On va dans le parking et ces garces ouvrent le coffre d'une voiture. Les hommes me mettent dedans, tandis que Sarah me dit :
— Sois sage.
La voiture démarre. Je suis
attachée et bâillonnée dans le noir. Je panique, mais bien ! Une pensée un tout
petit peu rassurante tourne en boucle dans ma tête : demain, je dois jouer
Cléopâtre. Impossible qu'elles me vendent pour de vrai ! On est dans la voiture
de Sarah et elle roule vite, je suis secouée dans ce coffre.
On roule un bon moment, tandis
que je récite mon mantra : elles ne vont pas me vendre – je tourne un film.
Enfin, on s'arrête et les deux femmes me sortent du coffre. Je reconnais le
parking du "Slave Paradise". C'est une sale blague, c'est tout. On
coupe les cordes qui lient mes chevilles et Summer me dit :
— Marche derrière nous.
Elles se dirigent vers
l'ascenseur. Je ne bouge pas. Elle ajoute :
— Faut qu'on trouve un fouet.
Je vais vite me mettre
derrière elles. On prend l'ascenseur. À l'accueil, quelques gardes nous
attendent en souriant. Comment on dit encore ? Un coup monté, voilà, c'est ça.
Et ils jouent tous, les rats. Un homme dit :
— Bravo les filles, vous
l'avez rattrapée.
N'importe quoi ! Je suis un
cocktail : 50 % de trouille, 50 % de rage ! Elles me le paieront ! Avec les
mains attachées dans le dos, si je tombe, je me casse le nez. On va dans le
hangar où des dizaines de filles sont enfermées dans des cages. Maintenant,
c'est 75 % de trouille. Summer me dit :
— J'espère que tu te souviens
des positions que doit prendre une esclave.
Un garde défait les liens de
mes poignets et arrache le morceau de tape que j'ai sur la bouche. Un autre
avec qui on a mangé à Venice arrive, armé d'un fouet. Ils sont une dizaine
devant moi. Le garde fait claquer son fouet en disant :
— Position 1, esclave.
J'écarte les jambes et je me
cambre les mains dans la nuque.
Le fouet claque.
— Position 2.
Je ne sais plus ce que c'est,
mais je me mets à genoux, puis je pose mon front sur mes mains. Le fouet claque
et le garde dit :
— Debout et saute.
Je me relève et sautille.
— Plus haut, esclave !
Je saute bien cinq minutes,
tandis qu'ils rigolent en regardant mes seins et mes fesses danser. Claquement
de fouet et cri du garde :
— Stop !
Je suis en nage. Cette garce
de Sarah va encore dire que je sens la sueur. Summer dit :
— Mesdames et Messieurs, ce
soir, on vend une esclave un peu défraîchie, mais à un tout petit prix. Qui la
veut ?
Un garde dit :
— 50 cents !
Ça monte jusqu'à 5 $. Summer
dit :
— Adjugée à Mademoiselle
Sarah. Esclave, va aux pieds de ta maîtresse.
Le fouet claque et je cours me
mettre à genoux. Le garde crie :
— Mieux que ça.
Je me baisse et j'embrasse les
chevilles de Sarah. M'en fous de faire ça, moi !
Elle me dit :
— Tu as quelque chose à me
dire, esclave.
— Oui maîtresse, votre esclave
attend vos ordres.
Elle me tend la main, je
l'embrasse. Les gardes rigolent et applaudissent. Sarah leur dit :
— J'ai pas envie de la prendre
ce soir. Vous pourriez me la garder jusque demain, les gars ?
Un garde répond :
— Oui, bien sûr. Les cages
sont pleines, mais les filles n'auront qu’à se serrer.
C'est un jeu de rôle !
Un garde me prend par une
oreille. Je crie et je le suis jusqu'à une cage, courbée en deux. Il sort
une grosse clé, ouvre la porte et me pousse contre les autres filles. Il y a
déjà 10 filles dans cette cage et elles ont vraiment besoin de déodorant.
J'entends Summer dire :
— Pour vous remercier, Sarah
et moi, on vous invite à un barbecue sur la plage. Homards grillés, T-bone
steak, gâteau au chocolat, bière et tequila.
Les gars sont ravis. Je me
suis assise contre les barreaux, les jambes repliées contre la poitrine. C'est
un jeu de rôle !!
Le Texan, qui m'a... emmenée
dans les toilettes du restaurant dit :
— Il faudrait des esclaves
pour nous servir.
— C'est vrai.
Le garde qui a la clé ouvre la
porte et désigne des filles en disant :
— Vous deux, dehors.
Sarah crie :
— Prend aussi Ashley.
Il me dit :
— Va vite aux pieds de ta
Maîtresse !
Je bondis hors de la cage...
et je vais me mettre à nouveau genoux devant Sarah qui me regarde en souriant.
C'est un jeu de rôle !
Je suis nue comme les deux
autres filles, mais moi, je ne suis pas marquée et demain, je serai la vedette
du film. Un garde nous montre ce qu'on doit prendre : des frigos portables, des
boîtes de gâteaux, des bouteilles. À trois, on porte les provisions et on va
vers la plage. C'est lourd... J'aime pas faire l'esclave, mais alors, pas du
tout ! Même si c'est un jeu. Quand est-ce qu'une des filles va dire
"Pouce, le jeu de rôles est fini, tu redeviens la future star
d'Hollywood" ? Dans peu de temps, j'en suis sûre... En attendant, je suis
nue et je fais le service. Les gardes allument le feu en dessous de la grille.
Les deux filles cuisent la viande et les homards, pendant que moi, je sers à
boire, bière, tequila... J'allume des cigarettes... Ils ont tous quelque chose
à demander et pas gentiment, genre "Et ma bière ? Tu dors ?"
C'est un jeu... À un moment,
je prends mon courage à deux mains et je vais me mettre à genoux devant
"ma maîtresse". Elle est à côté de Summer et elles parlent. J'attends
qu'elle me regarde et je lui dis :
— J'ai compris la leçon. Je
vous obéirai. S'il vous plaît, je voudrais arrêter le jeu.
Elle se tourne vers Summer en
disant :
— T'en penses ?
— On dirait qu'elle a compris.
On peut arrêter.
Ouf !! Je leur dis :
— Merci. Vous voulez bien
enlever le collier, s'il vous plaît.
Summer le fait. Il n'était pas
fermé à clé. Elle me dit :
— Pas plus de deux bières pour
toi, sinon tu passes la nuit en cage.
— Oui Summer.
J'appelle une esclave et je
lui dis :
— Apporte-moi une bière.
Trois minutes plus tard, elle
me la tend en s'inclinant. Je la bois en 3 fois... J'avais trop soif...
Ensuite, je m'assieds dans le sable. Faut que je récupère... En fait, je n'ai
pas envie de m'amuser... Je ne suis pas obligée, je ne suis pas une esclave. Je
trouve que les gardes ont trop bien joué le jeu. Il y en a un qui aurait pu me
faire un clin d'œil, genre "c'est un jeu". Non, tous des sales rats.
Sauf, peut être le beau Texan qui est arrivé à la fin du "jeu". Il
vient s'asseoir à côté de moi et me tend une assiette avec un grand morceau de
tarte aux noix de pecan. J'adore ça, mais je réponds :
— Non merci.
Il murmure :
— C'est une sale blague
qu'elles t'ont faite, mais change d'humeur, sinon Summer va te faire passer la
nuit dans une cage.
Il met son bras autour de mes
épaules et là, je craque, je mets mon visage dans son cou et je pleure mais en
faisant le moins de bruit possible. La nuit est tombée et personne ne va
remarquer que je pleure. Enfin, presque personne, parce que Summer, qui est
occupée de se faire baiser par un garde, dit bien fort :
— Y a un bébé ? J'entends
pleurer.
Pas besoin de chercher quelque
chose à répondre, parce que, malgré mes larmes, Tex m'embrasse sur la bouche...
Oui, ça dégénère, dans le bon sens du terme. Une des deux esclaves suce un
garde. Tex appelle l'autre :
— Mulot, viens lécher la
demoiselle.
Hé oui, ils donnent des noms
amusants aux esclaves. Mulot bondit, se met entre mes jambes et colle sa bouche
à ma chatte. Tex me dit :
— Tu veux que je la fouette
pour la stimuler ?
— Euh, non... ça va...
Impossible de dire que mulot
ne fait pas ça bien ! J'ai l'impression que ma chatte est dans une machine à
laver, qui la fait tourner, l'essore, la malaxe... C'est trop bien, je vais
battre le record du monde de l'orgasme le plus rapide. Sale mulot, je vais le
faire fouetter pour lui apprendre à lécher trop bien... Aïe, ça, c'est la
goutte de sécrétion qui fait déborder le vase ! Quelques minutes plus tard, je
grimpe aux rideaux de la nuit... C'est une image... Sarah dit :
— Vous entendez ? On dirait
que le bébé ne pleure plus, il a l'air très content.
M'en fous de ce qu'elle dit.
Je me sens un peu apaisée, enfin....Tex me prend contre lui... Je lui dis :
— Tu es le seul gentil.
— Ce jeu, c'est pour que tu
acceptes l'autorité de Sarah.
Je réponds tout bas :
— Ce sont des sales garces.
— Ce sont des dures, Sarah a
fait son service militaire dans les forces spéciales en Israël et Summer a été
5 ans dans les Marines...
— Tu connais bien Sarah ?
— On se connaît tous.
Il m'embrasse. Je lui dirais
bien, "Mais Monsieur, je ne connais même pas votre vrai prénom. Qu'est-ce
que vous me faites ?" Mais bon, quand on s'est fait tirer dans les
chiottes par un Monsieur, difficile après de jouer, les oies blanches
effarouchées... J'appelle Mulot pour qu'elle me serve d'oreiller.
Tex se couche sur moi et aussitôt, je lève les jambes et mes chevilles se croisent sur ses reins. Son gland humide vient flairer ma chatte qui devient encore plus humide. Oh putain ! Je suis plus chaude que les braises qui ont servi à faire griller les homards.
Ensuite, je chante... enfin,
les paroles ne sont pas très originales, c'est "oh oui... oh c'est bon...
oui... défonce-moi, oooohhhh..."
Summer dit :
— Y a le bébé qui reprend son
pied.
Mais, qu'elle change de
disque ! M'en fous d'elle. Je regrimpe aux rideaux... en enfonçant le plus
profondément Tex en moi... Il arrose mes petits organes intimes ravis de cette
douche tiède... Quand je le relâche, après quelques minutes, il se me à côté de
moi et crie :
— Mulot !
— Oui Maître.
— Nettoie la demoiselle...
Elle colle à nouveau la bouche
à ma chatte et aspire le cocktail de mes sécrétions et du sperme de Tex.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan,
pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html
Mes livres non illustrés, ici
: https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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