de Zoé.
Je la lèche soigneusement et j'arrête de penser à tout ce qui vient de se passer. Carl dit à Summer :
— Tu vas toucher une
récompense ?
— Non, il n'y en a pas
encore et puis on va perdre du temps, si on appelle les flics. Vous êtes tous
d'accord ?
Ils sont tous d'accord, genre
"les flics, au moins on les voit, au mieux on se porte". Moi, je ne
réponds pas car j'ai la langue dans une chatte.
Zoé parle et rigole ! Eh !
C'est vraiment désinvolte de faire ça pendant que je la lèche. Attend, toi, je
vais t'apprendre ! Je m'occupe soigneusement de son clito et rapidement, son
bassin parle pour elle : il vient au-devant de ma langue... Je le suce
doucement et elle me caresse la tête en disant :
— Pas mal petite... si un
jour Summer te vend...
Elle veut sans doute ajouter
"je t'achète", mais les mots lui restent dans la gorge. Ma bouche va
et vient sur son clito tandis que je le suce... Elle gémit enfin... et elle ne
tarde pas à jouir en serrant mon visage entre ses cuisses. Elle a de la force !
Et là, j'entends des gens
parler. Oh non ! Ce n'est pas possible. Je sors de la chatte de Zoé, le bas du
visage humide et je vois 5 Asiatiques, 4 hommes et 1 femme. Mais qu'est-ce
qu'ils viennent faire ici ? Summer discute avec eux, elle explique qu'on tourne
une scène d'un film porno. Ah, OK, ils font des grands sourires et des
courbettes, c'est signé made in Japan, ça. Un des hommes lui dit :
— Est-ce qu'on peut faire
des photos de l'actrice ?
— Pas de son visage, car
elle est sous contrat, mais de ses fesses, oui, et c'est ce qu'elle a de mieux.
Ou alors...
Elle dit à la fille qui est
avec eux :
— Donne-moi ton foulard.
La fille le lui donne. Summer
vient derrière moi et met le foulard sur mon visage, juste en dessous des yeux.
Je serai la beauté masquée et... Oh, Putain ! Les corps, qu'est-ce qu'ils en
ont fait ? Je murmure :
— Ils sont où ?
Summer répond :
— Dans la flotte
Aah, cool ! Ils les ont jetés
dans le torrent et je ne m'en suis pas rendu compte. Avec mon foulard sur le
bas du visage, je prends des poses pour les Japonais qui font des photos et des
selfies. Les photos vont être spéciales, eux avec une beauté nue et masquée.
J'en oublie un peu que j'ai failli mourir deux fois aujourd'hui, d'abord au
bout de mon élastique et ensuite avec ces trois malades voleurs, violeurs et
tueurs.
Je suis faite pour l'aventure,
mais bien collée à Summer. Tout en montrant mes fesses aux Japs, je me dis que
je ne veux plus jouer les aventurières. Je suis une vedette. Summer leur dit :
— La petite va se
rhabiller et manger.
Ils la remercient. Elle
me dit :
— Rhabille-toi, puis
enlève ton foulard.
Ben, oui, évidemment, je ne
suis pas conne ! Je mets mon jean et mon tee-shirt et j'enlève ce bête foulard.
Sandra Mae a des sandwichs dans son sac tandis que Carl a des boîtes de bières.
On s'installe en rond comme des gentils scouts, enfin, des scouts, dont un est
capable de descendre 3 mecs ! On mange, on boit... Johnny et Sandra Mae
remercient encore Summer. Quand on a fini de manger, Zoé cherche quelque
chose dans son sac et je vois briller un objet... c'est un revolver ! Je lui
dis :
— Vous... euh... vous
êtes aussi armé ?
C'est Summer qui répond :
— Pas trop haut, Ashley.
Ils sont aussi, disons, des chasseurs de primes. J'étais prêt de mon sac, sinon
ils les auraient descendus aussi facilement que moi.
Hé bien, voilà... Moi, j'ai
une brosse à cheveux dans mon sac, elles un flingue ! Je vois que Zoé s'est
fait un joint. Elle tire une bouffée et me le passe. Je dis à Summer :
— J'ai sauté, je peux...
steupléééé...
— Exceptionnellement, oui.
Les Japonais ont installé
leurs élastiques et ils sautent en criant « banzaï ! » ou un
truc du genre. Pourvu que leurs élastiques soient solides, j'ai vu assez de
cadavres aujourd'hui. On boit et Zoé et moi, on fume... Pique-nique relax entre
amis. Je pense à un tableau de Manet "Le déjeuner sur l'herbe", dont
j'ai vu une reproduction... Trois hommes discutent, tandis qu'une femme pisse
dans une rivière et une autre femme, nue, fixe le spectateur avec désinvolture.
C'est moi, j'étais nue il y a un quart d'heure. Cette femme est sûrement une
prostituée. Au moment où je pense à ça, un Japonais dit à Summer :
— Mademoiselle, sans vous
offenser, si l'actrice porno me fait une fellation, je vous donne 200 $.
Alors là, je vois bien Summer
le descendre pour son incorrection. Ah, non ! Elle répond :
— D'accord, mais c'est
250 $
Elle se tourne vers moi en
disant :
— Va sucer le Monsieur.
Non, mais... ça va pas la tête ?
Jamais ! Je ne suis pas une pute... Elle dit :
— Je dois répéter ?
Je vais me mettre à genoux
devant le Japonais, qui a l'air tout à coup beaucoup plus grand. Il est du
genre sportif, mais pas séduisant du tout. Il est gentil, voire obséquieux avec
Summer, nettement moins avec moi. Il me dit :
— Sors mon sexe et suce-moi.
Summer nous a sauvé la vie et
je suis rassurée avec elle, même si elle m'oblige à me prostituer un peu ! Je
suis trop lente, le Japonais sort son sexe de son pantalon et il me donne une
bifle en disant :
— Qu'est-ce que tu
attends ?
Une bifle, c'est une gifle
avec une bite. Je pousse un petit cri pour lui faire plaisir et je tire sur la
peau pour dégager le gland. Il n'est pas très propre et il me dégoûte, alors je
prends son sexe en bouche, de cette façon il sera propre dans quelques minutes.
Je n'ai pas envie de traîner avec sa bite en bouche, aussi je le suce
soigneusement et je caresse ses couilles... Son sexe doit faire environ
— Ça va, elle suce bien ?
— Oui... oui...
mademoiselle... et elle avale ?
— Bien sûr, c'est une
actrice porno !
Mais non, y a quelques jours,
j'étais adulée par toute une foule. J'ai pas du tout envie d'avaler quoi que ce
soit venant de ce mec, mais je ne suis pas équipée pour résister à Summer.
L'homme est très excité à l'idée que j'avale. Bientôt, il pousse des petits
cris en nippon et il arrose mes amygdales de son sperme. J'avale tout en
plusieurs fois. Dès qu'il sort de ma bouche, son copain le remplace... Il est
rasé lui et il bande, il met sa bite dans ma bouche en disant :
— Regarde-moi !
Je lève la tête et je le
regarde avec sa bite en bouche. Pas très confortable. Il me donne des ordres,
comme un client pas poli s'adressant à une pute... Non, même pas, les clients
de "House of Pussies" étaient sympas. Lui, il me traite comme si
j'étais une esclave ! Je le fais pour obéir à Summer.
Je me dis, pourvu qu'on ne voie
pas arriver une meute de scouts (de plus de 18 ans, bien sûr). Je ne sucerai
pas la meute ! Si je me mets à penser à ce genre de conneries, c'est que ça va
mieux. Je caresse les couilles du Japonais et je le suce encore pendant
plusieurs minutes. Enfin, il jouit dans ma bouche tout en me regardant dans les
yeux. J'avale mais j'espère que c'est le dernier, aujourd'hui. Un des Japonais
s'excuse, il est fidèle, l'autre est gay et la fille n'a pas de bite. Merci,
mon Dieu. Le premier Japonais que j'ai sucé donne 500 $ à Summer. Elle dit :
— Avec l'argent qu'Ashley
a gagné en suçant des bites, on va faire la fête.
Les autres sont ravis et la
remercient ! Pendant qu'ils discutent, Johnny vient me parler, il me dit :
— Ça va, tu es remise du
saut ?
— Oui, merci, tu es
gentil...
— J'ai adoré ton film...
Tu vas devenir une star comme tu voulais.
— J'espère... mais c'est
pas facile.
— Je m'en doute. Summer
est... spéciale, mais en cas de coup dur, on peut compter sur elle, comme on a
pu s'en rendre compte.
— Oui, je sais mais par
moment je voudrais un peu de douceur.
— C'est une
"snipeuse".
C'est vrai, il a raison, il
est bien ce petit.
Je regarde les Japonais
sauter... dire que j'ai fait ça, je n'en reviens pas...
C'est la fin de l'après-midi,
on quitte le Pont des Fantômes, qui a trois fantômes de plus. On va tous
ensemble dans un restaurant de West Covina, au sud de Los Angeles. C'est un
restaurant, genre ranch spécialisé dans le bœuf. On mange des T-bone steaks.
Tout le monde me remercie en rigolant... Ensuite, on va dans une boîte du
centre... Je danse un peu, mais je suis vraiment fatiguée, trop d'émotions. Je
dis à Summer :
— Je peux les inviter
dans la nouvelle maison ?
Notez que je ne suis pas
obligée de lui demander la permission de faire une invitation mais c'est...
euh... plus poli.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan
pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia
sans dessous" sont ici :
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…
Surprise....
Parfois il suffit de se mettre à 4 pattes pour avoir une grosse surprise.
Plein de surprises vous attendent dans mes livres.
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vendredi 6 novembre 2020
Dessin de Bruce Morgan.
Si vous voulez tout savoir sur les esclaves et les spectacles de la Commedia dell' Arte au 17ème, lisez "Mia sans dessous" tome 3
jeudi 5 novembre 2020
Un dos...
Le seul avantage du ménage, du jardinage et de la marche, c'est que ça fait un beau... dos.
***
Lisez mes livres, vous vous ferez plaisir... et à moi aussi.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
mercredi 4 novembre 2020
Une esclave...
Cette esclave en fuite arrivera-t'elle à échapper à ses poursuivants ? Vous le saurez en lisant "Mia sans dessous" tome 3
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
mardi 3 novembre 2020
On se fait plaisir...
Évadez-vous : si vous achetez un de mes livres, papier ou numérique, je vous enverrai une dédicace personnalisée et 5 photos "intimes". Infos : mia.michael@hotmail.fr 👄 mia
lundi 2 novembre 2020
Des pirates !
Faites un bond dans le temps : revivez l'époque des pirates barbaresques et de leurs chasses aux captives.
dimanche 1 novembre 2020
Des jours sombres.... mais...
Même la plage n'est plus ce qu'elle était...
... mais le soleil reviendra et puis il y mes livres pour changer d'univers...
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