lundi 31 janvier 2022

dimanche 30 janvier 2022

machine à sous.



 Nouvelle poupée-machine à sous : vous glissez un billet dans la fente, ensuite elle fera tout ce que vous voulez. Oui, ça porte aussi un autre nom

*** La poupée écrit aussi, des livres trop bien à 2,99 e amazon.fr/Mia-,Michael/e

samedi 29 janvier 2022

Nouvel épisode de Lizy


 

Dessin de Bruce Morgan pour le nouvel épisode de Lizy « Les jeux ».

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vendredi 28 janvier 2022

Punition.

 


Tu es punie ?

- Non… enfin, si un peu.

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jeudi 27 janvier 2022

Bruce Morgan


 

Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans nos livres et ils n'attendent que vous 😟

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mercredi 26 janvier 2022

La flèche.

 


Suivez la flèche, c'est de là que me vient l'inspiration pour écrire mes livres.

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mardi 25 janvier 2022

Bruce Morgan


 

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lundi 24 janvier 2022

Plus que nue...

 


Il fait froid et me voilà vraiment nue sans ma fourrure… bbbrrr….

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dimanche 23 janvier 2022

Bruce Morgan



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samedi 22 janvier 2022

Ashley - 62 Les louves.

Le garde qui est avec Summer ouvre la cage. Je vais me mettre à genoux devant elle, en disant :
— Je ne pouvais pas savoir que...
— En position !
Je le mérite !!! Je vais faire comme elle : à peine gémir. Je vais encaisser ! Je me mets à quatre pattes, les reins cambrés pour essayer d'amadouer le garde qui tient le fouet... Pourquoi ce n'est pas elle qui...
— Aaaaïeeeee !
J'ai poussé un hurlement... Il frappe trop fort ! Les coups se succèdent, mes cris aussi. Je n'ai pas mérité ça !!! Enfin, il s'arrête... Je n'ose pas bouger, mes fesses sont en feu. Le garde me dit :
— Retourne dans ta cage, pleurnicheuse.
— Oui, Monsieur.
Je voudrais que ce soit ses fesses qui... Il ajoute :
— À quatre pattes.
Salaud ! Je marche dans cette attitude jusqu'à la cage. Il ouvre la porte, avant de me donner une claque sur les fesses pour que je rentre plus vite. 


Je vais me coucher sur le côté, dans un coin de la cage : impossible de m'asseoir. Les filles sont indifférentes à ce qui m'arrive. Les esclaves se font tout le temps fouetter.  Summer m'abandonne là... Elle va me vendre... Je pleure dans mon coin. 
Le soir on sort pour aller faire nos besoins à l'extérieur. Ensuite, on est nourrie d'une soupe épaisse et fade, avec des morceaux de viande, de gras et du pain sec. Je dors là... Qui va me permettre de m’évader, maintenant que Summer m'a abandonnée ? 
La nuit, je dors comme un bébé : je m'éveille toutes les heures pour pleurer...
***
Le lendemain, on retourne faire nos besoins à l'extérieur, dans un trou aménagé dans la terre, ensuite c'est le petit déjeuner : les restes de ce que les gens ont mangé au restaurant. Je ne mange pas, je ne bois pas...
Et puis, en fin de matinée, Summer arrive. Pour me délivrer ou pour encore me tourmenter ? Le garde ouvre la porte et  Summer me dit :
— Suis-moi !
Où ? Bah ! Je m'en fous. Elle ajoute :
— On va déjeuner... Tiens, mets ça.
Elle me donne un short et un tee-shirt.
Je m'habille en gémissant quand le short passe sur mes fesses meurtries. On  va sur la terrasse du restaurant. Elle me dit :
— On mange dehors à cause de ton odeur.
Oui, je sens comme une esclave... Summer salue différentes personnes. On se dirige vers une petite table. Je m'assieds en grimaçant. Elle commande pour nous deux... Pour moi, des oeufs au bacon, c'est bien ce que j'aurais choisi. Je lui demande :
— Tu vas m'en vouloir pendant longtemps ?
— Mais je ne t'en veux pas, je t'ai punie. Tu sais que tu es ma propriété, mon bien... Alors, je vais faire en sorte que tu restes en vie. Pour commencer, mets ça.
Elle me tend un joli bracelet. Il se referme sur mon poignet. Elle ajoute :
— Tu sais ce que c'est ?
— Un traceur pour savoir où je suis.
— Oui, c'est ça. On pourra te géolocaliser n’importe quand. Comme tu as préféré faire la conne plutôt que réfléchir à ce que tu voulais faire, tu vas travailler dans le nouveau bordel qu'on vient d'ouvrir. Tu y seras avec des femmes libres, c'est ce que tu devras dire.
Oh ! Avant que je demande pourquoi, elle poursuit :
— Il y a beaucoup d'hommes qui préfèrent les femmes libres, les esclaves n’étant là que pour ça, tandis qu'une femme normale, c'est plus intéressant et plus cher. Surtout si elles ont été célèbres, comme toi. 
Bon... pute avec des filles libres, ce sera quand même beaucoup mieux... Je lui demande encore :
— Tu n'es plus fâchée ?
— Non. Quand on a fini de manger, j'irai te conduire à ta nouvelle école.
— Oui, m'man. Tu vas trop me manquer...
— Allons, tu es une grande fille, tu te feras des petites camarades.
Elle joue, ce qui est rare. Je lui dis :
— Je ne ferai plus de conneries, je te le jure.
— Bien...
Quand on a fini, elle me conduit... à l'école. Je m'accroche à sa main... Oh ! J'ai oublié mon cartable ! Elle me dit :
— Steven assure la sécurité, ici. C'est un ami, tu peux communiquer avec moi en passant par lui.
Ça me rassure un peu. Le nouveau bordel se trouve derrière l'hôtel. Il est dissimulé par la végétation. C'est un bâtiment à un étage... Il s'appelle "Roman Lupanar." Il y a une grande enseigne qui représente une très jolie fille nue, avec des oreilles pointues et... une queue !  


Je demande à Summer :
— Qu'est-ce que ça veut dire, lupanar ?
— Dans la Rome antique, les prostituées étaient appelées "lupa", c'est-à-dire louve, et le lupanar était la tanière des louves. 
Je serai donc une louve. On entre, Summer connaît tout le monde. Une grande blonde bien en chair vient l'embrasser. Ensuite, celle-ci me regarde en disant :
— Voici donc Ashley. Il paraît qu'il faut te surveiller.
— Je ne ferai plus de bêtises, je l'ai promis à ma...
Je me souviens à temps qu'ici, ce sont des femmes libres, donc je ne dois pas dire à ma Maîtresse... Je rectifie :
— Je l'ai promis à Summer.
— Je sais très bien qui tu es.
Un grand mec costaud arrive et embrasse Summer aussi. Elle lui dit :
— Je te la confie...
— Je ferai attention à ta petite protégée, Sum.
— Je ne pars pas longtemps.
Quand elle me regarde, je lui demande :
— Tu t’en vas déjà ?
Elle m'embrasse, puis disparaît. J'ai les larmes aux yeux... Le gars costaud s'appelle Carl, il me prend par le bras en disant :
— Je vais te montrer ton lieu de travail.
On va dans une très grande pièce, très luxueuse dans le genre Hollywood : des fauteuils, des canapés, une cheminée... Des reproductions de tableaux représentant des nymphes lutinées par des satyres... C'est franchement pas mal. Je lui demande :
— Ce n'est pas ici que... qu'on baise ?
Il rit de mon hésitation, puis répond :
— Les chambres sont au premier, mais les clients qui te prennent pour une nuit peuvent te ramener à l'hôtel. Ils choisissent en arrivant d'après un catalogue. Tu es déjà dedans avec une photo en Cléopâtre, une en Première Dame et quelques-unes à poil... Tu es sur le Net aussi.
— Je pourrai les voir ?
— Oui, bien sûr.
— Les clients paient cher ?
— Oui...
Les riches sont généralement propres, mais par contre, il n'y a pas plus méprisants que ces gens-là. Ils traitent les filles et le personnel en général comme s'ils étaient des domestiques.
Bah, on verra. Il me montre les chambres communes avec des lits alignés comme dans un pensionnat. 
Ensuite on va dans un bureau et il me présente à celui qui s'occupe du Net. C'est un jeune homme d'une vingtaine d'années, grand, mince, pas mal. Il m'embrasse. Carl lui demande :
— Tu pourrais lui montrer son site ?
— Avec plaisir.
Carl ajoute pour moi :
— Je te laisse, mais ne quitte pas le bâtiment sans me le dire.
— D'accord.
Je m'assieds à côté du geek. Il s'appelle Web, un surnom qui lui va bien. Il me montre le site du Roman Lupanar, cherche Ashley et je me vois marchant sur le tapis rouge dans une superbe robe. Je lui dis :
— Tu imagines depuis le tapis jusqu'au bordel !
Je regarde encore un peu... ça doit être mon côté maso. Avant de me mettre à pleurer à chaudes larmes, je lui dis :
— Merci, c'est gentil.
Il éteint son PC en disant :
— Je vais te présenter à la gérante, ensuite on pourra aller manger. Tu verras tes petites camarades. 
— Ce sont toutes des femmes libres ?
— Oui... Pour une jolie fille, il y a moyen de bien gagner sa vie ici.
À la façon dont il me répond, je suis certaine qu'en réalité, on est toutes des esclaves. Ils disent que les filles sont libres simplement pour les vendre plus cher.
Web toque à une porte et ouvre. Derrière un bureau, il y a une belle femme d’environ 40 ans. Oh ! Mais je la connais, c'est Daisy Mae, elle a joué dans un feuilleton pour ado. Elle vient m'embrasser en disant :
— Ashley... ravie de te rencontrer.
— Moi aussi, Madame.
— Tu peux m'appeler Daisy Mae. Tu es déjà retenue à 14 h, 16 h 30 et puis de 19 h à 10 h demain matin... Maintenant on va à la cafeteria, je te présenterai aux autres filles. 
Le bordel a effectivement une vraie petite cafeteria pour le personnel. Presque toutes les tables sont occupées par de très jolies filles. Daisy Mae m’annonce :
— Les filles, je vous présente Ashley Stirland, la vedette du film Cléopâtre et en même temps ex Première Dame.
Quelques filles répondent :
— Bonjour Ashley.
On se croirait vraiment à l'école ! Je réponds :
— Bonjour à toutes.
Daisy Mae me dit :
— Après que tu auras mangé, viens dans le bureau, je t'expliquerai comment ça se passe avec les clients.
Elle s'en va avec Web. Une jolie brune m’invite près d’elle :
— Viens t'asseoir ici.
— Merci, c'est gentil.
Jusqu'ici, ça va.

À suivre.

Nos 7 livres illustrés sont ici : 

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Une belle plante




Oh ! La belle plante !
- Merci, c’est mieux que banane 😀
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vendredi 21 janvier 2022

jeudi 20 janvier 2022

Position indécente.

 


Tu attends quelqu’un dans cette position ?

- Mais non, je… j’observe les bambous.

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mercredi 19 janvier 2022

mardi 18 janvier 2022

pôv' mia


Toujours timide ?
- Ça va mieux : je montre plus.
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lundi 17 janvier 2022

Bruce Morgan

 


Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans nos livres. Lisez-nous, vous aller adorer.

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dimanche 16 janvier 2022

Timide

 


Ben Mia, qu'est ce qui t'arrive ?

- J'suis timide.

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Je suis moins timide quand j’écris…..

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samedi 15 janvier 2022

Bruce Morgan

Pour une fois, un dessin convenable de Bruce pour un épisode de Lizy pas convenable du tout. www.miasansdessous.com 👄mia

vendredi 14 janvier 2022

Une banane.

 


Oh ! La grosse banane !

- Mais non, t’es bête, c’est moi.

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mercredi 12 janvier 2022

Bananes...

 


Après les vignes, les bananes… Ce n’est pas le même usage.

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mardi 11 janvier 2022

Un super livre.

 


Dessin de Bruce Morgan pour « Ashley et les esclaves ». 400 pages, 150 dessins de Bruce. Si vous connaissez un éditeur parlez lui de ce super livre. Merci.

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lundi 10 janvier 2022

Fesses dans les vignes...





Mia dans les vignes…
Il manque les raisins, mais, il y a mes fesses, bien sûr 😀
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samedi 8 janvier 2022

Ashley 61 - Gober des soleils bleux.

 

Chers lectrices et lecteurs "imaginaires", vous savez comme j'ai peur de tout, comme je manque de courage, comme je crains la douleur... Et pourtant, je réponds à Madame Stone :
— Punissez-moi, Madame.
Vous pensez peut-être « C'est Summer qui doit être fouettée, on sait déjà qui Madame Stone va choisir ». Et qu'est-ce qui l’empêche de nous fouetter toutes les deux ? Sans faire attention à ma réponse, Madame Stone sourit – ça fait toujours peur – puis elle dit :
— Summer, tu as joué avec le feu... Mais bon, je ne vais pas te fouetter moi-même.
Elle se masse l'épaule droite en grimaçant, puis s’explique :
— J'ai une tendinite.
Bien fait ! Mais je n'en crois rien, elle craint de fouetter Summer elle-même, c'est tout. Madame Stone s'adresse ensuite à la Première Fille :
— Gloria, donne-lui dix coups de fouet.
— Oui Madame.
Cette fille va décrocher le fouet à trois lanières qui pend à un clou et elle dit à Summer :
— Mets-toi en position.
Summer se met à quatre pattes, puis place son front sur ses mains posées par terre. Elle a un trop beau cul... La Première Fille lève le fouet et l'abat sur ses fesses... Rapidement, trois bandes rouges viennent les embellir encore plus. Et pourtant, je jure que ça me fait mal. La fille recommence, deux fois, trois fois... Summer gémit, mais je crois que c'est une réaction de "complaisance". Dix fois, le fouet lui mord les fesses. Quand c'est fini, Madame Stone lui dit :
— Tu peux te relever.
Elle n’ose pas lui dire « Remercie et va te mettre à genoux dans un coin ». Tout le monde a peur de Summer, même Madame Stone... Même Monsieur Sam ! Enfin, peut-être.
Madame Stone appelle les filles pour leur donner des corvées : nettoyage, lessive, faire les chambres, serveuses... Les filles vont mettre l'uniforme qui correspond à ce qu'elles ont à faire. Ces tenues sont lavées une fois par semaine. Normal que des esclaves sentent leurs transpirations et celles des autres. Summer doit faire des chambres. Elle met un uniforme et part avec les autres filles. Et moi, je reste là... Il y a les filles de cuisine et tout le personnel qui préparent les repas. Madame Stone claque des doigts pour que je lève les yeux et elle désigne ses jambes. Ouf ! Ce n'est pas le fouet, mais la lécher. Un moindre mal... Je m'insinue entre ses grosses cuisses. Elle lève une jambe et pose le pied sur un tabouret. Je reconnais tout, même dans la pénombre : les longs poils roux filasse, l'odeur de ménagerie négligée, les grandes lèvres qui ressemblent à un immense papillon dégoûtant et puis le clito de la taille d’une petite bite. Je sais ce qu'elle veut : de la passion ! J'ai eu mal pour Summer, je le jure, mais ne pas être fouettée m’a également soulagée. Elle veut de la passion ? OK, j'embrasse, je lèche et je suce sa grosse chatte très fatiguée... Je ne vais pas tout décrire, je l'ai déjà fait et puis je sais que ma lectrice imaginaire n'aime pas beaucoup ça. Elle jouit enfin... Ouf ! Elle me dit :
— Mets-toi à genoux.
Je me mets dans la position qu'elle souhaite.

 


Elle se tourne un peu vers moi pour dire :

— Raconte-moi ce qui s'est passé à partir du moment où le couple t'a enlevée.
Mais... euh... je ne sais pas ce que je peux lui dire. Elle ajoute :
— Va chercher le fouet.
Je vais le prendre et elle me dit :
— Chaque mensonge par omission, cinq coups de fouet.
— Mais... si je me souviens pas....
— Commence.
Alors, je raconte tout... Qu'est-ce que je peux faire d’autre ? Je suis une esclave, je dois obéir, d'autant plus que j'ai le fouet dans les mains et les lanières sont encore chaudes des fesses de Summer... C'est une image. Quand j'ai tout raconté, elle ne fait aucun autre commentaire, elle me dit juste :
— Lave-toi le visage, tu sens la chatte.
Étonnant ! Je vais me débarbouiller, puis elle me montre une armoire du doigt en disant :
— Mets l'uniforme qui est là.
C'est une tenue de femme de chambre, mais sexy, jupe courte, décolleté. Quand je suis habillée, elle me dit :
— Va à la réception, on t'indiquera de quelles chambres tu dois t’occuper.
— Oui Madame. Je peux y aller ?
Geste de la main... Je descends pour me mettre aux ordres du réceptionniste. Il y a plusieurs filles qui attendent comme moi. Elles sont jolies, mais c'est moi qu'on demande. Je comprends vite pourquoi : ils savent que je suis l'ex Première Dame. Les informations circulent vite. De la même façon, tout le monde sait bientôt que Summer est ici provisoirement et qu'elle est dangereuse. Même les clients n'osent pas la demander.
Trois jours après notre arrivée, on se retrouve nues avec les autres esclaves dans la cuisine, le QG de Madame Stone. Elle donne des corvées à faire à toutes les filles. Quand il ne reste plus que nous deux, elle dit à Summer :
— Tu fais peur à tout le monde. Monsieur Sam veut que tu ailles t'occuper de la sécurité du Slave Paradise.
Summer l'avait dit ! Yess ! Et moi ? Je m'accroche au bras de Summer Madame  Stone le voit et me dit :
— Mais oui ma petite fille, tu peux l’accompagner.
Elles rient toutes les deux... M'en fous, du moment qu'on part d'ici. Summer et Madame Stone s'embrassent !! On va chez la Première Fille, qui nous enlève nos colliers et nous rend nos vêtements. On quitte l'hôtel, tout le monde a l'air soulagé du départ de Summer...
***
Je devrais également être soulagée de partir de là, mais j'ai appris à me méfier des coups de putes que me joue souvent un destin vicelard. Pour parler plus élégamment, je me dis « Et maintenant, qu'est-ce qui va m'arriver ? »
Summer va rejoindre l'équipe de sécurité du « Slave Paradise », il faut dire que ça lui convient beaucoup mieux. Je retrouve l'endroit qui me rappelle l'époque où j'étais célèbre... De l'eau et des douleurs sont passées sous les ponts.
Summer doit partir pour une mission confiée par Monsieur Sam. Avant de partir jusqu'au lendemain, elle me dit :
 — Tu dois être occupée à quelque chose, sinon tu vas faire des conneries et puis, tu es à moi, il faut que tu gagnes de l'argent pour ta maîtresse. Tu veux être barmaid ou faire du pole dance ou même chanter dans le bar ? Réfléchis.
— Oui, je te dirai quoi demain.
Elle m'embrasse et s'en va. Je vais réfléchir, mais en m'amusant... La suite de cette journée, je n'en suis pas fière. Je commence par aller dans le bar de l'hôtel, j'ai envie de boire quelque chose de fort... Le problème, c'est que je n'ai pas d'argent, alors je vais sur la plage. Si rien n'a changé, l’endroit est privé, donc j'enlève ma robe... Ça fait du bien d'être nue au soleil. Je vais me baigner. Des jeunes gens m'ont repérée et ils viennent me parler. Ils m'offrent des bières... on flirte... on mange... C'est la suite qui dérape. J'ai des flashs : je me vois sucer quelques queues, mais comme je suis toujours une esclave, c'est normal. Par moment, je pense à Summer et je me dis « Elle ne va pas être contente ». Et, puis un garçon me propose des pilules en forme de soleil, mais bleues... c'est beau. J'en prends trois et je les avale avec une gorgée de bière. Je pense « Je vais planer... » mais au lieu de ça, j'ai l'impression de tomber, et puis c'est le noir complet.
Je me réveille dans une pièce inconnue... Oh ! On dirait une chambre d'hôpital... Oui, c'est ça... À côté de moi, il y a d'autres lits avec des gens couchés, dont certains gémissent. J'ai une terrible gueule de bois... Je déteste les hôpitaux, il faut que je parte d'ici et je ne veux surtout pas que Summer apprenne ce que j'ai fait. Je me lève péniblement, en me tenant aux montants des autres lits pour parvenir jusqu’à la porte...
Plusieurs personnes me disent : « Tu devrais rester dans ton lit ».
Là, je me rends compte que j'ai un de ces stupides vêtements complètement ouverts derrière. Tant pis, je vais quand même dans le couloir.


 

Un infirmier arrive et m'engueule ;

— Vous êtes indécente, Mademoiselle, il y a des jeunes ici !
J'en peux rien, moi, s'il y a des jeunes... Ils ne vont pas mourir d'avoir vu une paire de fesses !  Il ajoute :
— Tu ne serais pas l'esclave de Summer, toi ?
— Oui, mais...
Il m'attrape par l'oreille pour m'obliger à me pencher en avant, en me faisant crier. Là, on voit vraiment mes fesses, connard ! Il me ramène dans la chambre et me remet au lit en m’annonçant :
— Je dirai à Summer de te punir !
Puis il m'attache les poignets aux barreaux du lit avec des liens en plastique. Du lit d’à côté, une gosse femme me dit :
— Tu vois ce qui arrive quand on veut faire sa maligne.
Une autre ajoute :
— Et c'est une esclave en plus ! Qu'est-ce qu'elle vient faire ici ?
Enfin, un homme y va de son commentaire :
— Très joli cul en tout cas.
Je ferme les yeux. Qu'est-ce que j'ai fait !!! Un garde du "Slave Paradise" arrive. Je le connais de vue. Il est avec un infirmier qui détache mes liens. Le garde me dit :
— Habille-toi.
Je vais derrière un paravent pour remettre mes vêtements. On sort de la chambre et je dis au garde :
— On m'a donné des pilules qui...
Il m'interrompt :
— Tu expliqueras ça à Summer.
Encore un sale con ! Au Slave Paradise, on va dans un hangar. Dans une grande cage, il y a des esclaves qui vont être vendues. Le garde me dit :
— Déshabille-toi, tu vas pouvoir réfléchir à la punition qui t'attend.
Quand je suis nue, il m'enferme avec les esclaves. Ma punition commence ! Dès qu'on est seules, les filles m'interrogent. Je leur sers l'histoire qu'elles ont envie d'entendre : je me suis enfuie et j'ai peur de ce qui va m'arriver. Elles ont l'air d'accord, ça va chauffer pour mes fesses. D'autres filles racontent leur histoire, vraie ou fausse. Je suis faible, j'ai mal à la tête et surtout j'ai une méga trouille... Je somnole peu ou je m'endors, quand j'entends la voix de Summer dire :
— Tu es fière de toi ?
— Pardon, je...
— Combien de coups de fouet ?
— ... Dix, Maîtresse.
— D'accord.
Le garde qui est avec elle ouvre la cage. Je vais me mettre à genoux devant elle en disant ;
— Je ne pouvais pas savoir que...
— En position !

À suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

Nos 7 livres illustrés sont ici : 

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To my English-speaking friends.



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vendredi 7 janvier 2022

Dessin inédit de Bruce Morgan

 Dessin inédit de Bruce Morgan pour un épisode de Lizy, ma nouvelle histoire :



http://miasansdessous.com

jeudi 6 janvier 2022

Une surprise.

 Il m’a dit : « Mets toi à genoux sur ce fauteuil, tu auras une surprise. »

- Oooooh... Quelle grosse surprise !!
***
Lisez moi.… ça vous fera plaisir et à moi aussi...
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mardi 4 janvier 2022

lundi 3 janvier 2022

Bruce Morgan

 


Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans nos livres.

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samedi 1 janvier 2022

 


Ces quelques fleurs pour vous souhaiter une super année, bisous à tous.