32 - Moi, impudique ?
On
arrive aux cascades d'Ouzoud et on descend le sentier escarpé. En bas,
j'aperçois des singes que je n'avais pas vus la première fois. Je dis :
— Oh !
des singes, qu'est-ce qu'ils font là ?
Djibril
répond :
— Ils
sont chez eux. Ce sont des macaques sauvages mais habitués aux touristes. Les
mêmes qu'à Gibraltar, d’ailleurs.
J'aime
bien les singes, je viendrai leur donner à manger. On arrive devant une très
grande tente blanche. C'est là que se tiendra la réception. Il y a quelques
hommes qui travaillent et puis, j'aperçois Malha. Aussitôt, je me précipite
vers elle en disant :
— Oh !
je suis contente de te voir.
Elle
est en jean et tee-shirt avec des auréoles sous les bras. Il fait plus de 30°,
aussi. Je veux l'embrasser sur la bouche, mais elle me tend sa joue en
disant :
— Bonjour
Samia. C'est bien que vous soyez là.
— Tu
ne m'embrasses pas ?
— Tu
sais, je dois m'occuper de tout le monde, ici. Je ne peux pas être trop
familière avec toi. D'ailleurs, ce serait bien que tu dises Mademoiselle et que
tu me vouvoies. OK ?
—
... Oui...
Elle
me dit comme son frère tout à l'heure :
— Oui
qui, Samia ?
— Oui
Mademoiselle Malha.
— Bien...
Tu vois cette petite tente, là-bas ? Va aider la cuisinière. D'accord ?
— Oui...
Mademoiselle.
— Bonne
petite.
Eh !
J'ai plus 8 ans ! Mais bon... je serai propriétaire d'une demi-maison et puis,
ce soir, j'essaierai de...
— Allez
Samia, vas-y !
— Oui
Mademoiselle.
Elle
parle à Josiane tandis que je me dirige vers la petite tente. Vous savez que je
suis Comtesse ?? Si, si, rappelez-vous, Comtesse de Préville à la suite de mon
mariage avec mon petit chien, enfin de Julien. Toute Comtesse que je sois, je
dois dire crûment que Djibril et Malha nous ont bien fourrés à sec ! Et ça fait
mal !
Sous
la petite tente, il y a une cuisinière assez grosse, ce qui est la
caractéristique de beaucoup de cuisinières. Elle doit avoir 40 ans et peser 80 kg . Je lui dis :
— Bonjour
Madame. Mademoiselle Malha m'a dit de venir vous aider.
Elle
me regarde comme si j'étais... une salope d'infidèle à moitié à poil en public.
Elle
me dit :
— Tu
n'as pas honte de te promener comme ça ?
— Mais,
il fait chaud et...
— Et
rien du tout. Monsieur Djibril m'a prévenue. Tiens, mets ça !
Elle
me tend une djellaba. Je regarde la cuisinière. Elle a des mains deux fois
comme les miennes. Bon, je ne vais pas l'envoyer se faire foutre... Je prends
le vêtement et je vais dans le fond de la tente pour l'enfiler. Après ça, je
fais glisser mon top et mon short que j'enlève par les pieds. Je planque mes
vêtements pour qu'elle ne voie pas que je les ai enlevés. La djellaba est en
tissu léger qui me caresse quand je bouge. La cuisinière me dit :
— Mets
la capuche. Une femme ne montre pas ses cheveux.
Elle
a surgi du moyen âge par une déchirure temporelle !? Elle ajoute :
— Je
m'appelle Tifa, mais tu diras Madame et tu feras ce que je te dis.
On
croirait entendre Djibril ou Malha ! Je réponds :
— Oui
Madame.
Imaginez
que vous ayez un objet très lourd en main. Vous ne voulez pas qu'il tombe, vous
le tenez de toutes vos forces. Jusqu'au moment où vous n'en pouvez plus et vous
le lâchez. Moi, je suis comme ça. J'ai de la force et je tiens bon, mais quand
je lâche, c'est fini.
Il
faut comprendre que je suis dans un pays étranger, chez des Berbères dont le
nom vient de Barbares et... ils sont plus forts que moi. Si on était en
Roumanie ou en France je tiendrais bon. Enfin, je pense...
C'est
comme avec Kristos ou la fille des Flots Bleus, dont j'ai oublié le nom. Avec
la cuisinière, je lâche. J'ai mis la djellaba et la capuche et j'épluche des
pommes ! Mon mécanisme de soumission est enclenché...
Elle
le sent bien, Tifa. L'aider, ça signifie, qu'elle est assise peinarde et
qu'elle me donne des ordres. Elle m'a même donné un coup sur les doigts avec le
manche d'une cuiller en bois, parce que je faisais des épluchures trop
épaisses. Ça fait mal, cette cuiller en bois. C'est juste bon pour le cul des
hommes ! Je lui dis :
— Vous
savez, mon mari est très obéissant et il pourrait...
— Non !
C'est toi que je veux faire obéir. Toi qui montres ton corps sans honte ! Même
si ça ne dure que deux jours, je vais t'apprendre la pudeur et la modestie.
Oulah !
C'est mission impossible, ça. Mais comme elle le dit, ça ne va durer que deux
jours. Si j'osais, je lui répondrais : « Si vous réussissez à m'apprendre
la pudeur demain, je ne baiserai pas avec les investisseurs et vous l'aurez
dans votre gros cul pour le Parc Régional de l'Atlas ». Mais mes doigts me font
encore mal, alors je la ferme !
Ah !
il va m'entendre, Djibril ! Je vais saboter sa soirée, je vais...
—
... Et alors tu dors ?
— Non
Madame.
— Ça
fait deux fois que je te dis de jeter l'eau qui est dans cette bassine.
Je
prends le récipient et je sors de la tente pour le vider un peu plus loin. À
mon retour, je vois qu'elle me regarde attentivement. Elle me dit :
— Mais
ma parole, tu es nue là-dessous ! Tu as enlevé tes vêtements sans que je le
voie et cette djellaba est transparente, parce qu'elle doit se porter au-dessus
des vêtements !
— Comment,
je pourrais le savoir, moi ! Il fallait...
Elle
m'attrape par le poignet et me bascule en travers de ses cuisses, en
criant :
— Tu
as vraiment le diable au corps, toi ! Attends, je vais t'apprendre la pudeur !
Elle
lève le bas de la djellaba jusqu'à mes reins ! C'est ça, la pudeur pour elle ?
Et là, son énorme main me claque les fesses avec le bruit d'un pétard qui
explose, ça fait :
— PAF !
Aïe ! PAF ! Aïe... noooonnn arrêtez... PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! Vous n'avez pas
le droit... PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe
— Tu
vas voir si j'ai pas le droit !
— PAF !
Aïe ! PAF ! Aïe ! Pardon, je serai... PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! pudiiique ! PAF !
Aïe ! PAF ! Aïe !
Sa
paume est dure comme du bois et un déluge de claques s'abat sur mes pauvres
fesses !
— PAF !
Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe !
Et
là, j'entends la voix de Djibril :
— Mais
qu'est-ce que tu fais, Tifa ?
— PAF !
Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe !
— J'apprends
la pudeur à cette petite traînée.
— PAF !
Aïe ! PAF ! Aïe ! Au secours Monsieur Djibril !
— Arrête
Tifa !
— PAF !
Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe ! PAF ! Aïe !
En
tournant la tête, je vois qu'il lui a saisi le poignet ! Il me prend par la
taille et me remet debout. Je pleure, le derrière en feu. Il me demande :
— Qui
t'a dit de venir ici ?
— C'est
Malha... sniiif...
— La
conne ! Bon, viens. Je t'envoie quelqu'un d'autre, Tifa.
Elle
lui répond :
— Si
c'est une du même genre, je lui tannerai les fesses, aussi !
On
sort, entourés de jeunes qui ont assisté au spectacle !! On va vers la grande
tente, moi toujours en larmes et frottant mes fesses. Dès qu'on voit Malha,
Djibril se met à crier sur elle en berbère. Bien fait ! Quand il l'a bien
engueulée, il me dit :
— Viens,
tu vas te reposer pour être en forme ce soir.
C’est
tout ce qui lui importe ! Je réponds :
— Je
ne serai pas en forme et vous ne pouvez pas m'obliger...
— On
retourne chez Tifa ?
— NON !
— Bon,
tu as reçu une fessée, c'est pas la fin du monde.
Il
me prend par le bras et on va devant un petit établissement, comme il y en a
beaucoup. Sur la terrasse, il y a quatre hommes qui boivent un verre en
discutant. Un des quatre est vraiment... beau : 35 ans, brun, costaud,
souriant. Il est habillé à l'européenne, les 3 autres, je ne sais pas, car je
ne les regarde pas ! Le beau mec lui dit :
— Salut
Djibril, qu'est-ce que tu nous amènes de beau ?
— Une
petite qui a eu un différend avec Tifa. Montre tes fesses, Samia.
Ah,
tiens, maintenant il faut les montrer ? Je me retourne et relève ma djellaba.
Aussitôt, il y a différents commentaires, genre « Quel beau cul ! » et « Il est
bien rouge ! ». Djibril s'adresse au beau mec en disant :
— Juan,
sois gentil, occupe-toi d'elle, il faut qu'elle soit en forme pour ce soir.
Il
s'en va. Juan se lève et me tend la main en disant :
— Viens
petite, je vais te soigner.
— Ça
fait maaal !
— J’ai
un truc, tu vas voir.
On
traverse le petit bar pour aller dans la pièce du fond. Il me dit :
— Couche-toi
sur le ventre, je vais chercher ce qu’il faut.
Il
revient avec une boîte de Nivea. C'est ça qui va me soulager ? Il s'assied à côté
de moi, relève ma djellaba et commence à me masser. D'abord, je crie un peu,
mais rapidement, je ronronne... Il me masse doucement les fesses et c'est vrai
que la crème me soulage. Djibril n'est pas si mauvais que ça, après tout...
D'accord, cette correction m’a fait vraiment mal, mais il y a aussi les soins
"après-fessée". Je demande à mon masseur :
— Dites,
je peux vous rendre la pareille ?
— Quel
appareil, petite ?
Il
est con, mais beau...
— Je
veux dire, vous masser.
— Ah
oui, mais pas avec de la Nivea.
— Non.
Enlevez vos vêtements et couchez-vous sur le dos.
Il
se déshabille et... il bande... bien ! Passer de la Nivea sur mes fesses
rouges, ça lui a fait de l'effet. Il se couche sur le lit, le mât dressé prêt à
appareiller pour Cythère. Mais si, vous savez bien, là où Aphrodite avait sa
villa de vacances, avec piscine.
Il
a mis un bras derrière la tête. Je vous le décris : une masse de cheveux
bruns, un beau visage et des poils s'échappant de l'aisselle. Il a aussi des
poils sur la poitrine, le ventre le sexe, les jambes et, oui, j'aime les
poils... Il sent l'eau de Cologne et la sueur d'homme. J'embrasse sa bouche,
pas longtemps, je plonge le nez dans son aisselle. Il rit en disant :
— Tu
me chatouilles...
Et,
vous savez ce qu'on dit : homme qui rit, bientôt dans votre lit. Euh...
oui, il y est déjà. Je descends en suivant les poils qui ondulent comme des
vagues vers son phare – c'est une image, je veux parler de son sexe.
D'ailleurs, qu'est-ce que je ferais avec un phare ? Ah oui, m'asseoir dessus ??
C'est son sexe le phare et, à vue de nez, il fait un bon 20 cm . Comme Juan est
sans doute espagnol, il n'est pas circoncis... J'embrasse la toison de son
ventre, fais un détour par ses couilles gonflées de désir pour moi – comme on
dit dans les romans d'amour pour jeunes filles – je les lèche, les mordille..
Puis, je m'attaque au sexe, je tire sur la peau qui recouvre la chair rose du
gland... Le bout est très mouillé, je le promène sur ma bouche, puis sur mes
joues pour envoyer le message aux autres femelles : ce mâle est à moi, je
suis son territoire... Les hommes ne sont pas patients, vous avez déjà
remarqué ? S'il y a une bite d'un côté et une bouche de l'autre ils veulent
absolument que l'une entre dans l'autre... Bon, d'accord, je dégage complètement
le gland et je le lèche. Son sexe et ses couilles, c'est comme une glace
« trois boules » dans un cornet. Deux grosses boules de glace caramel en
dessous et une boule à la framboise au-dessus. Il me prend par la nuque et,
oui, j'ai compris, j'engloutis ma boule à la framboise d'un coup... J'apprécie
son goût un peu salé, son odeur... Il me dit :
— Tu
dois me lécher le cul, aussi, petite. J'aime bien ça.
À
suivre.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
Les 18 épisodes de ma nouvelle histoire "Justice Cajun" sont sur le site gratuit de La Musardine, "Mes histoires porno."
http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-1
Excellent. J'adore.
RépondreSupprimermerci c'est gentil... heureusement que je t'ai... tiens je vais mettre une photo pour toi... bisous, mia
SupprimerC'est trop gentil :)
RépondreSupprimerBisous aussi.