vendredi 17 février 2023

Maid in Japan 19 Deux fois moi.

 

Bel effort, Altesse ! Oui il paraît que c'est comme ça qu'on appelle un Prince. Mya-Tao me dit :
— Reprend ton service, Cécile.
— Oui Mademoiselle.
Avec une autre servante, je leur sers du champagne. Alors que je passe près de lui, le gros homme glisse sa main sous ma jupe et remonte en force entre mes jambes. Je pousse un bête petit cri, tandis qu'il dit :
— Moi, les femmes, je les attrape par la chatte, même les servantes. Surtout quand elles ont un aussi beau cul.
Thaï 1 répond :
— Elles sont là pour ça, cher Monsieur Westraub.
Il me regarde en demandant :
— C'est vrai, tu es là pour ça ?
— Oui Monsieur, je suis là pour vous satisfaire.
Il retire sa main de ma chatte et il me donne une bonne claque sur les fesses disant :
— On parlera de ça plus tard.
Oh ! que je l'aime pas et oh ! qu'il est moche !
Tout le monde boit du champagne. Si je dois débarrasser, je finirai les verres et les bouteilles. Sauf le verre de ce Westraub...
On entend un bruit de voiture, Thaï 2 s’adresse à nous :
— Les servantes, allez accueillir les autres invités.
On va vite sur le perron. Deux voitures se sont garées devant la maison. 


 

Six personnes en descendent, trois hommes et trois femmes. Je m'incline en disant :
— Bienvenue chez Mademoiselle Mitsuko. Si vous voulez bien nous suivre...
Ces gens ne font absolument pas attention à moi. Ils sont peut-être sourds... Une troisième voiture arrive et il en sort plein de filles... Enfin, six quand même. Trois Occidentales, une Black et deux Japonaises. Toutes jeunes et jolies... Pas vraiment des putes, je dirais plutôt des starlettes. Elles rejoignent le groupe plus âgé et tout le monde discute. Je récite à nouveau mon petit compliment et là, ils me suivent.
On entre dans la pièce de réception et les gens plus âgés vont saluer le Prince, ses Thaïs et Monsieur Westraub. Ensuite, les six jeunes femmes vont s'incliner devant lui. Tout le monde s'installe. On est trois servantes pour faire le service. Une des jeunes filles demande en murmurant :
— C'est normal, cette servante qui reste assise ?
Le Prince qui a entendu lui dit :
— Regarde-la bien.
— Euh... elle est parfaitement immobile, mais...
Thaï 2 me fait un signe et je vais m'asseoir à côté d'elle, exactement dans la même position. Il y a des exclamations, des rires et surtout des compliments pour la similitude. Une des jeunes femmes s’exclame :
— C'est extraordinaire !
Thaï 1 répond :
— Oui, nous en sommes contents.
Un signe de la main de Thaï 1 vers moi, je me lève et recommence à servir. Ils parlent de moi, enfin de ma poupée et des projets... Je comprends qu'ils sont tous dans le milieu du spectacle, Monsieur Weistraub étant manifestement le plus important. C'est lui qui parle et qui rit le plus fort. Les six nouveaux venus sont dans la cinquantaine pour les hommes, il y a deux femmes de 40 ans et une jeune Black très jolie.
Les jeunes femmes sont aux petits soins pour Monsieur Westraub, qu'elles appellent Mr W. Je crois que leurs carrières dépendent de lui. Il me met la main aux fesses chaque fois que je passe à sa portée. On dirait qu'il aimerait s'occuper de ma carrière.
J'en apprends un peu plus sur mon avenir et celui de Mya-Tao. Dans un premier temps, on va faire des caméras cachées. C'est un des hommes d'une cinquantaine d'années qui sera le producteur. Il a l'air sympa... L'apéritif dure bien une demi-heure, jusqu'à ce que Thaï 2 dise :
— Mes amis, si nous passions à table ?
Tout le monde se lève, sauf moi. « Moi » assise sur le canapé...
On va dans la grande salle à manger. J'ai tout préparé avec deux autres servantes en fin d'après-midi. Il y a deux grandes tables, une pour les gens importants et l'autre pour les jeunes femmes et deux gardes du corps.
À la "petite" table, les filles flirtent avec les gardes du corps, tandis qu'à la "grande" table, on parle des projets pour le trio Mitsuko, Mya-Tao et Cécile... On dirait que ça va vraiment se faire, après les caméras cachées.
Quand je la sers, la jolie Black pose la main sur mes fesses en disant :
— Tu as un super cul pour une Blanche.
— Merci, Mademoiselle.
Elle fait une pression sur mes fesses.
Ils mangent.... Du caviar en entrée, ensuite du faisan et comme dessert, des moelleux au chocolat avec de la sauce anglaise et de la crème fraîche. Un vrai repas japonais. J'ai faim, je salive en les regardant manger. Pourvu qu'on nous donne les restes. Dès que le repas est fini, on repasse dans la pièce de réception. Oh ! Je suis toujours assise dans le canapé mais nue. Je suis franchement belle.



Thaï 2 me dit :

— Va dehors pour te déshabiller, ensuite reviens t'asseoir à côté d'elle.
Je vais dans le couloir enlever mon uniforme, puis j'entre et je vais m'asseoir à côté de... moi, dans la même position.
Ils parlent tous de l’extraordinaire ressemblance et du merveilleux travail. Bon, je ne vais pas devoir rester toute la soirée immobile... Les deux autres servantes servent des alcools. Et, moi ? J'ai faim, j'ai soif et je dois faire pipi.
L'apéritif a pris du temps, les dîners aussi... Je ne vais pas dire que le Prince est un ascète, mais il mange peu, boit peu et se couche tôt. Donc, c'est quand même un ascète. Vers minuit, le Prince murmure une longue phrase que je ne comprends pas.
Thaï 1 traduit :
— Chers amis, le Prince va se retirer. Des chambres sont prêtes pour ceux qui veulent passer la nuit ici. Faites comme chez vous et choisissez une demoiselle si vous le souhaitez, elles sont offertes par mes amis Henry Westraub et Frank Forest.
Les invités le remercient et lui souhaitent une bonne nuit. Il quitte la pièce avec ses Thaïs et Mitsuko. La plupart des invités s'en vont. Il reste Mr W, Monsieur Frank, trois starlettes, ma poupée et moi. Monsieur W pointe le doigt vers moi en disant à Frank :
— Je vais prendre celle-là, je te laisse la Négresse, comme je sais que tu aimes ça.
Nègre et Négresse sont des mots devenus tabous, mais lui s'en fout manifestement. Ou alors, provoquer, c'est justement ce qui lui plaît. Je ne veux pas aller avec lui !! Une des starlettes lui dit :
— Nous sommes ravies de passer la nuit avec vous, Mr W.
Tu parles ! Tout le monde est à sa botte ! Enfin, pas le Prince. Moi, qu'est-ce que je peux faire ? J'ai le nom du Prince gravé sur les fesses ! Je suis toujours une esclave. On monte au deuxième étage. Monsieur W souffle un peu, il pèse sûrement plus de 100 kg et il n'a pas l'air d'aimer les escaliers.
Arrivée dans la chambre, je n'ai pas le temps d'admirer le mont Fuji éclairé par la lune, car il dit :
— À poil, les filles !
Elles se déshabillent, moi aussi. Il crie :
— Qu'est-ce que tu fous, connasse ?!
— Mais... euh... vous avez dit...
— J'ai dit « à poil les filles » ! Toi, tu es une servante !
— Oui, pardon, je...
— Ferme-la !
Quel fils de pute ! Non, ce n'est pas gentil pour les putes. Les filles le déshabillent. Oh, mon Dieu, qu'il est moche : gros, mou, adipeux ! Tout pendouille, ses pectoraux, son ventre, ses couilles, ses cuisses... Il s'assied sur le lit, sa bite disparaît sous son bide. Il me demande :
— Tu sais la seule chose qui fait obéir les femmes ?
— ... Euh... non, Monsieur...
— Une bonne fessée ! Une bonne tannée sur leurs gros culs. Qu'est-ce que tu en penses ?
— Moi, j'obéis et je...
— Nancy, sandale !
La starlette a l'habitude. Elle va fouiller dans sa valise et en rapporte une vieille sandale en cuir. Il me dit :
— C'est la sandale qu'utilisait mon papa sur le cul de ma mère et de mes sœurs... Whisky !
Il y a une bouteille sur la table devant, une des filles vient vite remplir un verre et lui donne. Il avale une bonne lampée et poursuit :
— Ah mon cher papa, Dieu ait son âme ! J'adorais le voir fesser les femmes de la maison et je te jure qu'elles filaient droit !
À cette évocation, son sexe émerge de sous son ventre. Il prend un des draps du lit pour se frotter les yeux et se moucher ! Il poursuit :
— Oh oui, elles filaient droit ! Mais ça ne l'empêchait même pas de les fesser plusieurs fois par semaine... Surtout ma mère ! Parce que tu vois, mes sœurs savaient y faire et elles s'arrangeaient pour la faire punir, moi aussi. Ah, ma mère en pleurs à genoux dans un coin, les fesses écarlates !
Il se mouche à nouveau ! Il est vraiment dingue, je suis à la merci d'un psychopathe ! Il poursuit :
— Comme tu vas travailler pour moi, je vais te montrer ce qui t'arrivera, si tu n'obéis pas. Viens vite te mettre sur les cuisses de papa.
Que puis-je faire d'autre qu'obéir ? Je vais me coucher sur ses cuisses, toujours en uniforme. Il me tapote les fesses en disant :
— Ma mère avait un cul qui ressemble au tien... Meg !
Aussitôt, une starlette vient relever ma jupe d'uniforme. Je me tortille un peu pour qu'elle y arrive et pour que ce dingue ne s'énerve pas. Elle descend ma culotte jusqu'à la pliure des genoux. Pourquoi faut-il que je tombe sur ce maniaque ? Qu'il retourne vite chez sa mère où qu'elle soit !
Je me raidis sur ses cuisses, tandis qu'il tapote mes fesses avec sa sandale, tout en continuant son délire :
— Tu sens comme la semelle est douce ? Ce sont les fesses de ma mère, de mes sœurs et de quantités de filles qui les ont rendues aussi douces... Tu aimes leur douceur ?
— Oui Monsieur !
PAF ! Il vient de frapper violemment mon derrière, je pousse un cri ! Elle fait un mal de chien, sa saloperie de sandale ! Il me dit :
— On continue, petite ?
— J'obéirai Monsieur,
— Je sais... mais tu obéiras encore mieux si tu as peur que je m'occupe de ton gros derrière. Il va devenir aussi rouge que le cul de maman.
PAF !
Une vingtaine de fois, il frappe mes fesses, vite et fort ! Je crie à chaque coup... Mes fesses sont en feu !
Enfin, il s'arrête et pose la main sur mes fesses en disant :
— Tu ne crois pas que c'est la bonne façon de traiter les femmes ?
En pleurant, je réponds :
— Ouiiii... Monsieur... snniiiifff.
— Relève-toi et montre tes fesses !
Je me lève les jambes tremblantes. Il dit :
— Appareil !
Aussitôt, une starlette va chercher un appareil photo et lui donne. Il me dit :
— Tourne la tête, que je voie ton visage et ton cul en même temps.
Je tiens ma jupe relevée en regardant dans sa direction. Il prend quelques photos, puis il me dit :
— Va passer la nuit avec Frank.
— Euh... Oui monsieur... Mais il est où ?
Il hurle :
— Qu'est-ce que j'en sais, moi ! Renseigne-toi, idiote !
— Oui... Monsieur.
Très vite, je salue et je me précipite vers la porte. Quand j'ai la main sur la poignée, il me dit :
— Reviens ici, la fille.
Oh non, au secours !! Je retourne devant lui. Il me caresse la hanche en disant :
— Je t'aime bien.
Complètement dingue le mec ! Lâchement, je réponds :
— Moi aussi, je vous aime bien, Monsieur, mais j'aime moins votre sandale.
Il rit ! Si, si, il rit... et puis il me montre la porte du doigt. Je le salue et je pars. Ouf, il ne me rappelle plus. Je pense que Monsieur Frank est dans l'autre belle chambre. Je vais gratter à la porte et c'est la jolie Black qui vient m'ouvrir. En voyant mes yeux rouges, elle murmure :
— La sandale ?
— Ouiiiiii....
Elle rit, avant de me dire :
— Il fait ça à toutes les filles au début. Tu veux quoi ?
— Il... Il m'a dit d'aller dans la chambre de Monsieur Frank.
— Il dort. Tu peux passer la nuit dans cette chambre-ci... il y a un canapé.
— Merci Mademoiselle.
Je vais d'abord dans la salle de bain, avant de me coucher sur le canapé. Ce n'est pas très confortable, mais je suis loin de ce fou. Malgré mes fesses qui me brûlent, je m'endors rapidement.

À suivre


Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
 

Bruce Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et "Samia, fille du voyage." Ils sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
 
 



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