Elle
s'habille et elle nous dit :
—
On va déjeuner.
On
prend l'ascenseur pour descendre au 3e sous-sol. Il y a un très
grand restaurant avec une baie vitrée et une terrasse. Il y a déjà
du monde pour le petit déjeuner. Yoake se dirige vers l'équipe
technique, déjà installée. Ils se lèvent en la voyant, elle est
le chef. Ils la saluent, tandis qu'elle nous dit :
—
Vous mangez là.
Elle
nous désigne une table de deux près de la porte des toilettes. On
ne demande pas mieux. Après s’être assises, on nous sert un petit
déjeuner typiquement japonais : riz, légumes, poissons, quelques
fruits et du thé. On a faim et on mange. Je pense aux vrais petits
déjeuners : croissants au beurre, pains au chocolat, beurre,
confitures de framboise et café. Quand on a fini, on se relaie aux
toilettes. Lorsque j'en sors, un des hommes de l'équipe technique se
dirige vers nous. Il nous dit :
—
Mettez vos vestes les filles, on part.
Il
est tôt, mais il y a déjà foule pour admirer le lever du soleil.
On marche un peu et on arrive devant une petite tente très moche,
pas loin d'une statue de Bouddha. Autour de cette tente, il y a des
boîtes vides de bière Kirin et des papiers sales. L'homme nous dit
:
— Allez dans
la tente et mettez les vêtements qui y sont.
On
met des vêtements qui puent la bière : un pantalon et une veste en
jeans, troués et sales, un tee-shirt et des grosses chaussures. On
attend... Moi avec une boule à l'estomac à cause de la fessée à
venir. Je n'aime pas me faire remarquer, mais avec les caméras
cachées, c'est pas gagné... On entend des gens parler fort près de
la tente. Un homme crie :
—
Eh ! Vous, dans la tente !
On
sort, il y a un groupe de Japonais qui se mettent à parler tous en
même temps. Ils nous disent qu'il est interdit de camper sur le mont
Fuji.
De
plus, on est des truies parce qu'on a jeté des boîtes de bières et
des saloperies autour de la tente. Une femme crie :
—
Regarde là !
Là,
il y a une merde, une belle merde. L'homme crie à son tour :
—
Saleté d'étrangères ! Vous avez chié sur le mont Fuji, un lieu
sacré !
Je
réponds :
— Et
toi tu ne chies jamais, connard ? Allez tous vous faire
foutre.
Nouria se
retourne et montre ses fesses en disant :
—
On vous chie dessus, bâtards !
Ce
texte très classe n'est pas de nous. Têtes des gens ! Et tout ça
pour arriver à la même chose que dans le bassin. L'homme qui crie
le plus fort me prend sous son bras... Un autre attrape Nouria. Ils
tirent sur nos jeans qui ne sont pas fermés. On se retrouve les
fesses à l'air au sommet du mont Fuji. Il fait froid, mais pas pour
longtemps, hélas ! Des claques sonores viennent percuter nos
fesses. Je crie :
—
Vous n'avez pas... aïe !... le droit, on déposera... aïe !...
plainte...
Nouria
gémit et crie aussi... Les hommes frappent fort et je change de
discours :
—
Pardon... aïe !... c'est parce qu'on a... aïe !... trop bu...
aïe !... laissez-nous partir !
On
reçoit au moins une cinquantaine de claques sur les fesses... Je
n'ai plus froid du tout, au contraire, mes fesses me brûlent !
Enfin, ils nous remettent sur nos pieds, en disant :
—
Maintenant, vous allez tout nettoyer sans remonter vos pantalons.
Les
pèlerins sont devenus des voyeurs : ils ont tous leurs téléphones
en main pour nous filmer et nous photographier ! Une femme me
montre la merde en disant :
—
Ramasse !
J'obéis...
Elle est toute dure à cause du froid ? Non, c'est parce qu'elle
provient d'un magasin de farces et attrapes ! C'est à ce moment
que Yoake arrive avec l'équipe en s’exclamant :
—
Vous avez tous été filmés pour Channel 24 !
Le
reste de l'équipe les applaudit. Ils sont très surpris, les
pèlerins devenus acteurs maintenant ! Une femme s'écrie :
—
Je m'en doutais !
Dans
l'ensemble, ils ont l'air contents de passer à la télé, à part un
couple qui ne semble pas du tout d'accord. L'homme dit :
—
C'est un site sacré !
Yoake
répond :
—
Justement, on saura ce qui arrive à ceux qui le profanent.
C'est
n'importe quoi ! Yoake entraîne le couple à l'écart et ils
discutent un peu. À mon avis, l'argument de Yoake doit ressembler à
des yens. Elle revient près du groupe et leur dit :
—
Ceux qui veulent être dans l'émission devront signer un document
pour accord et ils recevront immédiatement une somme de 10.000 yens
(environ 100 $). Ceux qui ne veulent pas seront effacés.
Ils
sont tous d'accord. Ils donnent leur identité et signent un
document. Moi, je dépose en douce la fausse merde, mais Yoake me dit
:
— Garde-la en
main.
Quand on a
aussi mal aux fesses, on n'envisage pas un seul instant de ne pas
obéir. Je m'approche de Nouria pour prendre sa main. Une femme vient
nous demander :
—
Ça va ? Il a frappé fort ?
Toutes
les deux, on se frotte les fesses en grimaçant. La femme poursuit
:
— Vous êtes
payées pour faire ça ?
Yoake,
qui surveille tout, répond :
—
Ce sont des vicieuses, elles adorent s'exhiber et se faire fesser en
public. N'est-ce pas les filles ?
On
répond :
— Oui,
c'est vrai.
Bien
sûr que non, on déteste ça... Moi, je veux être riche et libre...
Non, d'abord libre, puis riche et avoir des amoureux et des
amoureuses gentils... et je suis là, avec les fesses aussi rouges...
oui, que le drapeau japonais, et avec une merde dans la main. Quand
ils ont fini d'engager les figurants, Yoake les salue, nous aussi. Un
homme de la production nous donne deux sacs à dos, en disant :
—
Vous portez ça, les filles.
Ouch !
Ils sont lourds. Les hommes ont des sacs encore plus gros, avec du
matériel. Yoake est la seule qui a un tout petit sac avec son drone
chéri, je suppose !
On
quitte le Mont Fuji.. en priant pour ne pas déraper et tomber sur
nos fesses. Monter est pénible, descendre aussi, peut-être même
plus difficile... Surtout quand on a bu la veille et qu'on a été
stressée et fessée juste avant. On a mis plus de six heures pour
monter, mais descendre, je crois que ça va prendre le même temps.
Après trois heures de marche, on fait une pause. On boit de l'eau et
on mange des barres chocolatées. Nouria et moi, on s'assied l'une
contre l'autre, par terre. Aïe nos fesses ! Le chocolat et le
sucre, ça fait du bien... Je dis à Nouria :
—
Je dois faire pipi.
—
Moi aussi.
Elle se
lève et va s'incliner devant Yoake en demandant :
—
Est-ce qu'on peut faire aller faire pipi, Mademoiselle ?
Elle
réfléchit et répond :
—
Mitsuko parle avec son ours ?
—
... Euh... Oui, Mademoiselle.
—
Je veux que Cécile demande la permission à la merde qu'elle a dans
la main.
Sérieux ?
Elle a un grain, cette fille ! Elle siffle et son drone vient se
positionner au-dessus de nous. J'ouvre la main et demande :
—
On peut aller faire pipi, s'il vous plaît, Madame la merde ?
Yoake
répond avec une petite voix ridicule :
—
Oui, mais là où vous êtes !
Rires
de toute l'équipe. Bah... au point où nous sommes, on s'en fout
grave de montrer nos culs. On se déculotte, on s'accroupit et on
pisse. Quand on a fini, on se secoue un peu comme font les filles qui
n'ont pas de kleenex. Je me demande comment Yoake arrive à diriger
son drone... Elle doit avoir un implant. On remonte nos culottes et
nos jeans.
Yoake
me dit :
—
Balance cette merde.
Alors
là, volontiers. On mange encore un peu, puis on repart... C'est long
et pénible... Ce n'est qu'au milieu de l'après-midi qu'on arrive
dans le parking. Un petit autocar qui nous attend. Nouria et moi, on
s'assied ensemble dans le fond. J'entends un homme dire :
—
On en a bien pour 2 h 30 avant d'arriver à Tokyo.
Bon,
on va à Tokyo... Je dis à Nouria :
—
J'ai trop envie de voir Tokyo. Dis, tu veux pas demander à Yoake si
on pourra visiter ?
—
Pourquoi tu ne lui demandes pas toi-même ?
—
J'ose pas... allez... steuplééé !
Elle
se lève et va s'incliner devant Yoake, qui la laisse un moment comme
ça, avant de lui dire :
—
Quoi ?
—
Cécile et moi, on rêve de visiter Tokyo, ne fut-ce qu'un petit
moment.
Elle
réfléchit, puis répond :
—
La tente, ça s'est bien passé.... vous pourrez faire un tour demain
matin.
— Merci
beaucoup Mademoiselle.
YES
! Elle a réussi. Yoake ajoute :
—
Et si vous voulez un peu d'argent, allez vendre vos culottes. Mais
gardez-les toute la nuit, vous les vendrez plus cher.
Les
gens de l'équipe rient complaisamment. Je me souviens avoir vu, dans
un documentaire sur le Japon, des magasins qui vendaient des
vêtements, des tenues sexy et des culottes portées. Elles étaient
présentées dans des boîtes avec la photo de la propriétaire. Il
paraît que beaucoup de filles font ça pour avoir un peu plus
d'argent de poche. Nouria revient s'asseoir à côté de moi. Je lui
glisse à l'oreille :
—
Super, on le fait ?
—
Bien sûr.
Je vais
à la cuisine. Heureusement, Lucinda sait ce qu'ils veulent et elle a
tout préparé. J'apporte le café, le thé, puis tout le reste...
Ils ont tout le temps besoin d'autres choses. Dolorès et son père
arrivent aussi.
Quand
tout le monde a terminé, je suis rouge et en sueur. Je dois
débarrasser et tout ramener à la cuisine, toute seule, alors qu'il
y a des esclaves... Telle est la volonté de Dolorès. En partant,
elle me dit :
—
À partir de 3 h, sois dans la cuisine.
—
Oui, Maîtresse.
—
Ah, oui, tu sais masser les pieds ?
—
Je ne l'ai jamais fait, Maîtresse.
—
Demande à Lucinda et tâche d'apprendre vite. Sinon, tu seras
punie.
Elle fait
un petit geste qui signifie "maintenant, dégage". Je fais
une révérence et je vais à la cuisine. Masser des pieds...
Pourquoi moi, alors qu'il y a des esclaves partout ? Oui, bon, je
sais pourquoi : pour frimer et pour avoir des photos. Les pieds des
gens, ça me dégoûte. Sauf ceux de Summer.
A
la cuisine, j'explique à Lucinda :
—
Mademoiselle Dolorès m'a dit de vous demander comment masser des
pieds.
— Demande
ça mieux.
Je me
mets à genoux et je répète :
—
Je vous en prie, Madame, dites-moi comment il faut faire...
Elle
pousse un gros soupir avant de répondre :
—
Assieds-toi par terre.
Elle
bouge sa chaise et pose son pied droit sur ma cuisse. La première
chose qu'elle me dit de faire, c'est enlever sa sandale, ensuite...
mais j'expliquerai tout quand je devrai masser les pieds de Dolorès.
Lorsque, j'ai fini de masser les pieds de Lucinda, elle me dit :
—
C'est à peu près bien... Tu peux manger, mais sans te laver les
mains, ça me vexerait.
Ça
fait rire les deux gardes qui sont là. Quand j'ai fini de manger,
Lucinda me dit :
—
Tu peux aller où tu veux mais sois à l'heure à ton rendez-vous.
—
Je peux aller sur la plage, Madame ?
—
Oui.
Je pourrais
m'enfuir... mais aller où, sans papier et surtout sans Summer ? Et
puis, on est sur une île, il faudrait trouver un bateau... Je sais
aussi qu'avec Summer, je me sens bien, apaisée. Cette partie de
l'île est privée, alors, arrivée sur la plage, j'enlève mon
uniforme et la culotte blanche que j'ai dû mettre. Je cours sur le
bord de sable dur, léché par la mer. Il y a un drone qui me suit,
rince-toi l'œil petit robot ! J'entre un peu dans l'eau, mais je me
méfie de tout ce qui vit ici. On dit que la mer de Cortez est une
des plus riches du monde...
Peu
après, je vois des dauphins bondir hors de l'eau. On en voit souvent
et même des baleines, m'a dit Mateo, mon amant du premier soir... Je
m'allonge sur la bande de sable dur... Je me relaxe, enfin... Le
drone ne me quitte pas de l'œil. Je n'ai plus de bijoux, ni de
montre. Alors, quand j'ai l'impression qu'on approche de midi, je
retourne à la cuisine pour manger avec les gardes. Les esclaves
prennent leur repas assises par terre.
Quand
j'ai fini de manger, j'irais bien m'allonger à l'ombre d'un arbre
dans la propriété, mais j'ai peur de m'endormir et de ne pas être
ici à 3 h, comme Dolorès me l'a dit. Je demande Lucinda :
—
Je peux attendre ici que Mademoiselle Dolorès me fasse appeler,
Madame ?
—
Bien sûr et tu vas même te rendre utile.
Elle
va prendre une grande boîte, pleine de couverts oxydés, et la met
devant moi, avec une bouteille de nettoyant et un chiffon, en
ajoutant :
—
Fais briller ces couverts, comme ça tu ne t'ennuieras pas.
Garce !
Mais, prudente, je ne discute pas. Ah, le drone revient me survoler.
Il doit y avoir un homme dans la salle de contrôle qui est amoureux
de moi ou alors, Dolorès veut me filmer dès que j’ai une autre
activité. Nettoyer de l'argenterie, c'est un sale boulot, le produit
pue et il faut frotter fort... Je fais ça pendant 2 h... Les gardes
qui viennent manger me parlent un peu.
Enfin,
une esclave arrive et se met à genoux devant Lucinda, en disant :
—
Mademoiselle Dolorès demande qu’Ashley les rejoigne, Madame.
—
D'accord. Ashley, lave-toi les mains et vas-y.
—
Oui Madame.
Lorsque
j’ai les mains propres, l'esclave m'amène sur la terrasse. Dolorès
est là avec trois autres filles, deux brunes et une blonde. Elles
sont en short et tee-shirt. Je regarde Dolorès qui me montre le sol
devant elle. Je m’approche, mais elle fait un geste de haut en bas
avec son index. Je m'agenouille... Summer sera bientôt là. Le sol
est dur sur la terrasse... Les filles parlent "garçons" et
"vêtements", jusqu'à ce que Dolorès leur dise :
—
Regardez bien cette esclave.
Tous
les regards se tournent vers moi, une fille lui demande :
—
Qu'est-ce qu'elle a de spécial ?
Dolorès
répond :
—
C'est Ashley Stirland, la vedette de Cléopâtre, qui est ensuite
devenue Première Dame.
Exclamations
des filles... Une brune avec des bottes (par cette chaleur) lui dit
:
— Fais-la se
déshabiller, Lola (diminutif de Dolorès).
Un
regard de Lola et je me relève. J'ai mal aux genoux. J'enlève la
jupe noire, le corsage et la culotte blanche qui compose mon
uniforme. Elle me dit :
—
Tourne-toi.
Une de
ses amies y va de son commentaire :
—
Elle a une de ces paires de fesses... Tu devrais la mettre au régime
et l'obliger à faire de la gymnastique. C'est ce que je fais avec
mes esclaves.
Dolorès
répond :
—
C'est vrai qu'elle a des grosses fesses. Saute sur place, Ashley.
Je
me mets à sauter... Les filles rigolent parce que mes fesses vont et
viennent. Dolorès ajoute :
—
De face, maintenant, et saute plus haut !
Nouveaux
rires idiots en voyant mes seins se balancer. Je saute bêtement
pendant quelques minutes, jusqu'à ce que Dolorès me dise :
—
Tu as été bien ridicule, maintenant, présente-toi à chacune de
mes amies comme tu le fais le matin.
Summer
va venir me chercher, le reste, je m'en fous... Je vais devant la
blonde en short, bustier et baskets noirs. Je me mets à genoux et
j'embrasse sa cheville.
Ensuite,
je me redresse et lui demande :
—
Je m'appelle Ashley, que puis-je faire pour vous Mademoiselle ?
—
Fais la chienne !
Quoi ?!
Je me mets à quatre pattes et j'aboie... un peu. Les gens qui sont
sur la terrasse rigolent. La fille me dit :
—
Va chercher un bâton.
Je
me relève, mais Dolorès crie :
—
À quatre pattes, stupide animal !
Oh
putain ! Je vais dans la pelouse, près des arbres, et je reviens
avec un bâton dans... la gueule. Je le donne à la blonde. Les
filles se marrent et continuent pendant un moment à me lancer le
bâton.
Dolorès
arrête le jeu en disant :
—
Continue à te présenter.
Je
vais me mettre à genoux devant sa voisine, qui est brune. J'embrasse
également sa cheville et lui répète la même phrase. Elle me dit
:
— Tu es une
chienne en chaleur ! Couche-toi sur le dos, les pattes en
l'air.
Quand je
suis dans cette position ridicule, elle pose sa basket sur ma chatte
et frotte. Ouch ! D'abord c'est dégoûtant pour ma pauvre chatte
et au bout de quelques minutes... ça m'excite. Oui, c'est dingue.
Elle me frotte juste assez fort pour que je me tortille sous son
pied. Là, les gens qui sont sur la terrasse viennent voir le
spectacle. La semelle de sa basket, c'est pire qu'un sex toy... Je
finis par jouir sous son pied, comme... oui, une chienne en chaleur.
La fille me dit :
—
Lèche la semelle maintenant.
Elle
pose le talon par terre, le pied relevé. Je dois ramper pour arriver
à lécher la semelle pendant quelques minutes. Dolorès me dit :
—
Va nous chercher à boire. Dépêche-toi !
—
Oui Maîtresse.
Je
vais à la cuisine en pleurant, nue comme une esclave. Lucinda me
demande :
—
Qu'est-ce que tu as ?
—
Elles me font des choses horribles, Madame.
Elle
me prend contre elle et me dit à l'oreille :
—
Summer sera là bientôt et vous partirez.
Elle
lève les yeux vers le drone. Je fais juste une pression de la main
sur sa taille, un geste qui signifie : 1000 mercis... Comme pour le
petit déjeuner, Lucinda sait ce que les filles veulent. Je prends un
plateau couvert de boissons et de trucs à manger. Ouch ! C'est
lourd. Pourvu que je ne tombe pas ! J'arrive tant bien que mal à
mettre le plateau sur une table basse devant ces sales petites
putes ! Maintenant, mon problème, c'est que je ne sais plus qui a
commandé quoi. Dolorès me demande :
—
Tu attends quoi ?
—
J’ai oublié qui...
Une
de brunes me coupe la parole :
—
Tu serais pas stupide ?
—
Si, Mademoiselle.
Moins
que toi, sale... Dolorès me rappelle quelle boisson je dois servir.
Ensuite, elle ajoute :
—
Si on se faisait masser les pieds, les filles ?
—
Oui, bonne idée !
Dolorès
me dit :
—
Commence par la demoiselle blonde.
—
Oui Maîtresse.
—
Tu vas aller te mettre à genoux devant elle, lui ôter ses
chaussures et lui masser les pieds. C'est à la portée de ta faible
intelligence ?
—
Oui, Maîtresse.
Je
vais m'agenouiller devant elle, les fesses posées sur les talons. Je
défais les lacets et enlève les baskets. Ouch ! La brune qui a
des bottes courtes s'exclame :
—
Mae, tes pieds puent ! Il y a longtemps que tu ne les as plus
lavés ?
En
riant, la fille répond :
—
Quelques jours.
Les
filles se mettent toutes à rire.
À
suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre
nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y
a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez
l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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