Elle
s'adresse à Madame Stone :
—
Je vais la prendre à mon service, elle servira le petit déjeuner
demain matin, mais il faut la laver !
—
Bien Madame.
Madame
Stone me fait un signe, je fais une révérence et je la suis. Cette
femme, je l'appelais Madame Cochon, c'est Madame Crasston maintenant
et elle est devenue ma propriétaire. Ils ne seront peut-être pas
pires qu'un autre propriétaire. Quoique... Ils ont fait fortune en
tuant des animaux ! On va dans la cuisine et Madame Stone dit à
Meadow :
—
Lave-la soigneusement et fais lui mettre un uniforme propre.
—
Un uniforme de servante, Madame ?
—
Bien sûr, idiote !
On
fait une révérence et on quitte la pièce. Meadow n'a pas l'air
très à l'aise. Elle me dit :
—
Je t'ai traitée durement, mais c'est ce qu'ils voulaient.
—
Je sais... j'aurais fait la même chose.
Je
n'ai pas besoin d'ennemis supplémentaires. Je me lave, enfin... Oh !
Ça fait du bien. Je mets un bel uniforme propre. Je suis heureuse
d'être une servante et plus ce que j'étais. On retourne dans la
cuisine et je vais me montrer à Madame Stone. Celle-ci ne fait pas
de commentaires à mon sujet, elle dit juste :
—
C'est bien Meadow. Demain, tu seras une servante.
—
Merci beaucoup Madame.
Je
travaille avec les autres filles à des tâches moins dégradantes.
Plus tard, Lisa me dit elle aussi :
—
On avait des ordres.
—
Oui, je sais Mademoiselle.
Elle
devient première fille, c'est-à-dire que les servantes devront lui
obéir.
Le soir,
je ne mange plus les restes et je dors dans un lit, quel confort. Je
rêve de Summer.
***
Le
lendemain matin, une vie un peu moins pénible commence. Je dois
préparer le petit déjeuner de mes nouveaux propriétaires. Dès le
début, il y a eu une antipathie réciproque entre eux et moi. Je
trouvais qu'ils avaient tous les défauts des nouveaux très riches
!
Ils sont plus
riches et plus puissants que jamais. Ils ont fait le bon choix en
soutenant Dany Prince et en trahissant mon mari. Madame Wolf aussi.
Je m'en fous. Je ne pense même pas à me venger un jour, je veux
juste partir d'ici. J'attends debout dans la cuisine qu'ils me
sonnent.
Ça y
est, la sonnette de la salle à manger retentit. Ça veut dire qu'ils
quittent leurs chambres pour aller dans leur salle à manger privée.
J'y cours... et j'attends. Je me suis conditionnée à ne plus les
appeler Monsieur et Madame Cochon en pensée. Pourtant... elle arrive
vêtue d'une chemise de nuit transparente et pas propre. Vue
imparable sur ses grosses mamelles, son ventre qui cache presque son
pubis et son cul de jument obèse ! Lui, il est juste vêtu d'une
veste de pyjama trop courte, sa longue bite molle fait le pendule à
chaque pas. Un remède pour guérir du hoquet ou pour ne plus baiser.
Mesdames et Messieurs, je vous présente mes Maîtres ! Je fais une
profonde révérence en disant :
—
Bienvenue Madame, Monsieur. Ashley, à votre service.
Madame
Stone m'a dit que c'est ce qu'il fallait dire... Ils ne répondent
pas et ne me regardent même pas... Elle dit juste :
—
Déjeuner.
Je
quitte la pièce. Derrière la porte, deux servantes m'attendent avec
un très grand plateau qu'elles tiennent à deux.... Il y a des
crêpes, des oeufs au lard, des patates. Je le prends et ouch ! Il
pèse une tonne. J'entre, pourvu que je ne tombe pas, je serais
fouettée sans l'ombre d'un doute. J'arrive devant la table et
m'apprête à le déposer quand Madame me dit sans me regarder
:
— Attends
qu'on te le dise.
Ça
commence ! Elle dit à Monsieur :
—
Pas bien éduquée, cette fille.
Mais
pourquoi je ne peux pas déposer ce plateau qui pèse si lourd... Ils
parlent d'une commande d'alcool jusqu'à ce que mes bras tremblent...
Juste avant que je m'évanouisse, elle montre la table du doigt. Je
dépose le plateau... Mes bras continuent de trembler. Elle dit :
—
Crêpe, sirop, café. Et Monsieur, oeufs au bacon, thé.
Je
sers Madame puis Monsieur, puis je reste là, tête baissée. Elle
montre un coin de la pièce en disant :
—
Là.
Pourquoi
parler, quand on peut grogner juste un mot ? Je vais me mettre contre
le mur. Madame a une clochette en bonze. Quand elle la fait tinter,
je dois les servir. Je vais près de la table, fais une
révérence et elle me montre du doigt ce qu'elle veut. Elle est
devenue muette, maintenant. Il faut surtout que je comprenne ce
qu'elle veut. Après bien avoir bien interprété son geste, je
retourne dans mon coin. Je baisse la tête, mais je vois quand même
qu'ils mangent comme des porcs. Oui, je dois le dire. Elle engloutit
ses crêpes au sirop d'étable... qui dégouline sur sa chemise de
nuit... Lui laisse même tomber un morceau de lard par terre. Il me
le montre du doigt. Qu'est-ce que je dois faire ? Pas le lui remettre
dans la bouche. Je le ramasse, puis je retourne dans mon coin. Ils
finissent leur repas et elle fait un rot sonore. Quelle... non, rien.
Madame Stone arrive. Elle leur demande :
—
Vous êtes satisfait de la petite, Madame ?
—
Pour une première fois, ça peut aller.
—
Vous ne voulez pas qu'elle aille sous la table ?
NON
!! Madame répond :
—
Elle me dégoûte, elle ne sent pas très frais... et on ne sait pas
dans quel trou du cul sale elle a fourré sa langue.
Cette
image les fait rire tous les trois ! Grrr ! Madame ajoute :
—
Tu peux l'essayer, ici.
—
Merci, Madame.
Elle
s'assied et du doigt elle me désigne le sol sous la table. En clair,
ça veut dire : « Va me lécher la chatte et soigneusement, si tu ne
veux pas être fouettée ». Je file sous la table, tandis qu'elle se
soulève de son siège pour retirer sa culotte. Je nage dans la mare
de graisse de ses cuisses, pour arriver dans le noir, au poulpe mort
qui lui sert de chatte. Elles parlent de punitions, Madame Stone
explique :
—
J'essaye de punir les filles par où elles ont péché...
Tout
en léchant le poulpe pas frais, je me dis : c'est quoi ce charabia ?
Madame Stone poursuit :
—
Les maladroites reçoivent des coups sur les doigts, les paresseuses
sur les mollets... Alors, si cette petite pute que j'ai entre les
cuisses ne me lèche pas bien, je la fouetterai sur la chatte.
Les
Crasston trouvent l'idée super, tandis que je m'active tout à coup
soigneusement à la lécher. Je ne veux pas de fouet sur la chatte,
ni ailleurs. Je lèche, suce, mordille tout ce que j'ai sous la
langue et le nez, hélas. Ils continuent à discuter de politique.
Enfin, Madame Stone geint un peu et jouit en me serrant la tête entre ses énormes tentacules, je veux dire ses énormes cuisses. Je reste là sans oser bouger, jusqu'à ce que Monsieur Crasston me dise :
—
Viens chez moi.
Ppppfff,
dure la vie d'esclave ! Je suis bientôt le nez sur ses abats. Il est
plus propre que Madame Stone. Je prends son sexe en bouche et je le
suce. Au bout de très peu de temps, il me dit :
—
C'est bon, remets-toi debout.
Je
me redresse et reste là, rouge, décoiffée, vraiment pas fraîche
maintenant. Il voulait juste me forcer à prendre son sexe en bouche.
Madame Stone me dit :
—
Débarrasse et va demander à Lucia de te donner ton travail.
Je
le fais en faisant très attention... Une dernière révérence et je
file à la cuisine. Là, Lucia me dit :
—
Épluche ce tas de patates.
C'est
fastidieux, mais toujours mieux que récurer le sol à genoux ou
lécher Madame Stone..
***
À
midi, je dois servir le repas. Il y a Madame Crasston, madame Wolf,
sa nièce Sarah et deux couples que je connais de vue, des gens
riches et influents qui ont eux aussi trahi mon mari. Une belle
brochette de traîtres ! Madame veut montrer à tous qu'elle est
servie par... moi. Je fais très, très attention et heureusement, je
n'oublie pas une seule révérence et je bondis au moindre signe.
À
la fin du repas, madame Stone vient saluer tout le monde. Elle
demande :
— Tout
s'est bien passé, Madame ?
—
Pas trop mal, Madame Stone, mais ce qui n'est pas agréable, c'est
que cette fille a toujours l'air tellement... renfrognée. J'aimerais
être servie par une servante souriante.
—
Je vais régler ça. Le fouet lui rendra le sourire !
—
Une fessée suffira.
Elle
se tourne vers ses invités en demandant :
—
Elle mérite une fessée ?
Ils
sont tous d'accord : une fessée, rien de tel pour rendre une esclave
souriante. Oh, je sais que cette fessée me pendait au nez, quoi que
je fasse ! Madame Stone s'assied sur une chaise et elle me dit :
—
Viens te coucher sur mes cuisses, on va donner de bonnes couleurs à
tes grosses fesses.
Je
fais ce qu'elle dit et elle relève ma jupe d'uniforme, puis descend
ma culotte jusqu'à la pliure des genoux. Une fessée, c'est pas trop
grave. , sauf que Madame lui dit :
—
Ne vous abîmez la main Madame Stone, prenez votre sandale.
Oh
non ! Deux minutes plus tard, ça commence, sa main claque sur mes
fesses.
PAF !
Là, Madame lui dit :
—
Ne vous abîmez la main Madame Stone, prenez votre sandale.
Elle
enlève sa sandale et la lève au dessus de son épaule.
PAF
!
—
Aiiiiieeee!!!
La
semelle de sa sandale s'abat sur mes fesses et puis :
PAF
! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF !
PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF !
Je
n'arrive même plus à crier entre chaque coup, j'ai l'impression que
mes fesses sont en feu ! Quand Madame Stone s'arrête enfin... Madame
me dit :
— Alors
?
— Je serai
souriante Madame, je le jure.
Je
fais un grand sourire, les joues mouillées de larmes.
—
C'est bon, continue ton service.
A
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
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livres sont ici :
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Спасибо
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