Jeffery
intervient à nouveau :
—
Accélérez un peu, les gars.
Le
commis, il ne faut pas lui dire deux fois, il jouit dans la vulve de
Nouzha (oui, les esclaves ont des vulves, pas des chattes). Jeffery
dit à Radia :
—
Ouvre la bouche.
C'est
beau le sperme qui coule de la vulve de Nouzha à la bouche de Radia.
Je commence à "chauffer" moi !
Le
cuisinier, lui, a du mal à jouir. Madame Stone lui dit :
—
On va t'aider.
Elle
se tourne vers moi en disant :
—
Va lui lécher le cul, ça l'aidera.
Elle
est folle ! Je ne vais sûrement pas le faire ! Elle ajoute :
—
Vas-y ou on te laisse ici pour la nuit.
Là,
je me rebiffe ! Je réponds :
—
Mon mari va vous...
Elle
me coupe en disant :
—
Il est au courant et impatient de voir les vidéos.
Elle
me montre des caméras disséminées
un peu partout. C'est de nouveau un coup de ce sale rat. Il me le
paiera.
Jeffery
pose la main sur mes fesses et les caresse en disant :
—
Je connais Madame Stone, si elle le dit, elle le fera.
Ils
me regardent tous en souriant. J'ai autant envie de lécher le cul de
ce gros cuisinier suant que de... sauter à l'élastique. D'un autre
côté, au "House of Pussies" je léchais les culs des
clients qui payaient bien. Et puis, je suis ici incognito. Je vais me
mettre à genoux derrière le cuisinier. Il tend déjà son gros
derrière vers mon visage. Je pose mes mains sur ses fesses pour les
écarter et puis je plonge. Bon, je passe sur les détails. Ce qui
importe, c'est qu'aussitôt, il grogne et remue son gros derrière,
pire qu'un diable dans un bénitier. Il ne faut pas longtemps avant
qu'il inonde la vulve d'Alexandra et bientôt la bouche d'Aline qui
est en dessous. Je me relève aussitôt.
Et
puis là, je me dis : Oui mais oh, Ashley, qu'est-ce que tu fous ??
Ça n'a pas de sens d'obéir à cette femme, qui est ton employée !
Je lui dis :
—
Je voudrais vous parler, Madame Stone.
On
s'éloigne un
peu et je lui
dis :
— Vous
savez, je vous apprécie professionnellement, mais à présent, je
suis la femme du Président. Je voudrais beaucoup que vous soyez
plus...
Je ne
trouve pas le mot. Elle attend...
—
Plus respectueuse avec moi.
Elle
me regarde en souriant et répond :
—
Le Président m'a dit qu'il faut le faire quand on est en public.
Mais ici, personne ne te connaît ou presque, donc je te traite comme
la petite pute que tu es ! Quand on est seules, je veux que tu
m'obéisses !
Elle
est complètement folle ! Elle ajoute :
—
Maintenant, on va fouetter les filles pour leur apprendre à être
plus souriantes. On peut te fouetter aussi. Ou alors, tu
t'excuses.
Elle le
ferait, je le sais... Je fais quoi ? Me plaindre à mon mari,
inutile. Allez, un petit moment de honte est vite passé. Je lui dis
:
— Pardon...
—
Oh non ! Il va falloir faire beaucoup mieux comme excuses pour
éviter le fouet.
—
Je m'excuse sincèrement, Madame Stone...
Elle
tend la main vers moi, mais pas pour que je la serre... pour que je
l'embrasse. J'ai peur du fouet et j'aime trop ce qu'elle fait avec
les filles... Je m'incline pour embrasser sa main. Oui, je sais,
Jackie Kennedy n'aurait jamais fait ça... Ni ce qui suit. Elle me
dit :
— Je ne
t'ai pas dit de te relever !
Elle
remet sa main à hauteur de sa chatte, je m'incline et j'embrasse sa
main, pliée en deux, jusqu'à ce qu'elle me dise :
—
C'est bon, je te pardonne. Tu peux te redresser.
—
Merci, Madame Stone.
Madame
Reagan n'aurait jamais fait ça non plus ! J'ai un peu la tête qui
tourne : trop d'émotions. Jeffery nous dit :
—
Venez boire un verre, pendant qu'on prépare les filles pour le
fouet.
Oh oui,
j'en ai besoin... On va s'asseoir. Il y a une bouteille de Bourbon
sur la table. L'alcool, je n'aime pas, mais là, j'en ai besoin. Je
bois une grande gorgée de Bourbon... Aïe ! Ça pique, mais ça
change bien le goût que j'avais en bouche. Jeffery dit à Madame
Stone :
— Elle
m'inspire, ta petite protégée.
—
Tu veux qu'elle te suce ?
—
Oui, ça me ferait plaisir.
Elle
se tourne vers moi en disant
—
Tu as entendu ? Et enlève ta robe.
Ah
oui, c'est la suite logique. Je me suis aplatie devant elle et
maintenant, je suis bien obligée de faire ce qu'elle dit. Ici, je ne
suis plus qu'une "fille". Et puis, j'ai léché un trou du
cul, une bite, ce n'est pas pire. À l'avenir, je ne me retrouverai
plus à la merci de Madame Stone. Mais ici, je n'ai pas le choix.
Madame Stone me dit :
—
À moins que tu ne préfères...
Je
préfère pas, inutile de le préciser. Je me lève, ôte ma robe et
je vais me mettre à genoux entre les cuisses de Jeffery. Il a déjà
sorti son sexe de son pantalon. Madame Stone me dit :
—
Commence par masser sa bite entre tes seins.
Une
fois qu'on a commencé à obéir, difficile de faire marche arrière.
Donc je mets le sexe de Jeffery entre mes seins et je le branle, en
les pressant à deux mains. On continue le jeu de tout à l'heure ?
D'accord : Madame Clinton n'aurait jamais fait ça. Monica,
peut-être... J'ai son sexe sous le nez et j'ai une bonne surprise :
non seulement Jeffery doit se faire sucer tous les jours, mais en
plus il est propre. Sucer une bite propre, c'est cool... Rapidement,
il humidifie mes seins et son gland glisse bien entre eux. Je le
branle un moment, tandis qu'il me caresse la nuque. Il finit par me
dire :
— Putain
que tu es bonne ! Tu es née pour sucer les bites (natural born
cocks' licker)... Je veux tout lâcher... dans ta bouche.
Je
préférerais
qu'il vise le sol, mais vous connaissez les hommes ! Dès que j'ai
son sexe en bouche, il jouit et j'avale tout comme une fille qui a
fait ses classes au "House of Pussies". En me caressant la
joue, il me dit :
—
Tu es une suceuse de premier ordre.
C'est
gentil, sauf qu'il ajoute pour Madame Stone :
—
Tu devrais la faire travailler pour toi !
Cette
garce répond :
—
Ça viendra.
Dans
tes rêves, espèce de grosse maquerelle de m... Jeffery stoppe mes
pensées en disant :
—
Il faut s'occuper de dresser mes filles.
Oui,
ça, c'est cool. On passe dans la pièce voisine. Les filles sont
attachées deux par deux dans une armature carrée avec des anneaux.
Elles sont collées l'une à l'autre, Alexandra contre sa mère Aline
et Radia contre sa sœur Nouzha. Elles sont face à face et sur la
pointe des pieds. Ça ne doit pas être très confortable et elles
gémissent... Madame Stone leur dit :
—
Vous allez recevoir le fouet parce que vous n'êtes pas assez
obéissantes. De plus, vous avez toutes fait des grimaces pour des
choses aussi insignifiantes que sucer une bite pas très propre.
Allez-y les gars.
Elle
a dit ça à deux hommes armés de fouets. On voit qu'ils ont
l'habitude de punir les esclaves. Ils lèvent leurs fouets ensemble
et ils partent en sifflant s'enrouler autour des hanches et des
fesses des quatre filles. Les fouets laissent une belle traînée
rouge sur les quatre fesses. Les filles poussent des cris stridents,
pour un coup de fouet !
Les hommes lèvent les fouets à nouveau et ils viennent claquer à nouveau autour des filles une bonne quinzaine de fois. Elles ne manquent pas de crier à chaque coup. C'est vrai que leurs fesses finissent par être ornées d'une série de stries rouges du plus bel effet. Les hommes arrêtent de fouetter !
C'est trop vite à mon goût, mais Jeffery leur dit :
—
Merci, les gars.
Puis
à nous :
—
Venez à côté, je dois te parler de quelque chose, Emma.
Je
remets ma robe et je vais m'asseoir. Je demande une bière à une
serveuse esclave. Je suis bien mouillée, je demanderais volontiers à
Madame Stone si je peux jouer avec un des gardes. Oui, c'est dingue :
je n'ai rien à lui demander... Elle me dit justement :
—
Ashley...
— Oui
Madame Stone.
—
Je dois parler avec Jeffery, va pisser !
Exactement
comme le fait Summer. Jeffery ajoute :
—
Tu peux aussi aller voir tes esclaves, il y a sûrement la file pour
leurs bouches et leurs culs.
Je
finis ma bière et je me lève. Je vais pisser puis je vais voir les
quatre filles, à nouveau bien installées sur leurs bancs. Oh putain
: il y a des files pour les filles. Dès qu'un orifice se libère, un
homme y met sa bite ! Je vois une inscription : 20 $. Ce n'est
pas énorme, mais il y a beaucoup de monde. Comme elles doivent
avaler quand un homme jouit dans leurs bouches, j'ai l'impression
qu'elles n'auront plus faim après leur journée de travail ! Après
ça, elles fileront droit. Ma garce de voix intérieure me souffle
"Elles seront tellement bien dressées qu'elles t'embrasseront
les mains comme tu l’as fait à Madame Stone."
"Sale
petite garce !" C'est à ma voix intérieure que je parle.
Arrête de penser à ça, Ashley. Un des employés de Jeffery me
demande :
— Tu
veux voir un des nouveaux bancs, petite ?
Je
suis incognito, donc je peux le suivre. D'autant plus que c'est un
grand Black, pas mal du tout !
On va dans une autre pièce. Le gars me dit :
—
Regarde là, un nouveau banc avec des anneaux spéciaux. Penche-toi,
tu verras mieux...
Je
ne suis pas née de la dernière pluie, et j'ai une petite idée de
ce qu'il veut : mon cul ! Mais bon, si on peut faire plaisir, à
lui et à moi... Je me penche pour voir les anneaux qui n'ont rien de
spécial. Il remonte ma jupe sur mes reins et promène son gland
mouillé le long de ma fente tout aussi mouillée. Je me tortille un
peu...
Ouch !!
Il me pénètre d'un bon coup de reins et ses couilles viennent
claquer sur mes cuisses ! Aaah ! Très vite, ça fait du bien !!
Il me baise à grands coups de reins et je serre les dents pour ne
pas crier... Pas la peine de donner une autre raison à Madame Stone
de... Oh ! Le sexe dans ma chatte se met encore à grossir... Il
est de plus en plus à l'étroit, ce qui est très agréable, vous en
conviendrez... Ça y est, il me prend par les hanches et inonde ma
chatte. Pour être polie et surtout parce que je n'y tiens plus, je
jouis presque en même temps que lui.
Il
sort son sexe et il me donne une bonne claque sur les fesses en
disant :
—
J'adore ton cul, petite.
C'est
gentil. Le garde qui nous a conduits ici vient vers moi pour me dire
:
— Madame Stone
vous réclame, Madame.
Je
retourne près de Madame Stone et Jeffery. Je vois que le niveau du
bourbon a pas mal baissé et Madame Stone a l'air d'avoir bien
picolé. Elle me dit :
—
Je t'avais dit d'aller pisser, pas de te faire baiser, petite
traînée.
Ça
fait rire Jeffery. Elle ajoute :
—
Et moi ?
—
Vous, Madame Stone ?
—
Tu n'as pas envie que je prenne mon pied ?
—
Mais, euh... si, bien sûr Madame Stone.
Elle
se fait un peu glisser sur sa chaise, soulève sa jupe en disant :
—
File là-dessous....
Mais,
jusqu'où ça va, tout ça ? Madame Stone pèse sûrement 90 kg,
elle a des gosses joues, un vilain petit nez et des cheveux teints en
roux. Elle ajoute :
—
Si tu attends trop, tu vas me vexer.
Bon,
après tout ce que j'ai déjà fait, c'est pas la chatte d'une grosse
femme qui va me faire peur ! Ensuite... je prendrai des
dispositions... pour de vrai. Je me mets à genoux entre ses grosses
cuisses comme tout à l'heure avec Jeffery. J'aperçois sa grosse
chatte luisante, puis je suis dans le noir, car elle a rabattu sa
jupe sur ma tête. J'ai peur du noir et je n'aime pas du tout son
odeur ! Elle sent comme les poubelles d'un restaurant de fruits de
mer en été. Je suis obligée de le dire, désolée. Il faut que je
la fasse jouir avant d'étouffer dans la poubelle. J'embrasse sa
grosse moule, l'image est justifiée, et je la lèche. Le goût est
moins pire, si je puis dire... Je me concentre sur son clito qui doit
faire plusieurs centimètres et je m'en occupe comme si c'était la
bite d'un lutin. Je l'entends discuter politique avec Jeffery. Je
sais lécher, vous le savez, mais il y a des gens qui manifestent
peu, par exemple Summer. Madame Stone est comme ça aussi... je sens
à peine ses grosses cuisses frémir contre mes joues. Enfin, après
avoir longuement mordillé et sucé son clito, elle jouit ! Je m'en
rends compte parce qu'elle mouille mon visage. Ouf ! Vite, de
l'air ! Je veux me reculer, mais elle serre les cuisses sur mon
visage en disant :
—
Tu restes là jusqu'à ce que je t'autorise à sortir.
Normal
: j'ai mis mon doigt dans l'engrenage, je vais y passer tout entière.
Au secours : sortez-moi de là ! Elle soulève un peu sa jupe et me
dit :
— Pose tes
lèvres sur ma chatte, je veux sentir ton souffle.
L'engrenage !!
Il me faut Summer, quand on était à Malibu, Madame Stone se
conduisait presque normalement. Enfin, j'entends elle me dit :
—
On va y aller, Jeffery, merci pour tout.
—
Avec plaisir, Emma.
Elle
soulève sa jupe en disant :
—
On dirait que tu y prends goût à ma chatte. Allez, sors de là.
Je
me relève et elle ajoute :
—
Qu'est ce qu'on dit ?
—
Merci Madame Stone.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
A
suivre.
Mes livres illustrés par Bruce Morgan,
sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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