Miles
remarque notre air surpris et nous dit :
— Ne vous fiez pas
aux apparences, les filles, c'est pas mal chez moi.
S'il le
dit... Malgré qu'il soit tard, des jeunes circulent dans les rues et
ils sont plutôt inquiétants. Miles les connaît tous, ils échangent
quelques plaisanteries. Un grand type lui dit :
— Elles sont
mignonnes, les petites poulettes que tu vas farcir, Miles.
Ça
les fait rire... On entre dans l'immeuble, il y a des vidanges et des
papiers sales par terre et des graffitis décorent les murs. On prend
l'ascenseur. Pourvu qu'il soit solide. Je regarde les étages
défiler, il s'arrête au 15e étage. Là, on prend un petit escalier
qui monte encore et on arrive devant une porte métallique. Miles met
une carte plastifiée dans une fente et la porte s'ouvre en grinçant.
Brrrr... ça fait peur. On s'avance et... éclairé par la lune, on
est en pleine forêt. On voit des arbustes et des plantes partout. !
Est-ce un rêve ? Non, Nadia vient de me donner une claque sur les
fesses en disant :
— Avance, Cécile.
— Euh...
oui...
Je demande à Miles :
— C'est chez vous
Monsieur ?
— Juste une partie de cet ensemble... Ces jardins
couvrent les toits de plusieurs immeubles. Venez.
On
arrive devant une échelle métallique, on monte un étage au milieu
des plantes et on arrive devant une petite porte dissimulée sous une
glycine. Il ouvre et on entre. Chez lui, c'est une grande pièce, une
sorte de loft... Il y a un grand matelas par terre, une table et des
chaises, deux armoires, un frigo et un coin salle de bains,
c'est-à-dire une douche et un w.c.. L'éclairage est tamisé. Nadia
lui demande :
— C'est vraiment superbe dehors, mais ici vous
n'avez pas de fenêtres Monsieur ?
— J'ai mieux. Tu vas
voir.
Il pousse sur une touche de son téléphone. Les
lumières s'éteignent, le plafond coulisse et on voit le ciel, la
lune, les étoiles... Alors là, je suis sur le cul et ça fait mal
après la fessée ! Je lui dis :
— C'est trop beau...
—
Oui j'aime beaucoup cet endroit... Bon, passons aux choses sérieuses,
on se déshabille.
Il rallume dans la pièce. Quand on est nues,
il nous dit :
— Excitez-moi
Nadia se couche sur le lit et
écarte les jambes. Elle me regarde, oui, j'ai compris. Pourquoi ce
n'est pas elle qui me lèche ? Elle me montre sa chatte, je la
lèche. Je pourrais me rebeller... Je suis l'esclave de tout le monde
même d'une esclave. On ne nous a pas permis de prendre une douche ce
matin et son odeur est musquée et excitante. Je passe la langue
entre ses lèvres puis je lèche son clito. Miles nous dit :
—
J'aime beaucoup l'obéissance de Cécile : on lui montre une chatte,
elle se met à genoux et lèche, presque immédiatement.
Nadia
répond :
— Deux secondes d'hésitation de sa part, c'est
presque une révolte !
Ça les fait rire tous les deux. Moi
pas, d'abord parce que ça n'a rien de drôle et ensuite parce j'ai
la langue dans une chatte. Miles lui dit :
— Mission réussie,
vous m'avez bien excité, toutes les deux...
Une claque
sur mes fesses et il ajoute :
— Toi, je vais te prendre
par-derrière.
Je rentre ma langue, pour dire :
—
Mais....
Pas le temps de terminer ma phrase qui aurait été...
"Pas par derrière Monsieur, vous avez un trop gros sexe",
parce qu’à l'aide de son pied, Nadia me colle le visage dans sa
chatte et lui dit :
— Allez-y Monsieur, faites-la
couiner !
Oh putain ! Je me décontracte un maximum et
ouch ! Sa bite force mon cul... Je ne couine pas ! C'est plutôt
Nadia que la situation excite et qui se met à gémir.
Miles,
qui est quand même gentil, me fait un doigt de cour du côté de ma
chatte tout en m'enculant. Oui, appelons un chat, un chat... Qui va
jouir la première ? Oh ! C'est Nadia qui me mouille le visage.
Miles continue à aller et venir par la porte de derrière, j'entre,
non je sors, non j'entre... etc. Je perds à ce petit jeu, sa bite
dans mon cul, ses doigts dans ma chatte, ça fait beaucoup et je
jouis.... Miles aussi.
Pfff... ça fait du bien... Il se retire
et on se retrouve couchées sur le dos, Miles entre nous... Je
lui dis :
— Vous êtes le premier depuis que je suis baijin.
— J'étais dans ton cul, ma belle.
— Le premier dans mon cul, Monsieur.
On
est sous le ciel du Japon... Miles nous raconte la légende des
amants des étoiles... C'est une belle histoire. Je suis bien ici. Je
lui dis :
— On est bien avec vous, on aimerait rester
ici.
Nadia ajoute :
— C'est vrai... Vous voulez bien nous
acheter ?
Il rit et répond :
— Sincèrement, si
j'avais les moyens je le ferais, mais ils ont de grands projets pour
vous. Bon, les filles, il est tard, on dort.
Oh non, encore des
légendes... Il pousse sur un bouton, le panneau coulisse devant le
ciel... Je m'endors.
***
Je suis réveillée par la lumière
qui envahit la pièce. C'est Miles qui a ouvert le ciel... ou plutôt,
il a fait coulisser le panneau pour découvrir le ciel. J'ai bien
dormi malgré le stress à l'idée d'une nouvelle fessée. Miles nous
demande :
— Bien dormi, les filles ?
Nadia répond :
—
Oh oui, la meilleure nuit depuis longtemps.
J'ajoute :
—
Moi aussi, malgré le stress à l'idée d'en prendre à nouveau plein
les fesses.
— Non, ce sera une petite fessée symbolique.
—
Sérieux ?
— D'après ce que j'ai entendu...
Alors ça,
c'est une bonne nouvelle... Il ajoute :
— Prenez une douche
rapide, ensuite on va déjeuner au restaurant. Il y a une brosse à
dents "invités".
Je commence par aller à la toilette
qui est dans la pièce. J'ai fait beaucoup de choses pas convenables,
ces derniers temps, hélas, mais c'est quand même très spécial et
très gênant de faire "ça" devant tout le monde. Il y a
une soufflerie ou plutôt le contraire, dès qu'on s'assied sur le
siège des w.c. Nadia me dit :
— Dépêche !
Elle y va
aussi. Ensuite on prend une douche et on se partage "la"
brosse à dents invités. On remet les uniformes de la veille...
Quand on est prêtes, Miles fait coulisser le panneau. On sort et on
se retrouve au paradis terrestre ! Il y a des plantes et des
arbustes à fleurs. Des plantes grimpantes montent vers le ciel et
des plantes retombantes en viennent. Je veux être précise tellement
c'est beau. On est trois au paradis : Adam et Ève et Ève... On ne
fait que passer, malheureusement. On descend la petite échelle
métallique, puis on reprend l'ascenseur.
Devant le building, un
taxi nous attend et il nous conduit à La Java Bleue. Tout le monde
salue le patron. Le chef nous demande :
— Ça va les
fesses ?
Ils regardent tous. Miles nous dit :
—
Montrez-leur.
Si ce n'est que, ça ! On relève nos jupes et
on baisse nos culottes. Une fille de cuisine dit :
— Elles ne
sont même pas marquées, elles ont juste bonne mine.
Ça
les fait rire. Bon, on va s'asseoir dans un coin de la grande cuisine
et on nous apporte un petit déjeuner à la française avec des
croissants au beurre et du café. Nadia dit à Miles :
—
J'espère qu'on se reverra.
J'ajoute vite :
— Oh, moi
aussi j'espère, vous êtes gentil et vous habitez au paradis.
Il
sourit et répond :
— Vous savez, on fait partie du même...
groupe, on se reverra certainement.
On n'a pas le temps de
parler plus, car on frappe à la porte de service. Un grand Japonais
entre. Il nous repère et s'incline devant Miles en disant :
—
Je m'appelle Sasori et je viens chercher les filles.
Il remonte
la manche de sa chemise. Sur la face interne de son avant-bras, il a
un tatouage de koï. OK, on a compris. Il sort deux robes d'un sac en
disant à Miles :
— Les filles doivent se changer.
On
enlève nos uniformes et on met les robes... Il s'agit de deux robes
plissées qui arrivent sous les genoux. Il y a une noire et une
blanche. Nadia prend la noire. M'en fous, elles sont belles toutes
les deux. L'homme nous annonce :
— On y va.
On embrasse
Miles et on dit au revoir au personnel de la cuisine, puis on suit
l'homme et on monte dans sa voiture. Il nous dépose près d'une
grosse camionnette. On doit y monter. Yoake est là avec des
techniciens. On s'incline devant elle. Elle nous dit :
— On va
vous maquiller et vous coiffer, asseyez-vous.
Deux femmes
s'occupent de nous. Quand on est coiffées et maquillées, elle nous
dit :
— On va vous donner un paquet que vous devrez
prendre à deux mains, à hauteur de la poitrine. Vous me suivrez à
deux mètres et au moment où je m'arrête, une soufflerie fera voler
vos jupes. Vous n'aurez qu'à pousser des cris.
Nadia lui
demande :
— Comme la scène de Marilyn dans "7 ans de
réflexion" ?
— Exactement.
Bon... ce n'est pas
d'une grande originalité, mais ça peut être joli. Yoake ajoute :
—
Et vous serez fessées bien sûr, mais une fessée rapide, on est
quand même dans le centre-ville.
Yoake sort de la voiture. Un
de ses assistants donne à chacune un paquet d’un mètre de long
qu'on porte serré sur la poitrine. On suit Yoake et quand elle
s'arrête, un violent souffle d'air fait s'envoler nos jupes. On
reste là à pousser des bêtes petits cris de fille chatouillée. On
rit et on tourne sur nous-mêmes en montrant nos chattes épilées et
nos belles fesses. On entend des rires et des sifflets.
Au
bout de quelques minutes, la soufflerie s'arrête et un homme crie
:
— Vous n'avez pas honte de vous donner en spectacle d'une
façon aussi indécente ?
À
suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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