J'explique à Kristos ce qu'on a fait depuis
son départ : poser pour des photos et servir le midi aux Flots bleus.
J'ajoute :
— On pourrait poser ensemble, nous
aurions du succès....
— On verra.
— Si tu veux viens dormir avec nous au
camping, on se serrera.
— Vous êtes venus en stop ?
— Non, à vélo. Tu verras, c'est cool
d'être à poil.
— D'accord, ça m'amuserait de faire
ça... Pour les photos, je ne suis pas sûr.
Il dit au revoir à ses copains. On met le
sac de Kristos sur le porte-bagages de Julien. Heureusement qu'on n'a pas trop
acheté. On passe par le petit bureau. Il dit à la fille de l'auberge :
— Je ne couche pas ici ce soir
La fille râle un peu mais elle doit être
amoureuse de lui, vu qu'elle lui dit :
— Tu reviens, hein, Kriss ?
— Je reviens toujours vers toi, ma
belle, et je n'oublie pas notre projet.
Quel projet ? Grrr ! Au passage, il prend
un vieux coussin et il le fixe sur le porte-bagages du vélo avec un sandow.
C'est cool d'être aussi attentionné pour mes fesses. Ça peut vouloir dire qu'il
a des projets les concernant. Je m'assieds sur le coussin et je me colle à
Kristos. Il est sportif et on va vite... On doit attendre cette moule de
Julien. On fait assez rapidement les 6 km qui nous séparent du village
naturiste. Arrivés au parking, je dis à Kristos :
— Ici on doit se déshabiller.
Ce n'est pas tout à fait exact, la nudité
n'est pas obligatoire, mais j'ai envie qu'ont soit nus, lui et moi, genre Adam
et Ève... Et Julien fera le serpent, mais un tout petit, disons un orvet.
On se déshabille... vous voyez Julien
physiquement ? Kristos c'est le contraire : grand, baraqué, des poils
noirs sur la poitrine, le bas-ventre, les cuisses et un sexe à rendre rêveuse
un pensionnat de jeunes filles (de plus de 18 ans, bien sûr). On forme un
couple très séduisant : la belle, la bête et puis... le... la souris !
On met nos vêtements dans le sac de Julien.
On remonte sur le vélo, je mouille un peu le coussin qui est sur le
porte-bagages. Je me colle à nouveau à Kristos, mes seins nus appuyés contre
son large dos. Il me dit :
— Me colle pas, je vais bander !
— Chouette.
Je veux lui montrer le village. On roule un
peu et on gare les vélos en mettant l'antivol. On ne peut pas laisser le sac
sur le porte-bagages. Je dis à Julien :
— Tu prends le sac et tu marches 5 pas
derrière nous. Compris ?
— Oui, Samia.
Kristos éclate de rire. Je lui montre la
grand-rue, la plage. Derrière nous, il y a Julien, notre petit âne porte nos
bagages. D'accord, le sac est lourd mais il a le spectacle de mes fesses qui se
balancent juste devant lui ! C'est mieux que tous les couchers de soleil, non ?
On se balade un peu sur la plage, Kristos regarde les filles, comme tous les
nouveaux venus. Je ne sais pas si je ne vais pas être jalouse, moi. On achète
quelques bières et on les boit en regardant la mer, en ce qui me concerne, les
filles en ce qui concerne Kristos. Je voudrais qu'il ne regarde que moi ! Il me
demande :
— J'ai la dalle, on va acheter des
sandwichs ?
— On peut aller dans un petit
restaurant où ils font des sardines grillées.
Nous laissons nos vélos, le restaurant est
tout près.
On mange, on boit, l'ambiance est sympa. On
discute avec le patron. Vers 11 h, je paye. Kristos attend un mandat, il
me remboursera.
On va au camping en vélo, mes seins sur le
large dos de Kristos. Notre tente est du genre ringard, mais comme il
"fait la route", ça ne le dérange pas.. Il s'occupe enfin de moi...
Il me couche sur le dos pour me faire un cunni, c'est une grande preuve
d'intérêt, car les hommes qui habitent autour de la Méditerranée ne font pas ça
souvent. Il me lèche habilement, tandis que je caresse son dos de mon talon
gauche... Il fait ça beaucoup mieux que Julien. J'ai l'impression de me faire
lécher par un caméléon tellement sa langue est longue et s'immisce dans tous
les recoins de ma... vulve. Un mot pas très classe, mais tellement excitant.
Quand il arrête de flirter du bout de la
langue avec tous les recoins de ma chatte, il la fait tourner autour de mon
clito. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps... Quelques minutes plus
tard, je grimpe aux rideaux de la tente... Je vais finir par avoir la peau de
ces putains de rideaux ! Heureusement que c'est une image. C'est bon ! Il est
beau, il lèche bien et il est à moi. J'ai un amant et un esclave. Je lui
demande :
— Tu veux que je te suce ?
— Non, mets-toi sur le côté, j'ai
envie de bien sentir tes fesses.
C'est gentil aussi, ça... Je me couche et
il se met derrière moi... Plus besoin de préliminaires, ma chatte est devenue
préhensile, elle attrape son sexe et l'enfonce en elle ! Il me remplit... de
bite et de plaisir, je lève une de mes jambes en disant :
— Julien !
Aussitôt, il vient coller sa bouche à ma
chatte et au sexe de Kristos qui va et vient en elle. Je l'ai bien dressé.
J'aime le savoir là, en dessous, la bouche collé à nos sexes. J'ai joui il y a
seulement quelques minutes mais je suis de nouveau super excitée par ce sexe en
moi et cette langue qui me lèche.
Kristos sait se retenir... longtemps. Il me
fait jouir à nouveau, avant d'inonder ma vulve (excitant, non ?) de son foutre
(ça aussi !)... Ensuite il reste en moi... et on s'endort, avec Julien à nos
pieds.
***
Le lendemain, quand on se réveille, je
montre à Kristos le cérémonial du matin. Julien embrasse et lèche ma chatte qui
est à peine réveillée et toute collante de nos ébats de la veille. Ça excite
Kristos et son sexe remplace rapidement la langue de Julien. C'est un
"quickie" comme on dit à Buckingham Palace, une petite baise express,
mais ça fait un bien fou pour commencer la journée.
On se douche et on va déjeuner. Ensuite
nous partons aux Flots bleus. Je suis sûre qu'on demandera à Kristos de poser
avec moi. On entre dans le bar. Je dis bonjour à Madame Simone et à Kriss. Je
leur présente Kristos en disant :
— Il serait d'accord de poser avec
moi.
Il me répond aussitôt :
— Ah non, sorry petite, j'ai réfléchi
et comme je fais des études en histoire de l'Art à Barcelone, je ne veux pas
poser nu.
Merde ! Histoire de l'art comme Kriss !
C'est quoi, cette connerie ? Kristos le routard, un étudiant ?
Et, bien sûr, Kriss lui dit :
— Moi aussi, je fais Histoire de
l'art, mais à Aix en Provence.
Ils commencent aussitôt à parler études,
universités, Barcelone et ah, Gaudy et oh, la Sagrada Familia. Et ça dure...
Madame Simone finit par me dire :
— Il est l'heure, va dresser les
tables, Samia.
— Oui, Madame (grrrr !)
Je me tourne vers Kristos et lui dis :
— Si tu as envie de faire un tour sur
la plage, je finis à 2 h 30 '
Madame Simone intervient :
— Non, tu as des photos en début
d'après-midi.
— Mais Madame, je voulais rester avec
lui...
J'en ai les larmes aux yeux ! Madame Simone
poursuit :
— C'est bien payé... et j'ai dit que
tu le ferais.
C'est aussi l'avis de Kristos :
— Bien sûr, fais-le. Tu pourras
m'aider en attendant mon mandat.
Mouais... Madame Simone clôt la
conversation en disant :
— Allez, au travail, Samia !
Je vais aider Anaïs et Julien qui ont déjà
commencé. Madame Simone et Kriss continuent de discuter avec Kristos. Je les
entends rire tous les trois, ça me fait râler. Et ce n'est pas fini. Vers midi,
les premiers clients arrivent et je vois que Kriss fait asseoir Kristos dans la
partie de la terrasse où Anaïs fait le service. Je vais lui dire :
— Tu ne voulais pas te balader sur la
plage ?
— Ta patronne m'a proposé de manger
ici. Elle est vraiment sympa. Sa fille aussi, d'ailleurs.
Justement, cette salope fonce sur moi en
disant bien haut :
— On ne te paye pas pour discuter.
Je lui arracherais bien une oreille avec
les dents ! Je fais comme si tout ça était normal, mais intérieurement, je suis
enragée... Je me concentre sur mon service. C'est interminable, ce midi et ça
n'arrête pas, je cours plus que jamais pour servir ma moitié de terrasse.
D'autant plus que Madame Simone a dit qu'elle avait besoin de Julien en
cuisine. Le coup de grâce, c'est quand Kriss va s'asseoir en face de Kristos.
Enfin, il est 2 h 30. Kriss fait
la caisse. Elle partage les pourboires. Madame Simone me fait un petit plan
pour trouver le photographe. C'est dans la plus belle partie du village.
J'appelle Julien, mais Madame Simone me dit :
— Il veut une fille seule. Julien peut
rester ici, il me donnera un coup de main. Le client te veut à 3 h.
Bon... J'aurai toute la soirée avec
Kristos. Il discute toujours avec Kriss. Je vais lui dire :
— Je serai de retour à 6 h, on
ira manger, je connais...
— D'accord, bonnes photos.
Je veux l'embrasser mais il a repris sa
discussion avec Kriss. Ce n'est pas mon jour. Seule chose positive, Julien me
regarde d'un air suppliant, il veut rester avec sa maîtresse. Je vais lui
dire :
— Je reviens à 6 h. Tu obéis à
Madame Simone.
— Oui, Samia...
Voilà un homme comme je les aime. Non, ce
n'est pas vrai, c'est Kristos, mon genre d'homme, bien sûr. Je prends mon
vélo... Cet après-midi, la magie n'opère pas : ma chatte reste presque
sèche sur la selle. Je vais montrer mon cul à un connard alors que j'espérais
passer une après-midi en amoureux avec Kristos. Et Julien pour tenir la
chandelle.
Le monde ne s'arrête pas de tourner parce
que je ne serai dans ses bras que ce soir. Je me ressaisis et je termine le
trajet en gigotant un peu sur mon vélo. Ça marche enfin : ma chatte me
remercie silencieusement...
La villa est belle, le mec sympa, je dois
me déshabiller... mais non, j'arrive toute nue. Un vicieux me demanderait de
m'habiller. Je fais les photos qu'il veut, je me caresse même la chatte mais
avec distinction, genre le petit doigt levé, toujours comme à Buckingham
Palace, là où on fait des "quickie". Je joue avec son chien, un grand
clebs jaune de marque indéterminée.
Il est très affectueux et il a une longue
langue légèrement râpeuse. L'appareil crépite... Au début, j'ai Kristos en
tête, mais rapidement la chienne en moi prend le dessus !
À la fin de la séance tout le monde est
content, moi qui ai reçu 1000 francs ! Le photographe qui a des super
clichés et le chien jaune qui a l'impression de m'avoir fait plein de petits
chiots. Mais ça s'peut pas, bien sûr... Enfin, j'espère.
Il m'embrasse, c'est mignon et...
troublant...
Je repars vers les Flots bleus... Je colle
à la selle, oui, à cause du chien jaune. Je vais vers la maison.
A suivre.
Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour
les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3 et 4 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
Vivement la suite...
RépondreSupprimerD****, belle histoire ....
RépondreSupprimer