Son gros gland luisant, une glace ? Ça va pas la tête, Tonton ? Mais vu que je ne peux pas rejeter ce truc à la mer, je lèche et je suce. Il me faut beaucoup d'imagination, mais Ojisan a l'air ravi de voir ma petite langue s'agiter sur ses "bas morceaux". Je n'ai pas envie de passer des heures au-dessus de ces mollusques, aussi je lui caresse fermement les couilles et j'arrive péniblement à enfoncer son gland dans ma bouche. Je me rends compte que même ma bouche est devenue plus petite. Mon faux Tonton me caresse le cou en disant :
— C'est
bon, hein ?
Ah, non ! C'est une horreur ! Mais je hoche la tête
pour dire oui, ce qui lui plaît beaucoup... J'ai l'impression que
son gland a complètement envahi ma bouche.
Il
me dit :
— Tu as une marque sur la fesse ?
Je hoche la
tête.
— Alors tu sais qu'une fille bien élevée doit tout
avaler.
Nouveau hochement de tête.
— Voilà....
aaaaavale... aaaahhhh... oui...
Oh putain ! Son sperme inonde ma
bouche et remonte même vers mon nez. J'avale le plus possible, mais
il en coule sur mes seins... Il se retire enfin. Je gémis
aussitôt :
— Ne me punissez pas, Ojisan, j'ai avalé tout ce
que je pouvais, je vous jure...
— C'était pas mal,
petite.
Ouf !
— Merci Ojisan.
J'ai du sperme sur
moi. Il me tend un kleenex et je me nettoie un peu. Nadia a fini de
déguster l’autre mollusque. Elle est assise sur les genoux de Dai
san, l'autre homme. Elle a même ses bras autour de son cou. Elle
sait y faire. C'est lui qui nous dit :
— Vous commencerez à
travailler demain. D'ici là, vous pouvez visiter le domaine. Si vous
voulez manger, soyez ici à 7 h et vous devez impérativement être
rentrées à 10 h ce soir... Sinon, on vous retrouvera et un garde
vous tirera les oreilles.
Nadia répond :
— À dix heures
moins quart, sans faute Maître et merci beaucoup de nous laisser un
peu de liberté.
On se rhabille et on les salue avant de sortir
de la serre, puis des écuries... Je dis à Nadia :
— Merci,
tu sais ce qu'il faut dire... Tu as une idée de ce qu'on va devoir
faire ?
— Ce sera Dai san notre chef, donc, du nettoyage.
—
Et tu crois que Tokyo Idols, c'est pour de vrai ?
— Oui... Tu
sais bien qu'on connaît toutes une série de chansons.
Elle
commence à chanter en japonais... Je chante avec elle. C'est vrai
qu'on connaît plusieurs chansons.
Je me colle un peu à elle...
Elle lève les yeux au ciel, mais sans me repousser. C'est
comme si on était libre et en vacances... Il fait chaud, on est
entourées de fleurs et de statues. Je ne peux m'empêcher de lui
dire :
— J'ai eu l'impression qu'il me violait la bouche avec
sa grosse bite.
Je regrette aussitôt ces paroles, elle va se
fâcher. Non, elle rit. Je lui dis :
— Pardon, je suis conne
—
C'est le mot.
— Qu'est-ce que tu as envie de faire ?
—
Boire un verre sur une terrasse, face à la mer.
Elle rêve ! On
est sur une montagne, au milieu de temples et de statues. Il y a pas
mal de visiteurs autour de nous. On est toujours habillées, disons
en lycéenne et comme ce n'est pas l'époque des voyages scolaires,
on éveille la curiosité des gens. On est franchement mignonnes,
aussi on se fait très vite draguer. Nadia éconduit les dragueurs
gentiment en disant :
— On doit rejoindre nos parents
Et
puis deux Américains trouvent grâce à ses yeux. Il y a un brun et
un blond, beaux tous les deux, genre étudiant à LA. Elle parle un
peu du domaine avec eux, puis elle leur dit :
— On aimerait
boire un verre à une terrasse.
Les gars ont un plan et ils
repèrent un établissement aux limites du site des temples. On y va.
Ils sont sympas, le brun me prend par la taille... ça me plaît de
flirter. On échange même un baiser, s'il savait le genre de
mollusque qui a élu domicile dans ma bouche il n'y a pas très
longtemps... En suivant le plan, on finit par arriver devant une
petite forêt de très grands bambous. Derrière, il y a un
établissement avec une belle terrasse et en plus, on voit la mer au
loin ! Je dis en Japonais à Nadia :
— Tu es une magicienne
!
Elle rit. On s'assied et les garçons commandent
quatre bières à une jolie serveuse. Il y a beaucoup de touristes
sur la terrasse, on est en vacances !! La serveuse apporte deux
bières pour les garçons et deux jus d'orange pour nous en disant
:
— Les demoiselles ne peuvent pas boire de bière.
Le
brun me demande :
— Vous n'avez pas 18 ans ?
— Si, je
te jure, tu peux voir nos cartes d'identité.
La serveuse dit
:
— Ces filles commencent à travailler ici demain...
D'ailleurs, on va vous l'expliquer.
On voit un garde en kimono
noir nous foncer dessus ! Aïe ! À deux mètres de nous, il désigne
Nadia du doigt, puis il indique le sol devant lui. Elle va tout de
suite s'expliquer. Pourvu qu'on ne soit pas punies, on n'a rien
fait de mal. Je n'entends pas ce qu'elle dit, mais je vois qu'elle le
baratine à fond. À un moment, j'ai l'impression qu'on parle au
garde dans une oreillette, enfin, je suppose car elle est invisible.
Il parle encore, Nouria fait la chatte, elle pose les mains sur son
bras... J'ai l'impression qu'elle obtient ce qu'elle veut. Il s'en va
et elle rejoint notre table. Elle nous dit :
— On peut boire
une bière, de la part de Dai San. Il vous en offre une aussi, les
gars.
Avec elle, tout s'arrange. Pourquoi je suis pas comme elle
? J'ai eu une de ces trouilles en voyant le garde... Elle
ajoute en me regardant :
— On doit être rentrée à
l'heure.
La serveuse apporte les bières. Il s'agit d'une bière
d'Okinawa qui s'appelle Orion, elle doit assez forte parce que ça me
monte vite à la tête. Les garçons sont beaux et sympas. Ils nous
parlent des USA, nous de la France... Le blond nous demande :
—
Alors, vous allez travailler ici ?
— Oui, nous avons nos
billets de retour, mais on doit travailler pour payer nos vacances...
Ici, les salaires sont intéressants.
Le brun demande :
—
C'est très mignon, mais pourquoi êtes-vous déguisées en écolière
?
Nadia me regarde. Je réponds :
— On a... euh...
rencontré un photographe qui voulait faire des photos de nous en
écolière. Il nous a payées et nous a donné les uniformes... Nadia
trouvait amusant de les porter... Malheureusement on a dépensé tout
notre argent.
Oui, bon, c'est un peu n'importe quoi. On fini nos
bières. Un des garçons nous dit :
— Et si on allait faire un
tour dans les bambous.
Nadia répond... ouf !
— C'est
que... On est sérieuses, enfin, vierges.
Là, ils sont sciés !
Le blond demande :
— Tu te fous de moi, là ?
— Je te
jure, mais on peut flirter... même bien flirter. Surtout si vous
nous donnez de quoi allez manger dans un restaurant, ce soir.
Ils
se regardent... puis, le brun nous dit :
— 100 $ pour nous
deux, ça vous dit ?
— Super, merci beaucoup !
Là,
on passe vraiment pour des putes déguisées... Enfin, pas vraiment,
ils ont vu le garde, ils savent qu'on va travailler ici. Est-ce qu'on
peut faire ça ? Est-ce qu'on ne va pas voir arriver des gardes noirs
armés de fouets ?
Les garçons payent et on va dans la petite
forêt de bambous. Il y a toujours des cachettes dans les bambous,
des endroits dégagés. Dès qu'on est dans une sorte de petite
cabane, les garçons nous enlacent. On s'embrasse. La bière et puis
des baisers avec des beaux gars, ça fait un bien fou. On ne m'a pas
appelée Boy-ra (chaudière) pour rien. Très vite, je mouille ma
culotte. Tout fonctionne encore, ça fait plaisir. Nadia leur dit :
—
Les gars, ne touchez pas nos chattes, mais si vous voulez, on peut
vous faire une fellation.
— Vous vous déshabillez ?
—
D'accord.
Elle se déshabille, moi aussi. Quand on est nues, ils
viennent nous caresser les seins, les fesses, pas les chattes, ils se
méfient des gardes aussi. Le plus dingue, c'est que j'ai envie de
sentir une bite en moi. Les gars se déshabillent aussi. Ils sont
musclés et appétissants. Nadia et moi, on se met à genoux devant
des belles bittes propres... enfin, presque. Une odeur légère ne me
dérange pas, au contraire. Surtout que j'ai l'impression d'avoir un
nid de fourmis rouges entre les cuisses ! Sucer
les bites de ces jeunes gens, c'est le bon moyen pour oublier
l'épisode des mollusques pas frais. Nouria et moi, on a bientôt la
bouche pleine. Je tiens le sexe de la main gauche, tandis que ma main
droite file entre mes cuisses. Je fous un bordel pas possible dans le
nid de fourmis. J'ai envie de me faire enfiler à quatre pattes,
qu'il brise ce bête sceau que j'ai dans le vagin ! Sus à l'hymen...
Qu'il me prenne comme... une chienne... aaah... en chaleur...
aaaaaahhh oouiiiii... je jouiiiiiis...
Mon vagin s'est tellement crispé qu'il a peut-être expulsé l'hymen... Je continue à sucer mon client. Il va me donner 50 $ pour le sucer et avaler son sperme. Je suis une pute bon marché, pas une écolière... Je sens qu'il va inonder ma bouche, je vais tout avaler... ça y est ! Il jouit, j'avale tout ! Personne ne va se moquer de moi et Nadia s'en fout... Alors, je me caresse à nouveau, et... ooohhhh... je jouis encore ! Je suis une pute qui jouit deux fois pour 50 $... moins cher que dans un bordel de Djibouti.
À
suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
No 8 livres illustrés par Bruce Morgan sont ici.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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