mercredi 27 avril 2022

Ashley - 68 Summer parle.

Je reviens dans le living avec mon plateau. Je suis... complètement dans le brouillard ! Qui est cet homme qui rigole avec Summer et Nancy ? Qui est Nancy, une esclave, une meurtrière ? Et moi, une esclave, une bonne, Madame Spassy ?

Summer prend la bouteille et elle fait sauter le bouchon d'une seule main, puis elle me la tend pour que je les serve. Quand c'est fait, elle me montre le sol près d'elle. Je vais vite m'asseoir contre ses jambes. Elle me donne son verre, quand elle a bu la moitié. La bouteille est rapidement finie, je dois aller en chercher une autre, puis une troisième... Je me sens un peu mieux, grâce au champagne. Ils parlent entre eux d'une unité des forces spéciales, où ils sont allés tous les trois. C'est passionnant, enfin, pour eux. Je sors de ma rêverie quand Nancy dit :
— Il faut quand même expliquer à la petite ce qu'elle doit faire.
L'homme répond :
— Il n'y aura pas d'enquête : mort naturelle.
Ils rient tous les trois. Ouais... Je dois aller chercher une quatrième bouteille de champagne et puis ça dérape ! L'homme me dit :
— Enlève ta robe et danse pour moi, comme si j'étais César.
Eh ! Je suis veuve et... on me traite comment ? Heureusement, j'ai pu finir les verres de Summer. Nancy ouvre sa tablette et met une musique orientale. Je regarde Summer, car c'est elle ma Maîtresse ! Elle me dit :
— Tu attends quoi ?
Alors j'enlève ma robe et je danse... une danse genre les 7 voiles, sauf que je suis nue. Summer insiste :
— Notre ami est César et toi Cléopâtre, séduis-le.
Bon je remue les fesses et j’agite mes seins sous le nez de César. Vite séduit, il me dit :
— Viens t'asseoir sur mes genoux en me tournant le dos.
Il a sorti son sexe et je vais m'asseoir dessus délicatement, jusqu'au moment où il me prend par les hanches et m'embroche, aussi complètement qu'une dinde dans une rôtissoire ! Je pousse un petit cri, mais heureusement, je ne suis plus une jeune fille et ce viol n'est pas trop pénible. Je pourrais même dire agréable... jusqu'au moment où je vois que Summer et Nancy se font des câlins. Eh ! Summer est à moi ! Non, c'est le contraire... N'empêche ! On a tous bu, mais je suis jalouse. L'homme qui m'embroche me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Remue ton cul, Cléopâtre !
Les filles commencent m'observent et Summer dit à Nancy :
— Regarde, mon esclave est jalouse parce que je t'embrasse !
Elles rient toutes les deux et Nancy ajoute :
— C'est moi qui vais faire jouir ta maîtresse, petite esclave.
Tout en m'agitant sur la bite de celui qui m'embroche, je dis :
— Oui, Maîtresse.
J'espère que ma réponse va clore cette stupide plaisanterie. Je me concentre sur la bite qui est en moi et bientôt, l'homme jouit en poussant des grognements. Il me prend par les hanches pour me déposer sur le canapé, puis il quitte la pièce. Je regarde Summer qui se laisse lécher par Nancy... Et comme elle l'a annoncé, cette garce fait jouir ma Maîtresse... Ensuite, Summer la lèche jusqu'à ce qu'elle jouisse aussi. Je suis malade de les voir faire ça...

 



 

Si elles croient que je vais continuer à tenir mon rôle de veuve... Summer me dit :
— Viens avec nous au lieu de faire la victime dans ton coin.
Stupidement, je réponds :
— J'ai pas envie, je suis fatiguée.
Ouch !! Pourquoi j'ai dit ça !? Aussitôt, j'ajoute :
— Pardon, j'ai pensé tout haut, ce n’est pas ce que je voulais dire.
Aïe ! Nancy se lève en annonçant :
— Je connais un moyen pour que les esclaves réfléchissent à deux fois avant de dire non à leur Maîtresse.
Elle m'attrape par l'oreille. Je crie :
— Aie ! Pardon Maîtresse, c'est... aïe ! Mon mari est mort... aïe !!
On va à la cuisine et elle me lâche. Je me frotte l'oreille tandis qu'elle met du liquide vaisselle dans une cuiller. Elle me dit :
— Tu gardes ça en bouche. Je te dirai quand tu pourras cracher.
Elle met effectivement la cuiller dans la bouche. Oh ! C'est visqueux et très parfumé, horrible ! Nancy me demande :
— Tu te rends compte que c'est la méthode douce ?
Je hoche la tête. Elle poursuit :
— La prochaine fois, tu réfléchiras avant de parler ?
Je hoche vigoureusement la tête. 
— Viens te montrer à ta Maîtresse.
On retourne dans le living et Summer rit en voyant ma tête ! Nancy lui explique :
— Un peu de savon dans la bouche, ça va la faire réfléchir la prochaine fois qu'elle aura envie d'être insolente.
Summer répond :
— Tu crois qu'elle arrivera à faire des bulles ?
Elles rient toutes les deux, puis Nancy me dit :
— Tu peux aller cracher et te rincer la bouche, mais une seule fois.
Je hoche la tête et je cours dans la cuisine cracher cette horreur dans l'évier. Une horreur, oui. Si vous ne me croyez pas, essayez ! Je rince très longtemps ma bouche avant de cracher. Ça va un peu mieux, mais je garde quand même cet horrible goût sur ma langue. Je retourne dans le living... Summer et Nancy sont collées l'une à l'autre et elles se chuchotent des choses. Nancy me dit :
— On va profiter de ce que ta bouche est bien propre pour se faire lécher le cul.
Summer et elle se mettent à quatre pattes, côte à côte. Summer fait vraiment la gamine, je déteste la voir comme ça. Lécher le cul des filles, ça ne me dérange pas, ça chassera peut-être cet affreux goût de savon. Je lèche Summer, puis Nancy et... je n'ai toujours que ce goût de savon dans la bouche.

 


 

Elles ne me demandent rien d'autre... Il est tard, les filles décident d'aller se coucher. Je les suis en espérant ne pas me retrouver seule dans une chambre de la maison du mort. Je préfère encore dormir dans la même chambre que la meurtrière.
Les filles vont pisser. Je demande à Nancy :
— Puis-je me laver les dents, Maîtresse ?
— Pourquoi ?
— Pour chasser le goût horrible du savon.
— Oui...
Quand je retourne dans la chambre, les filles sont au lit. Il y a une couverture par terre, du côté de Summer. Je me couche dessus et puis... au bout d'un moment, Summer me dit :
— Tu peux venir dans le lit.
Je l'aime !
***
Le lendemain, je suis réveillée par une claque sur les fesses : c'est la méthode Summer. Elle me dit :
— Va préparer le petit déjeuner.
Je me lève, j’enfile ma robe et je descends. La première chose que je fais, c'est me rincer la bouche à nouveau au robinet de l'évier. J'ai l'impression d'avoir toujours cet affreux goût. Ça se paiera un jour... même si je sais bien que je n'aurais pas dû les envoyer promener !
Je sais ce qu'elles mangent toutes les deux. Quand tout est prêt, ces demoiselles arrivent... Oh ! quel joli couple... de tueuses. Si, Summer a tué trois hommes quand on faisait du saut à l'élastique et Nancy a certainement envoyé Donald chez les "têtes en os" ! Elles l'avaient prémédité ! Je les salue poliment et, quand elles sont assises, j'ajoute :
— Vous désirez autre chose ?
Summer répond :
— Tu es bien polie, ce matin.
Nancy répond :
— Elle n'a pas aimé le liquide vaisselle ! Tu as mangé autre chose que du savon ?
— Non Maîtresse.
— Tu peux manger avec nous.
Je la remercie et je vais me faire des œufs et du bacon, puis je reviens manger avec elles. Nancy dit à Summer
— Il faut lui expliquer.
— Tu sais qu'elle répète tout si on la menace.
— Je commence et tu continueras à propos des fouilles.
Là , je dresse l'oreille. On va chercher des nouveaux trésors ? Nancy me dit :
— Ton mari était un alcoolique et un toxicomane, il est mort d'un infarctus.
Comme je ne réagis pas, elle continue :
— Il avait fait un testament olographe. Écrit, si tu préfères. En cas de décès, je devais être affranchie.
Je suis bien certaine que Donald n'a jamais écrit ça... Summer prend la parole :
— En vertu du contrat de mariage établi par les frères Gomez, tu hérites de ton mari, mais...
Oh ! il y a un "mais", comme c'est surprenant !!
— Mais tu redeviens mon esclave et comme les esclaves ne peuvent rien posséder, l'héritage me revient.... Ce serait discutable légalement, mais... Monsieur Sam entretient de très bonnes relations avec le président Prince et il n'y aura pas d'enquête... Tu as tout compris ?
— Oui.
— Bien... Autre chose : mon père était Irlandais et ma mère une Navajo.
Oh ?
— J'ai vécu dans une réserve au Nouveau-Mexique et lors d'un trek avec des amis, quand j'étais adolescente, on a trouvé beaucoup d'ossements. On n'y a pas fait fort attention, mais dernièrement, j'ai vu une photo d'ossements de ce genre. Il s'agit de squelettes de petits T’Rex. Ferme la bouche, je t'explique : ce sont des petits dinosaures carnivores. Ils ont été trouvés à une vingtaine de kilomètres de ceux que nous avions vus. Avec l'argent de cet héritage et le 1,5 % des trésors, j'ai acheté des hectares de ces terres. Aussi grâce à l'appui de Monsieur Sam et du Président. On va fouiller le sol où je suis sûre d’avoir vu les ossements de dinosaures. Par la suite, on ouvrira un musée et peut-être un parc d'attractions. Je dirigerai le chantier, Nancy s'occupera du personnel, une géologue et un paléontologue surveilleront la fouille proprement dite. Voilà, tu sais tout.
— Et... euh... moi ?
— Tu feras ce qu'on te dit.

À suivre.

 Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.


Nos 7 livres illustrés sont ici : 
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