Je reviens dans le living avec mon plateau. Je suis... complètement dans le brouillard ! Qui est cet homme qui rigole avec Summer et Nancy ? Qui est Nancy, une esclave, une meurtrière ? Et moi, une esclave, une bonne, Madame Spassy ?
Summer
prend la bouteille et elle fait sauter le bouchon d'une seule main,
puis elle me la tend pour que je les serve. Quand c'est fait, elle me
montre le sol près d'elle. Je vais vite m'asseoir contre ses jambes.
Elle me donne son verre, quand elle a bu la moitié. La bouteille est
rapidement finie, je dois aller en chercher une autre, puis une
troisième... Je me sens un peu mieux, grâce au champagne. Ils
parlent entre eux d'une unité des forces spéciales, où ils sont
allés tous les trois. C'est passionnant, enfin, pour eux. Je sors de
ma rêverie quand Nancy dit :
—
Il faut quand même expliquer à la petite ce qu'elle doit
faire.
L'homme
répond :
— Il
n'y aura pas d'enquête : mort naturelle.
Ils
rient tous les trois. Ouais... Je dois aller chercher une quatrième
bouteille de champagne et puis ça dérape ! L'homme me dit :
—
Enlève ta robe et danse pour moi, comme si j'étais César.
Eh !
Je suis veuve et... on me traite comment ? Heureusement, j'ai pu
finir les verres de Summer. Nancy ouvre sa tablette et met une
musique orientale. Je regarde Summer, car c'est elle ma Maîtresse !
Elle me dit :
—
Tu attends quoi ?
Alors
j'enlève ma robe et je danse... une danse genre les 7 voiles, sauf
que je suis nue. Summer insiste :
—
Notre ami est César et toi Cléopâtre, séduis-le.
Bon
je remue les fesses et j’agite mes seins sous le nez de César.
Vite séduit, il me dit :
—
Viens t'asseoir sur mes genoux en me tournant le dos.
Il
a sorti son sexe et je vais m'asseoir dessus délicatement, jusqu'au
moment où il me prend par les hanches et m'embroche, aussi
complètement qu'une dinde dans une rôtissoire ! Je pousse un
petit cri, mais heureusement, je ne suis plus une jeune fille et ce
viol n'est pas trop pénible. Je pourrais même dire agréable...
jusqu'au moment où je vois que Summer et Nancy se font des câlins.
Eh ! Summer est à moi ! Non, c'est le contraire... N'empêche !
On a tous bu, mais je suis jalouse. L'homme qui m'embroche me donne
une bonne claque sur les fesses en disant :
—
Remue ton cul, Cléopâtre !
Les
filles commencent m'observent et Summer dit à Nancy :
—
Regarde, mon esclave est jalouse parce que je t'embrasse !
Elles
rient toutes les deux et Nancy ajoute :
—
C'est moi qui vais faire jouir ta maîtresse, petite esclave.
Tout
en m'agitant sur la bite de celui qui m'embroche, je dis :
—
Oui, Maîtresse.
J'espère
que ma réponse va clore cette stupide plaisanterie. Je me concentre
sur la bite qui est en moi et bientôt, l'homme jouit en poussant des
grognements. Il me prend par les hanches pour me déposer sur le
canapé, puis il quitte la pièce. Je regarde Summer qui se laisse
lécher par Nancy... Et comme elle l'a annoncé, cette garce fait
jouir ma Maîtresse... Ensuite, Summer la lèche jusqu'à ce qu'elle
jouisse aussi. Je suis malade de les voir faire ça...
Si
elles croient que je vais continuer à tenir mon rôle de veuve...
Summer me dit :
—
Viens avec nous au lieu de faire la victime dans ton
coin.
Stupidement,
je réponds :
—
J'ai pas envie, je suis fatiguée.
Ouch !!
Pourquoi j'ai dit ça !? Aussitôt, j'ajoute :
—
Pardon, j'ai pensé tout haut, ce n’est pas ce que je voulais
dire.
Aïe !
Nancy se lève en annonçant :
—
Je connais un moyen pour que les esclaves réfléchissent à deux
fois avant de dire non à leur Maîtresse.
Elle
m'attrape par l'oreille. Je crie :
—
Aie ! Pardon Maîtresse, c'est... aïe ! Mon mari est mort...
aïe !!
On va à
la cuisine et elle me lâche. Je me frotte l'oreille tandis qu'elle
met du liquide vaisselle dans une cuiller. Elle me dit :
—
Tu gardes ça en bouche. Je te dirai quand tu pourras cracher.
Elle
met effectivement la cuiller dans la bouche. Oh ! C'est visqueux et
très parfumé, horrible ! Nancy me demande :
—
Tu te rends compte que c'est la méthode douce ?
Je
hoche la tête. Elle poursuit :
—
La prochaine fois, tu réfléchiras avant de parler ?
Je
hoche vigoureusement la tête.
—
Viens te montrer à ta Maîtresse.
On
retourne dans le living et Summer rit en voyant ma tête ! Nancy
lui explique :
—
Un peu de savon dans la bouche, ça va la faire réfléchir la
prochaine fois qu'elle aura envie d'être insolente.
Summer
répond :
— Tu
crois qu'elle arrivera à faire des bulles ?
Elles
rient toutes les deux, puis Nancy me dit :
—
Tu peux aller cracher et te rincer la bouche, mais une seule fois.
Je
hoche la tête et je cours dans la cuisine cracher cette horreur dans
l'évier. Une horreur, oui. Si vous ne me croyez pas, essayez ! Je
rince très longtemps ma bouche avant de cracher. Ça va un peu
mieux, mais je garde quand même cet horrible goût sur ma langue. Je
retourne dans le living... Summer et Nancy sont collées l'une à
l'autre et elles se chuchotent des choses. Nancy me dit :
—
On va profiter de ce que ta bouche est bien propre pour se faire
lécher le cul.
Summer
et elle se mettent à quatre pattes, côte à côte. Summer fait
vraiment la gamine, je déteste la voir comme ça. Lécher le cul des
filles, ça ne me dérange pas, ça chassera peut-être cet affreux
goût de savon. Je lèche Summer, puis Nancy et... je n'ai toujours
que ce goût de savon dans la bouche.
Elles
ne me demandent rien d'autre... Il est tard, les filles décident
d'aller se coucher. Je les suis en espérant ne pas me retrouver
seule dans une chambre de la maison du mort. Je préfère encore
dormir dans la même chambre que la meurtrière.
Les
filles vont pisser. Je demande à Nancy :
—
Puis-je me laver les dents, Maîtresse ?
—
Pourquoi ?
—
Pour chasser le goût horrible du savon.
—
Oui...
Quand je
retourne dans la chambre, les filles sont au lit. Il y a une
couverture par terre, du côté de Summer. Je me couche dessus et
puis... au bout d'un moment, Summer me dit :
—
Tu peux venir dans le lit.
Je
l'aime !
***
Le
lendemain, je suis réveillée par une claque sur les fesses : c'est
la méthode Summer. Elle me dit :
—
Va préparer le petit déjeuner.
Je
me lève, j’enfile ma robe et je descends. La première chose que
je fais, c'est me rincer la bouche à nouveau au robinet de l'évier.
J'ai l'impression d'avoir toujours cet affreux goût. Ça se paiera
un jour... même si je sais bien que je n'aurais pas dû les envoyer
promener !
Je
sais ce qu'elles mangent toutes les deux. Quand tout est prêt, ces
demoiselles arrivent... Oh ! quel joli couple... de tueuses. Si,
Summer a tué trois hommes quand on faisait du saut à l'élastique
et Nancy a certainement envoyé Donald chez les "têtes en os" !
Elles l'avaient prémédité ! Je les salue poliment et, quand
elles sont assises, j'ajoute :
—
Vous désirez autre chose ?
Summer
répond :
— Tu
es bien polie, ce matin.
Nancy
répond :
— Elle
n'a pas aimé le liquide vaisselle ! Tu as mangé autre chose que
du savon ?
—
Non Maîtresse.
—
Tu peux manger avec nous.
Je
la remercie et je vais me faire des œufs et du bacon, puis je
reviens manger avec elles. Nancy dit à Summer
—
Il faut lui expliquer.
—
Tu sais qu'elle répète tout si on la menace.
—
Je commence et tu continueras à propos des fouilles.
Là
, je dresse l'oreille. On va chercher des nouveaux trésors ? Nancy
me dit :
— Ton
mari était un alcoolique et un toxicomane, il est mort d'un
infarctus.
Comme
je ne réagis pas, elle continue :
—
Il avait fait un testament olographe. Écrit, si tu préfères. En
cas de décès, je devais être affranchie.
Je
suis bien certaine que Donald n'a jamais écrit ça... Summer prend
la parole :
— En
vertu du contrat de mariage établi par les frères Gomez, tu hérites
de ton mari, mais...
Oh !
il y a un "mais", comme c'est surprenant !!
—
Mais tu redeviens mon esclave et comme les esclaves ne peuvent rien
posséder, l'héritage me revient.... Ce serait discutable
légalement, mais... Monsieur Sam entretient de très bonnes
relations avec le président Prince et il n'y aura pas d'enquête...
Tu as tout compris ?
—
Oui.
— Bien...
Autre chose : mon père était Irlandais et ma mère une
Navajo.
Oh ?
—
J'ai vécu dans une réserve au Nouveau-Mexique et lors d'un trek
avec des amis, quand j'étais adolescente, on a trouvé beaucoup
d'ossements. On n'y a pas fait fort attention, mais dernièrement,
j'ai vu une photo d'ossements de ce genre. Il s'agit de squelettes de
petits T’Rex. Ferme la bouche, je t'explique : ce sont des petits
dinosaures carnivores. Ils ont été trouvés à une vingtaine de
kilomètres de ceux que nous avions vus. Avec l'argent de cet
héritage et le 1,5 % des trésors, j'ai acheté des hectares de ces
terres. Aussi grâce à l'appui de Monsieur Sam et du Président. On
va fouiller le sol où je suis sûre d’avoir vu les ossements de
dinosaures. Par la suite, on ouvrira un musée et peut-être un parc
d'attractions. Je dirigerai le chantier, Nancy s'occupera du
personnel, une géologue et un paléontologue surveilleront la
fouille proprement dite. Voilà, tu sais tout.
—
Et... euh... moi ?
—
Tu feras ce qu'on te dit.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos
7 livres illustrés sont ici
:
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire