Chers
lectrices et lecteurs "imaginaires", vous savez comme j'ai
peur de tout, comme je manque de courage, comme je crains la
douleur... Et pourtant, je réponds à Madame Stone :
—
Punissez-moi, Madame.
Vous
pensez peut-être « C'est Summer qui doit être fouettée, on sait
déjà qui Madame Stone va choisir ». Et qu'est-ce qui l’empêche
de nous fouetter toutes les deux ? Sans faire attention à ma
réponse, Madame Stone sourit – ça fait toujours peur – puis
elle dit :
—
Summer, tu as joué avec le feu... Mais bon, je ne vais pas te
fouetter moi-même.
Elle
se masse l'épaule droite en grimaçant, puis s’explique :
—
J'ai une tendinite.
Bien
fait ! Mais je n'en crois rien, elle craint de fouetter Summer
elle-même, c'est tout. Madame Stone s'adresse ensuite à la Première
Fille :
—
Gloria, donne-lui dix coups de fouet.
—
Oui Madame.
Cette
fille va décrocher le fouet à trois lanières qui pend à un clou
et elle dit à Summer :
—
Mets-toi en position.
Summer
se met à quatre pattes, puis place son front sur ses mains posées
par terre. Elle a un trop beau cul... La Première Fille lève le
fouet et l'abat sur ses fesses... Rapidement, trois bandes rouges
viennent les embellir encore plus. Et pourtant, je jure que ça me
fait mal. La fille recommence, deux fois, trois fois... Summer gémit,
mais je crois que c'est une réaction de "complaisance".
Dix fois, le fouet lui mord les fesses. Quand c'est fini, Madame
Stone lui dit :
—
Tu peux te relever.
Elle
n’ose pas lui dire « Remercie et va te mettre à genoux dans un
coin ». Tout le monde a peur de Summer, même Madame Stone... Même
Monsieur Sam ! Enfin, peut-être.
Madame
Stone appelle les filles pour leur donner des corvées : nettoyage,
lessive, faire les chambres, serveuses... Les filles vont mettre
l'uniforme qui correspond à ce qu'elles ont à faire. Ces tenues
sont lavées une fois par semaine. Normal que des esclaves sentent
leurs transpirations et celles des autres. Summer doit faire des
chambres. Elle met un uniforme et part avec les autres filles. Et
moi, je reste là... Il y a les filles de cuisine et tout le
personnel qui préparent les repas. Madame Stone claque des doigts
pour que je lève les yeux et elle désigne ses jambes. Ouf ! Ce
n'est pas le fouet, mais la lécher. Un moindre mal... Je m'insinue
entre ses grosses cuisses. Elle lève une jambe et pose le pied sur
un tabouret. Je reconnais tout, même dans la pénombre : les longs
poils roux filasse, l'odeur de ménagerie négligée, les grandes
lèvres qui ressemblent à un immense papillon dégoûtant et puis le
clito de la taille d’une petite bite. Je sais ce qu'elle veut : de
la passion ! J'ai eu mal pour Summer, je le jure, mais ne pas être
fouettée m’a également soulagée. Elle veut de la passion ? OK,
j'embrasse, je lèche et je suce sa grosse chatte très fatiguée...
Je ne vais pas tout décrire, je l'ai déjà fait et puis je sais que
ma lectrice imaginaire n'aime pas beaucoup ça. Elle jouit enfin...
Ouf ! Elle me dit :
—
Mets-toi à genoux.
Je
me mets dans la position qu'elle souhaite.
Elle se tourne un peu vers moi pour dire :
—
Raconte-moi ce qui s'est passé à partir du moment où le couple t'a
enlevée.
Mais...
euh... je ne sais pas ce que je peux lui dire. Elle ajoute :
—
Va chercher le fouet.
Je
vais le prendre et elle me dit :
—
Chaque mensonge par omission, cinq coups de fouet.
—
Mais... si je me souviens pas....
—
Commence.
Alors,
je raconte tout... Qu'est-ce que je peux faire d’autre ? Je suis
une esclave, je dois obéir, d'autant plus que j'ai le fouet dans les
mains et les lanières sont encore chaudes des fesses de Summer...
C'est une image. Quand j'ai tout raconté, elle ne fait aucun autre
commentaire, elle me dit juste :
—
Lave-toi le visage, tu sens la chatte.
Étonnant
! Je vais me débarbouiller, puis elle me montre une armoire du doigt
en disant :
—
Mets l'uniforme qui est là.
C'est
une tenue de femme de chambre, mais sexy, jupe courte, décolleté.
Quand je suis habillée, elle me dit :
—
Va à la réception, on t'indiquera de quelles chambres tu dois
t’occuper.
—
Oui Madame. Je peux y aller ?
Geste
de la main... Je descends pour me mettre aux ordres du
réceptionniste. Il y a plusieurs filles qui attendent comme moi.
Elles sont jolies, mais c'est moi qu'on demande. Je comprends vite
pourquoi : ils savent que je suis l'ex Première Dame. Les
informations circulent vite. De la même façon, tout le monde sait
bientôt que Summer est ici provisoirement et qu'elle est dangereuse.
Même les clients n'osent pas la demander.
Trois
jours après notre arrivée, on se retrouve nues avec les autres
esclaves dans la cuisine, le QG de Madame Stone. Elle donne des
corvées à faire à toutes les filles. Quand il ne reste plus que
nous deux, elle dit à Summer :
—
Tu fais peur à tout le monde. Monsieur Sam veut que tu ailles
t'occuper de la sécurité du Slave Paradise.
Summer
l'avait dit ! Yess ! Et moi ? Je m'accroche au bras de Summer Madame
Stone le voit et me dit :
—
Mais oui ma petite fille, tu peux l’accompagner.
Elles
rient toutes les deux... M'en fous, du moment qu'on part d'ici.
Summer et Madame Stone s'embrassent !! On va chez la Première Fille,
qui nous enlève nos colliers et nous rend nos vêtements. On quitte
l'hôtel, tout le monde a l'air soulagé du départ de
Summer...
***
Je
devrais également être soulagée de partir de là, mais j'ai appris
à me méfier des coups de putes que me joue souvent un destin
vicelard. Pour parler plus élégamment, je me dis « Et maintenant,
qu'est-ce qui va m'arriver ? »
Summer
va rejoindre l'équipe de sécurité du « Slave Paradise », il faut
dire que ça lui convient beaucoup mieux. Je retrouve l'endroit qui
me rappelle l'époque où j'étais célèbre... De l'eau et des
douleurs sont passées sous les ponts.
Summer
doit partir pour une mission confiée par Monsieur Sam. Avant de
partir jusqu'au lendemain, elle me dit :
—
Tu dois être occupée à quelque chose, sinon tu vas faire des
conneries et puis, tu es à moi, il faut que tu gagnes de l'argent
pour ta maîtresse. Tu veux être barmaid ou faire du pole dance ou
même chanter dans le bar ? Réfléchis.
—
Oui, je te dirai quoi demain.
Elle
m'embrasse et s'en va. Je vais réfléchir, mais en m'amusant... La
suite de cette journée, je n'en suis pas fière. Je commence par
aller dans le bar de l'hôtel, j'ai envie de boire quelque chose de
fort... Le problème, c'est que je n'ai pas d'argent, alors je vais
sur la plage. Si rien n'a changé, l’endroit est privé, donc
j'enlève ma robe... Ça fait du bien d'être nue au soleil. Je vais
me baigner. Des jeunes gens m'ont repérée et ils viennent me
parler. Ils m'offrent des bières... on flirte... on mange... C'est
la suite qui dérape. J'ai des flashs : je me vois sucer quelques
queues, mais comme je suis toujours une esclave, c'est normal. Par
moment, je pense à Summer et je me dis « Elle ne va pas être
contente ». Et, puis un garçon me propose des pilules en forme de
soleil, mais bleues... c'est beau. J'en prends trois et je les avale
avec une gorgée de bière. Je pense « Je vais planer... » mais au
lieu de ça, j'ai l'impression de tomber, et puis c'est le noir
complet.
Je me
réveille dans une pièce inconnue... Oh ! On dirait une chambre
d'hôpital... Oui, c'est ça... À côté de moi, il y a d'autres
lits avec des gens couchés, dont certains gémissent. J'ai une
terrible gueule de bois... Je déteste les hôpitaux, il faut que je
parte d'ici et je ne veux surtout pas que Summer apprenne ce que j'ai
fait. Je me lève péniblement, en me tenant aux montants des autres
lits pour parvenir jusqu’à la porte...
Plusieurs
personnes me disent : « Tu devrais rester dans ton lit ».
Là,
je me rends compte que j'ai un de ces stupides vêtements
complètement ouverts derrière. Tant pis, je vais quand même dans
le couloir.
Un infirmier arrive et m'engueule ;
—
Vous êtes indécente, Mademoiselle, il y a des jeunes ici !
J'en
peux rien, moi, s'il y a des jeunes... Ils ne vont pas mourir d'avoir
vu une paire de fesses ! Il ajoute :
—
Tu ne serais pas l'esclave de Summer, toi ?
—
Oui, mais...
Il
m'attrape par l'oreille pour m'obliger à me pencher en avant, en me
faisant crier. Là, on voit vraiment mes fesses, connard ! Il me
ramène dans la chambre et me remet au lit en m’annonçant :
—
Je dirai à Summer de te punir !
Puis
il m'attache les poignets aux barreaux du lit avec des liens en
plastique. Du lit d’à côté, une gosse femme me dit :
—
Tu vois ce qui arrive quand on veut faire sa maligne.
Une
autre ajoute :
—
Et c'est une esclave en plus ! Qu'est-ce qu'elle vient faire ici
?
Enfin, un homme
y va de son commentaire :
—
Très joli cul en tout cas.
Je
ferme les yeux. Qu'est-ce que j'ai fait !!! Un garde du "Slave
Paradise" arrive. Je le connais de vue. Il est avec un infirmier
qui détache mes liens. Le garde me dit :
—
Habille-toi.
Je
vais derrière un paravent pour remettre mes vêtements. On sort de
la chambre et je dis au garde :
—
On m'a donné des pilules qui...
Il
m'interrompt :
—
Tu expliqueras ça à Summer.
Encore
un sale con ! Au Slave Paradise, on va dans un hangar. Dans une
grande cage, il y a des esclaves qui vont être vendues. Le garde me
dit :
—
Déshabille-toi, tu vas pouvoir réfléchir à la punition qui
t'attend.
Quand je
suis nue, il m'enferme avec les esclaves. Ma punition commence ! Dès
qu'on est seules, les filles m'interrogent. Je leur sers l'histoire
qu'elles ont envie d'entendre : je me suis enfuie et j'ai peur de ce
qui va m'arriver. Elles ont l'air d'accord, ça va chauffer pour mes
fesses. D'autres filles racontent leur histoire, vraie ou fausse. Je
suis faible, j'ai mal à la tête et surtout j'ai une méga
trouille... Je somnole peu ou je m'endors, quand j'entends la voix de
Summer dire :
—
Tu es fière de toi ?
—
Pardon, je...
—
Combien de coups de fouet ?
—
... Dix, Maîtresse.
—
D'accord.
Le garde
qui est avec elle ouvre la cage. Je vais me mettre à genoux devant
elle en disant ;
—
Je ne pouvais pas savoir que...
—
En position !
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
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