Bel
effort, Altesse ! Oui il paraît que c'est comme ça qu'on appelle
un Prince. Mya-Tao me dit :
—
Reprend ton service, Cécile.
—
Oui Mademoiselle.
Avec
une autre servante, je leur sers du champagne. Alors que je passe
près de lui, le gros homme glisse sa main sous ma jupe et remonte en
force entre mes jambes. Je pousse un bête petit cri, tandis qu'il
dit :
— Moi, les
femmes, je les attrape par la chatte, même les servantes. Surtout
quand elles ont un aussi beau cul.
Thaï
1 répond :
—
Elles sont là pour ça, cher Monsieur Westraub.
Il
me regarde en demandant :
—
C'est vrai, tu es là pour ça ?
—
Oui Monsieur, je suis là pour vous satisfaire.
Il
retire sa main de ma chatte et il me donne une bonne claque sur les
fesses disant :
—
On parlera de ça plus tard.
Oh
! que je l'aime pas et oh ! qu'il est moche !
Tout
le monde boit du champagne. Si je dois débarrasser, je finirai les
verres et les bouteilles. Sauf le verre de ce Westraub...
On
entend un bruit de voiture, Thaï 2 s’adresse à nous :
—
Les servantes, allez accueillir les autres invités.
On
va vite sur le perron. Deux voitures se sont garées devant la
maison.
Six
personnes en descendent, trois hommes et trois femmes. Je m'incline
en disant :
—
Bienvenue chez Mademoiselle Mitsuko. Si vous voulez bien nous
suivre...
Ces gens
ne font absolument pas attention à moi. Ils sont peut-être
sourds... Une troisième voiture arrive et il en sort plein de
filles... Enfin, six quand même. Trois Occidentales, une Black et
deux Japonaises. Toutes jeunes et jolies... Pas vraiment des putes,
je dirais plutôt des starlettes. Elles rejoignent le groupe plus âgé
et tout le monde discute. Je récite à nouveau mon petit compliment
et là, ils me suivent.
On
entre dans la pièce de réception et les gens plus âgés vont
saluer le Prince, ses Thaïs et Monsieur Westraub. Ensuite, les six
jeunes femmes vont s'incliner devant lui. Tout le monde s'installe.
On est trois servantes pour faire le service. Une des jeunes filles
demande en murmurant :
—
C'est normal, cette servante qui reste assise ?
Le
Prince qui a entendu lui dit :
—
Regarde-la bien.
—
Euh... elle est parfaitement immobile, mais...
Thaï
2 me fait un signe et je vais m'asseoir à côté d'elle, exactement
dans la même position. Il y a des exclamations, des rires et surtout
des compliments pour la similitude. Une des jeunes femmes s’exclame
:
— C'est
extraordinaire !
Thaï
1 répond :
—
Oui, nous en sommes contents.
Un
signe de la main de Thaï 1 vers moi, je me lève et recommence à
servir. Ils parlent de moi, enfin de ma poupée et des projets... Je
comprends qu'ils sont tous dans le milieu du spectacle, Monsieur
Weistraub étant manifestement le plus important. C'est lui qui parle
et qui rit le plus fort. Les six nouveaux venus sont dans la
cinquantaine pour les hommes, il y a deux femmes de 40 ans et une
jeune Black très jolie.
Les
jeunes femmes sont aux petits soins pour Monsieur Westraub, qu'elles
appellent Mr W. Je crois que leurs carrières dépendent de lui. Il
me met la main aux fesses chaque fois que je passe à sa portée. On
dirait qu'il aimerait s'occuper de ma carrière.
J'en
apprends un peu plus sur mon avenir et celui de Mya-Tao. Dans un
premier temps, on va faire des caméras cachées. C'est un des hommes
d'une cinquantaine d'années qui sera le producteur. Il a l'air
sympa... L'apéritif dure bien une demi-heure, jusqu'à ce que Thaï
2 dise :
— Mes
amis, si nous passions à table ?
Tout
le monde se lève, sauf moi. « Moi » assise sur le canapé...
On
va dans la grande salle à manger. J'ai tout préparé avec deux
autres servantes en fin d'après-midi. Il y a deux grandes tables,
une pour les gens importants et l'autre pour les jeunes femmes et
deux gardes du corps.
À
la "petite" table, les filles flirtent avec les gardes du
corps, tandis qu'à la "grande" table, on parle des projets
pour le trio Mitsuko, Mya-Tao et Cécile... On dirait que ça va
vraiment se faire, après les caméras cachées.
Quand
je la sers, la jolie Black pose la main sur mes fesses en disant :
—
Tu as un super cul pour une Blanche.
—
Merci, Mademoiselle.
Elle
fait une pression sur mes fesses.
Ils
mangent.... Du caviar en entrée, ensuite du faisan et comme dessert,
des moelleux au chocolat avec de la sauce anglaise et de la crème
fraîche. Un vrai repas japonais. J'ai faim, je salive en les
regardant manger. Pourvu qu'on nous donne les restes. Dès que le
repas est fini, on repasse dans la pièce de réception. Oh ! Je
suis toujours assise dans le canapé mais nue. Je suis franchement
belle.
Thaï 2 me dit :
— Va
dehors pour te déshabiller, ensuite reviens t'asseoir à côté
d'elle.
Je vais
dans le couloir enlever mon uniforme, puis j'entre et je vais
m'asseoir à côté de... moi, dans la même position.
Ils
parlent tous de l’extraordinaire ressemblance et du merveilleux
travail. Bon, je ne vais pas devoir rester toute la soirée
immobile... Les deux autres servantes servent des alcools. Et, moi ?
J'ai faim, j'ai soif et je dois faire pipi.
L'apéritif
a pris du temps, les dîners aussi... Je ne vais pas dire que le
Prince est un ascète, mais il mange peu, boit peu et se couche tôt.
Donc, c'est quand même un ascète. Vers minuit, le Prince murmure
une longue phrase que je ne comprends pas.
Thaï
1 traduit :
—
Chers amis, le Prince va se retirer. Des chambres sont prêtes pour
ceux qui veulent passer la nuit ici. Faites comme chez vous et
choisissez une demoiselle si vous le souhaitez, elles sont offertes
par mes amis Henry Westraub et Frank Forest.
Les
invités le remercient et lui souhaitent une bonne nuit. Il quitte la
pièce avec ses Thaïs et Mitsuko. La plupart des invités s'en vont.
Il reste Mr W, Monsieur Frank, trois starlettes, ma poupée et moi.
Monsieur W pointe le doigt vers moi en disant à Frank :
—
Je vais prendre celle-là, je te laisse la Négresse, comme je sais
que tu aimes ça.
Nègre
et Négresse sont des mots devenus tabous, mais lui s'en fout
manifestement. Ou alors, provoquer, c'est justement ce qui lui plaît.
Je ne veux pas aller avec lui !! Une des starlettes lui dit :
—
Nous sommes ravies de passer la nuit avec vous, Mr W.
Tu
parles ! Tout le monde est à sa botte ! Enfin, pas le Prince.
Moi, qu'est-ce que je peux faire ? J'ai le nom du Prince gravé sur
les fesses ! Je suis toujours une esclave. On monte au deuxième
étage. Monsieur W souffle un peu, il pèse sûrement plus de 100 kg
et il n'a pas l'air d'aimer les escaliers.
Arrivée
dans la chambre, je n'ai pas le temps d'admirer le mont Fuji éclairé
par la lune, car il dit :
—
À poil, les filles !
Elles
se déshabillent, moi aussi. Il crie :
—
Qu'est-ce que tu fous, connasse ?!
—
Mais... euh... vous avez dit...
—
J'ai dit « à poil les filles » ! Toi, tu es une servante !
—
Oui, pardon, je...
—
Ferme-la !
Quel
fils de pute ! Non, ce n'est pas gentil pour les putes. Les filles
le déshabillent. Oh, mon Dieu, qu'il est moche : gros, mou,
adipeux ! Tout pendouille, ses pectoraux, son ventre, ses couilles,
ses cuisses... Il s'assied sur le lit, sa bite disparaît sous son
bide. Il me demande :
—
Tu sais la seule chose qui fait obéir les femmes ?
—
... Euh... non, Monsieur...
—
Une bonne fessée ! Une bonne tannée sur leurs gros culs.
Qu'est-ce que tu en penses ?
—
Moi, j'obéis et je...
—
Nancy, sandale !
La
starlette a l'habitude. Elle va fouiller dans sa valise et en
rapporte une vieille sandale en cuir. Il me dit :
—
C'est la sandale qu'utilisait mon papa sur le cul de ma mère et de
mes sœurs... Whisky !
Il
y a une bouteille sur la table devant, une des filles vient vite
remplir un verre et lui donne. Il avale une bonne lampée et poursuit
:
— Ah mon cher
papa, Dieu ait son âme ! J'adorais le voir fesser les femmes de la
maison et je te jure qu'elles filaient droit !
À
cette évocation, son sexe émerge de sous son ventre. Il prend un
des draps du lit pour se frotter les yeux et se moucher ! Il
poursuit :
— Oh
oui, elles filaient droit ! Mais ça ne l'empêchait même pas de
les fesser plusieurs fois par semaine... Surtout ma mère ! Parce que
tu vois, mes sœurs savaient y faire et elles s'arrangeaient pour la
faire punir, moi aussi. Ah, ma mère en pleurs à genoux dans un
coin, les fesses écarlates !
Il
se mouche à nouveau ! Il est vraiment dingue, je suis à la merci
d'un psychopathe ! Il poursuit :
—
Comme tu vas travailler pour moi, je vais te montrer ce qui
t'arrivera, si tu n'obéis pas. Viens vite te mettre sur les cuisses
de papa.
Que
puis-je faire d'autre qu'obéir ? Je vais me coucher sur ses
cuisses, toujours en uniforme. Il me tapote les fesses en disant :
—
Ma mère avait un cul qui ressemble au tien... Meg !
Aussitôt,
une starlette vient relever ma jupe d'uniforme. Je me tortille un peu
pour qu'elle y arrive et pour que ce dingue ne s'énerve pas. Elle
descend ma culotte jusqu'à la pliure des genoux. Pourquoi faut-il
que je tombe sur ce maniaque ? Qu'il retourne vite chez sa mère où
qu'elle soit !
Je
me raidis sur ses cuisses, tandis qu'il tapote mes fesses avec sa
sandale, tout en continuant son délire :
—
Tu sens comme la semelle est douce ? Ce sont les fesses de ma mère,
de mes sœurs et de quantités de filles qui les ont rendues aussi
douces... Tu aimes leur douceur ?
—
Oui Monsieur !
PAF !
Il vient de frapper violemment mon derrière, je pousse un cri !
Elle fait un mal de chien, sa saloperie de sandale ! Il me dit :
—
On continue, petite ?
—
J'obéirai Monsieur,
—
Je sais... mais tu obéiras encore mieux si tu as peur que je
m'occupe de ton gros derrière. Il va devenir aussi rouge que le cul
de maman.
PAF !
Une
vingtaine de fois, il frappe mes fesses, vite et fort ! Je crie à
chaque coup... Mes fesses sont en feu !
Enfin,
il s'arrête et pose la main sur mes fesses en disant :
—
Tu ne crois pas que c'est la bonne façon de traiter les femmes ?
En
pleurant, je réponds :
—
Ouiiii... Monsieur... snniiiifff.
—
Relève-toi et montre tes fesses !
Je
me lève les jambes tremblantes. Il dit :
—
Appareil !
Aussitôt,
une starlette va chercher un appareil photo et lui donne. Il me dit
:
— Tourne la
tête, que je voie ton visage et ton cul en même temps.
Je
tiens ma jupe relevée en regardant dans sa direction. Il prend
quelques photos, puis il me dit :
—
Va passer la nuit avec Frank.
—
Euh... Oui monsieur... Mais il est où ?
Il
hurle :
—
Qu'est-ce que j'en sais, moi ! Renseigne-toi, idiote !
—
Oui... Monsieur.
Très
vite, je salue et je me précipite vers la porte. Quand j'ai la main
sur la poignée, il me dit :
—
Reviens ici, la fille.
Oh
non, au secours !! Je retourne devant lui. Il me caresse la hanche
en disant :
— Je
t'aime bien.
Complètement
dingue le mec ! Lâchement, je réponds :
—
Moi aussi, je vous aime bien, Monsieur, mais j'aime moins votre
sandale.
Il rit !
Si, si, il rit... et puis il me montre la porte du doigt. Je le salue
et je pars. Ouf, il ne me rappelle plus. Je pense que Monsieur Frank
est dans l'autre belle chambre. Je vais gratter à la porte et c'est
la jolie Black qui vient m'ouvrir. En voyant mes yeux rouges, elle
murmure :
— La
sandale ?
—
Ouiiiiii....
Elle
rit, avant de me dire :
—
Il fait ça à toutes les filles au début. Tu veux quoi ?
—
Il... Il m'a dit d'aller dans la chambre de Monsieur Frank.
—
Il dort. Tu peux passer la nuit dans cette chambre-ci... il y a un
canapé.
— Merci
Mademoiselle.
Je
vais d'abord dans la salle de bain, avant de me coucher sur le
canapé. Ce n'est pas très confortable, mais je suis loin de ce fou.
Malgré mes fesses qui me brûlent, je m'endors rapidement.
À
suivre
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Bruce
Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et
"Samia, fille du voyage." Ils sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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