Mia en pleine discussion avec un Buddleia... Shoote-t'il vraiment les papillons ?
mercredi 31 mars 2021
mardi 30 mars 2021
Dessin de Bruce Morgan
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
lundi 29 mars 2021
Une soirée classe....
Prête pour la soirée...
dimanche 28 mars 2021
Pour avoir de belles fesses....
Une bonne méthode pour muscler les jambes et les fesses. 😀
samedi 27 mars 2021
Mes fesses.
Dernière photo de la série "Mes fesses à la fenêtre."
***
Mes livres illustrés par Bruce Morgan, sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
vendredi 26 mars 2021
Dessins originaux de Bruce Morgan.
Bruce Morgan vend les planches originales signées, de tous les dessins de nos livres.
jeudi 25 mars 2021
Les vacances de Mia.
Pour vous changer les idées, je vous propose gratuitement, par mail
"Les vacances de Mia" 35 pages, 14 dessins. Vrai à 75 %.
mercredi 24 mars 2021
Dessin de Bruce Morgan
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
mardi 23 mars 2021
Mes seins...
Petite muse de l'inspiration, que dire de cette photo ?
- Tes seins sont... petits, mais belliqueux.
Mouais... t'as fait la noce, toi !
***
Mes livres illustrés par Bruce Morgan, sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
lundi 22 mars 2021
Dessin de Bruce Morgan.
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres et ils sont beaucoup moins convenables.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
dimanche 21 mars 2021
Maid in Japan
Il y a un nouvel épisode de "Maid in Japan" avec deux dessins inédits de Bruce Morgan.
https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.be
Voyeurs.
Gaffe, Mia, y a des voyeurs dans la maison.
samedi 20 mars 2021
vendredi 19 mars 2021
Ashley - 37 Madame Stone.
Jeffery
intervient à nouveau :
—
Accélérez un peu, les gars.
Le
commis, il ne faut pas lui dire deux fois, il jouit dans la vulve de
Nouzha (oui, les esclaves ont des vulves, pas des chattes). Jeffery
dit à Radia :
—
Ouvre la bouche.
C'est
beau le sperme qui coule de la vulve de Nouzha à la bouche de Radia.
Je commence à "chauffer" moi !
Le
cuisinier, lui, a du mal à jouir. Madame Stone lui dit :
—
On va t'aider.
Elle
se tourne vers moi en disant :
—
Va lui lécher le cul, ça l'aidera.
Elle
est folle ! Je ne vais sûrement pas le faire ! Elle ajoute :
—
Vas-y ou on te laisse ici pour la nuit.
Là,
je me rebiffe ! Je réponds :
—
Mon mari va vous...
Elle
me coupe en disant :
—
Il est au courant et impatient de voir les vidéos.
Elle
me montre des caméras disséminées
un peu partout. C'est de nouveau un coup de ce sale rat. Il me le
paiera.
Jeffery
pose la main sur mes fesses et les caresse en disant :
—
Je connais Madame Stone, si elle le dit, elle le fera.
Ils
me regardent tous en souriant. J'ai autant envie de lécher le cul de
ce gros cuisinier suant que de... sauter à l'élastique. D'un autre
côté, au "House of Pussies" je léchais les culs des
clients qui payaient bien. Et puis, je suis ici incognito. Je vais me
mettre à genoux derrière le cuisinier. Il tend déjà son gros
derrière vers mon visage. Je pose mes mains sur ses fesses pour les
écarter et puis je plonge. Bon, je passe sur les détails. Ce qui
importe, c'est qu'aussitôt, il grogne et remue son gros derrière,
pire qu'un diable dans un bénitier. Il ne faut pas longtemps avant
qu'il inonde la vulve d'Alexandra et bientôt la bouche d'Aline qui
est en dessous. Je me relève aussitôt.
Et
puis là, je me dis : Oui mais oh, Ashley, qu'est-ce que tu fous ??
Ça n'a pas de sens d'obéir à cette femme, qui est ton employée !
Je lui dis :
—
Je voudrais vous parler, Madame Stone.
On
s'éloigne un
peu et je lui
dis :
— Vous
savez, je vous apprécie professionnellement, mais à présent, je
suis la femme du Président. Je voudrais beaucoup que vous soyez
plus...
Je ne
trouve pas le mot. Elle attend...
—
Plus respectueuse avec moi.
Elle
me regarde en souriant et répond :
—
Le Président m'a dit qu'il faut le faire quand on est en public.
Mais ici, personne ne te connaît ou presque, donc je te traite comme
la petite pute que tu es ! Quand on est seules, je veux que tu
m'obéisses !
Elle
est complètement folle ! Elle ajoute :
—
Maintenant, on va fouetter les filles pour leur apprendre à être
plus souriantes. On peut te fouetter aussi. Ou alors, tu
t'excuses.
Elle le
ferait, je le sais... Je fais quoi ? Me plaindre à mon mari,
inutile. Allez, un petit moment de honte est vite passé. Je lui dis
:
— Pardon...
—
Oh non ! Il va falloir faire beaucoup mieux comme excuses pour
éviter le fouet.
—
Je m'excuse sincèrement, Madame Stone...
Elle
tend la main vers moi, mais pas pour que je la serre... pour que je
l'embrasse. J'ai peur du fouet et j'aime trop ce qu'elle fait avec
les filles... Je m'incline pour embrasser sa main. Oui, je sais,
Jackie Kennedy n'aurait jamais fait ça... Ni ce qui suit. Elle me
dit :
— Je ne
t'ai pas dit de te relever !
Elle
remet sa main à hauteur de sa chatte, je m'incline et j'embrasse sa
main, pliée en deux, jusqu'à ce qu'elle me dise :
—
C'est bon, je te pardonne. Tu peux te redresser.
—
Merci, Madame Stone.
Madame
Reagan n'aurait jamais fait ça non plus ! J'ai un peu la tête qui
tourne : trop d'émotions. Jeffery nous dit :
—
Venez boire un verre, pendant qu'on prépare les filles pour le
fouet.
Oh oui,
j'en ai besoin... On va s'asseoir. Il y a une bouteille de Bourbon
sur la table. L'alcool, je n'aime pas, mais là, j'en ai besoin. Je
bois une grande gorgée de Bourbon... Aïe ! Ça pique, mais ça
change bien le goût que j'avais en bouche. Jeffery dit à Madame
Stone :
— Elle
m'inspire, ta petite protégée.
—
Tu veux qu'elle te suce ?
—
Oui, ça me ferait plaisir.
Elle
se tourne vers moi en disant
—
Tu as entendu ? Et enlève ta robe.
Ah
oui, c'est la suite logique. Je me suis aplatie devant elle et
maintenant, je suis bien obligée de faire ce qu'elle dit. Ici, je ne
suis plus qu'une "fille". Et puis, j'ai léché un trou du
cul, une bite, ce n'est pas pire. À l'avenir, je ne me retrouverai
plus à la merci de Madame Stone. Mais ici, je n'ai pas le choix.
Madame Stone me dit :
—
À moins que tu ne préfères...
Je
préfère pas, inutile de le préciser. Je me lève, ôte ma robe et
je vais me mettre à genoux entre les cuisses de Jeffery. Il a déjà
sorti son sexe de son pantalon. Madame Stone me dit :
—
Commence par masser sa bite entre tes seins.
Une
fois qu'on a commencé à obéir, difficile de faire marche arrière.
Donc je mets le sexe de Jeffery entre mes seins et je le branle, en
les pressant à deux mains. On continue le jeu de tout à l'heure ?
D'accord : Madame Clinton n'aurait jamais fait ça. Monica,
peut-être... J'ai son sexe sous le nez et j'ai une bonne surprise :
non seulement Jeffery doit se faire sucer tous les jours, mais en
plus il est propre. Sucer une bite propre, c'est cool... Rapidement,
il humidifie mes seins et son gland glisse bien entre eux. Je le
branle un moment, tandis qu'il me caresse la nuque. Il finit par me
dire :
— Putain
que tu es bonne ! Tu es née pour sucer les bites (natural born
cocks' licker)... Je veux tout lâcher... dans ta bouche.
Je
préférerais
qu'il vise le sol, mais vous connaissez les hommes ! Dès que j'ai
son sexe en bouche, il jouit et j'avale tout comme une fille qui a
fait ses classes au "House of Pussies". En me caressant la
joue, il me dit :
—
Tu es une suceuse de premier ordre.
C'est
gentil, sauf qu'il ajoute pour Madame Stone :
—
Tu devrais la faire travailler pour toi !
Cette
garce répond :
—
Ça viendra.
Dans
tes rêves, espèce de grosse maquerelle de m... Jeffery stoppe mes
pensées en disant :
—
Il faut s'occuper de dresser mes filles.
Oui,
ça, c'est cool. On passe dans la pièce voisine. Les filles sont
attachées deux par deux dans une armature carrée avec des anneaux.
Elles sont collées l'une à l'autre, Alexandra contre sa mère Aline
et Radia contre sa sœur Nouzha. Elles sont face à face et sur la
pointe des pieds. Ça ne doit pas être très confortable et elles
gémissent... Madame Stone leur dit :
—
Vous allez recevoir le fouet parce que vous n'êtes pas assez
obéissantes. De plus, vous avez toutes fait des grimaces pour des
choses aussi insignifiantes que sucer une bite pas très propre.
Allez-y les gars.
Elle
a dit ça à deux hommes armés de fouets. On voit qu'ils ont
l'habitude de punir les esclaves. Ils lèvent leurs fouets ensemble
et ils partent en sifflant s'enrouler autour des hanches et des
fesses des quatre filles. Les fouets laissent une belle traînée
rouge sur les quatre fesses. Les filles poussent des cris stridents,
pour un coup de fouet !
Les hommes lèvent les fouets à nouveau et ils viennent claquer à nouveau autour des filles une bonne quinzaine de fois. Elles ne manquent pas de crier à chaque coup. C'est vrai que leurs fesses finissent par être ornées d'une série de stries rouges du plus bel effet. Les hommes arrêtent de fouetter !
C'est trop vite à mon goût, mais Jeffery leur dit :
—
Merci, les gars.
Puis
à nous :
—
Venez à côté, je dois te parler de quelque chose, Emma.
Je
remets ma robe et je vais m'asseoir. Je demande une bière à une
serveuse esclave. Je suis bien mouillée, je demanderais volontiers à
Madame Stone si je peux jouer avec un des gardes. Oui, c'est dingue :
je n'ai rien à lui demander... Elle me dit justement :
—
Ashley...
— Oui
Madame Stone.
—
Je dois parler avec Jeffery, va pisser !
Exactement
comme le fait Summer. Jeffery ajoute :
—
Tu peux aussi aller voir tes esclaves, il y a sûrement la file pour
leurs bouches et leurs culs.
Je
finis ma bière et je me lève. Je vais pisser puis je vais voir les
quatre filles, à nouveau bien installées sur leurs bancs. Oh putain
: il y a des files pour les filles. Dès qu'un orifice se libère, un
homme y met sa bite ! Je vois une inscription : 20 $. Ce n'est
pas énorme, mais il y a beaucoup de monde. Comme elles doivent
avaler quand un homme jouit dans leurs bouches, j'ai l'impression
qu'elles n'auront plus faim après leur journée de travail ! Après
ça, elles fileront droit. Ma garce de voix intérieure me souffle
"Elles seront tellement bien dressées qu'elles t'embrasseront
les mains comme tu l’as fait à Madame Stone."
"Sale
petite garce !" C'est à ma voix intérieure que je parle.
Arrête de penser à ça, Ashley. Un des employés de Jeffery me
demande :
— Tu
veux voir un des nouveaux bancs, petite ?
Je
suis incognito, donc je peux le suivre. D'autant plus que c'est un
grand Black, pas mal du tout !
On va dans une autre pièce. Le gars me dit :
—
Regarde là, un nouveau banc avec des anneaux spéciaux. Penche-toi,
tu verras mieux...
Je
ne suis pas née de la dernière pluie, et j'ai une petite idée de
ce qu'il veut : mon cul ! Mais bon, si on peut faire plaisir, à
lui et à moi... Je me penche pour voir les anneaux qui n'ont rien de
spécial. Il remonte ma jupe sur mes reins et promène son gland
mouillé le long de ma fente tout aussi mouillée. Je me tortille un
peu...
Ouch !!
Il me pénètre d'un bon coup de reins et ses couilles viennent
claquer sur mes cuisses ! Aaah ! Très vite, ça fait du bien !!
Il me baise à grands coups de reins et je serre les dents pour ne
pas crier... Pas la peine de donner une autre raison à Madame Stone
de... Oh ! Le sexe dans ma chatte se met encore à grossir... Il
est de plus en plus à l'étroit, ce qui est très agréable, vous en
conviendrez... Ça y est, il me prend par les hanches et inonde ma
chatte. Pour être polie et surtout parce que je n'y tiens plus, je
jouis presque en même temps que lui.
Il
sort son sexe et il me donne une bonne claque sur les fesses en
disant :
—
J'adore ton cul, petite.
C'est
gentil. Le garde qui nous a conduits ici vient vers moi pour me dire
:
— Madame Stone
vous réclame, Madame.
Je
retourne près de Madame Stone et Jeffery. Je vois que le niveau du
bourbon a pas mal baissé et Madame Stone a l'air d'avoir bien
picolé. Elle me dit :
—
Je t'avais dit d'aller pisser, pas de te faire baiser, petite
traînée.
Ça
fait rire Jeffery. Elle ajoute :
—
Et moi ?
—
Vous, Madame Stone ?
—
Tu n'as pas envie que je prenne mon pied ?
—
Mais, euh... si, bien sûr Madame Stone.
Elle
se fait un peu glisser sur sa chaise, soulève sa jupe en disant :
—
File là-dessous....
Mais,
jusqu'où ça va, tout ça ? Madame Stone pèse sûrement 90 kg,
elle a des gosses joues, un vilain petit nez et des cheveux teints en
roux. Elle ajoute :
—
Si tu attends trop, tu vas me vexer.
Bon,
après tout ce que j'ai déjà fait, c'est pas la chatte d'une grosse
femme qui va me faire peur ! Ensuite... je prendrai des
dispositions... pour de vrai. Je me mets à genoux entre ses grosses
cuisses comme tout à l'heure avec Jeffery. J'aperçois sa grosse
chatte luisante, puis je suis dans le noir, car elle a rabattu sa
jupe sur ma tête. J'ai peur du noir et je n'aime pas du tout son
odeur ! Elle sent comme les poubelles d'un restaurant de fruits de
mer en été. Je suis obligée de le dire, désolée. Il faut que je
la fasse jouir avant d'étouffer dans la poubelle. J'embrasse sa
grosse moule, l'image est justifiée, et je la lèche. Le goût est
moins pire, si je puis dire... Je me concentre sur son clito qui doit
faire plusieurs centimètres et je m'en occupe comme si c'était la
bite d'un lutin. Je l'entends discuter politique avec Jeffery. Je
sais lécher, vous le savez, mais il y a des gens qui manifestent
peu, par exemple Summer. Madame Stone est comme ça aussi... je sens
à peine ses grosses cuisses frémir contre mes joues. Enfin, après
avoir longuement mordillé et sucé son clito, elle jouit ! Je m'en
rends compte parce qu'elle mouille mon visage. Ouf ! Vite, de
l'air ! Je veux me reculer, mais elle serre les cuisses sur mon
visage en disant :
—
Tu restes là jusqu'à ce que je t'autorise à sortir.
Normal
: j'ai mis mon doigt dans l'engrenage, je vais y passer tout entière.
Au secours : sortez-moi de là ! Elle soulève un peu sa jupe et me
dit :
— Pose tes
lèvres sur ma chatte, je veux sentir ton souffle.
L'engrenage !!
Il me faut Summer, quand on était à Malibu, Madame Stone se
conduisait presque normalement. Enfin, j'entends elle me dit :
—
On va y aller, Jeffery, merci pour tout.
—
Avec plaisir, Emma.
Elle
soulève sa jupe en disant :
—
On dirait que tu y prends goût à ma chatte. Allez, sors de là.
Je
me relève et elle ajoute :
—
Qu'est ce qu'on dit ?
—
Merci Madame Stone.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
A
suivre.
Mes livres illustrés par Bruce Morgan,
sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
La trouille !
ça ne se voit pas sur la photo et pourtant, je suis stressée aujourd'hui 😮
Mes livres illustrés par Bruce Morgan, sont ici :https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
jeudi 18 mars 2021
Mia vêtue...
Une photo habillée... Si, si regardez bien.
Mes livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Dessin de Bruce Morgan.
Dessin de Bruce Morgan pour Mia 5
***
Mes livres illustrés par Bruce Morgan, sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
mercredi 17 mars 2021
Cool.. ou pas.
Mes fesses sont à l'air et cool... Ma tête devrait suivre leur exemple !
mardi 16 mars 2021
La trouille !
Dessin de Bruce Morgan pour Mia 5 et c'est en même temps une image : le virus et autour deux copines et moi, pas à l'aise du tout 😫
lundi 15 mars 2021
De l'air !
Enfin, une culotte qui laisse respirer la chatte.
***
Mes livres illustrés par Bruce Morgan, sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
dimanche 14 mars 2021
Dessin de Bruce Morgan.
On tire sur la chaîne, si on a envie de tirer le "petit singe".
Lisez Mia sans dessous 5, tout est expliqué.
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
samedi 13 mars 2021
Maid in Japan.
"Nymphes", le nouvel épisode de "Maid in Japan" est super excitant et il est ici :
vendredi 12 mars 2021
Histoire de fesses.
D'accord, je suis habillée, mais c'est pour vous montrer que j'ai les fesses fermes 😀
*** Mes livres sont ici : https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
jeudi 11 mars 2021
Oh, qu'ils sont petits !
Ne dit-on pas : "Tout ce qui est petit est gentil." ? 😀
mercredi 10 mars 2021
Dessin de Bruce Morgan.
Dessin de Bruce Morgan.
mardi 9 mars 2021
Mia est blonde.
Qu'est ce qu'il y a là dedans, Mia ?
- Une blonde avec des petits nichons qui me regarde.
C'est ton reflet dans l'eau, ça !
***
Mes livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
lundi 8 mars 2021
Ashley - 36 En famille.
Les
jours suivants, à 8 h, j'assiste à la transformation d'une bande de
servantes négligentes et sans manières en servantes stylées,
humbles, peureuses et disciplinées.... Il y a une fille fouettée
tous les matins, selon la bonne habitude de Madame Stone. Cela se
passe comme à Malibu. Les servantes doivent se mettre sur deux
rangées qui se font face. La fille punie se met à quatre pattes et
Madame Stone relève elle-même la jupe et baisse la culotte avec la
mine gourmande d'une chatte qui s'apprête à boulotter l'oiseau dans
lequel elle vient de planter ses griffes. Ensuite, elle fouette les
fesses de la fille punie, depuis le haut des fesses jusqu'au milieu
des cuisses. C'est beau et bruyant : le sifflement du fouet dans
l'air, le claquement des lanières sur les fesses et les cris de la
fille... J'adore... Entendons-nous, si la fille est punie, ce n'est
pas sans raison.
Ensuite,
je suis la Première Dame. Je reçois des gens, j’accorde des
interviews... J'inaugure des hôpitaux et des crèches... D'accord,
c'est un peu casse-pieds, mais en contrepartie, j'ai un spectacle
tous les matins, je me fais baiser par Spencer, j'ai un budget pour
acheter ce qui me plait et je vais bientôt visiter Paris et Tokyo.
J'ai aussi les esclaves à ma disposition, bien sûr.
Le
quatrième jour, après avoir fouetté la fille qui lui a déplu la
veille, Madame Stone me dit :
—
J'ai beaucoup de mal à discipliner ces filles. Je connais des
spécialistes du dressage. Je vais faire ça par quatre filles à la
fois.
—
Excellente idée, Madame Stone.
—
Je vais commencer par les familles, les deux sœurs et la mère et la
fille.
Je la
regarde, surprise. Summer dirait "Ferme la bouche, Ashley".
Je ne savais même pas qu'il y avait des filles avec des liens
familiaux. Je lui demande :
—
C'est qui ?
—
Vous allez voir.
Elle
crie :
— Aline,
Alexandra, Radia, Nouzha, aux pieds !
Quatre
filles viennent se mettre devant elle. Elles restent debout, au lieu
de s'agenouiller comme une esclave doit le faire quand on lui dit
"aux pieds" !
Aline
a environ 38 ans, c'est une jolie brune mince, sa fille Alexandra lui
ressemble en blonde. Elle doit avoir une vingtaine d'années.
Les sœurs sont sans doute des Marocaines de 25 ou 30 ans, jolies bien sûr, la peau hâlée, les cheveux très noirs.
Madame
Stone me dit :
—
J'en ai parlé à votre mari et il est d'accord. Je vous en parle
parce que je pense que ça vous plaira de voir ça.
Eh !
Mais c'est moi qui m'occupe des filles... Elle me regarde et voit
bien que je ne vais pas lui reprocher de s'être adressée à lui.
Elle poursuit :
—
Vous voulez nous accompagner pour voir comment ça se passe. ? Vous
connaissant, je crois que ça va beaucoup vous intéresser.
—
Euh... oui... bien sûr...
—
Bien. Le quartier où on va n'est pas très sûr. Vous devrez faire
exactement ce que je dirai. D'accord ?
—
Oui... Madame Stone.
—
Mettez cette perruque et ces lunettes noires. Il vaut mieux qu'on ne
vous reconnaisse pas.
Elle
a tout prévu, y compris que j'allais vouloir l'accompagner.... Deux
gardes noirs vont nous accompagner. Ils enchaînent les filles et on
va dans le garage. Je pense tout à coup que je n'ai prévenu
personne. Une supposition que Madame Stone décide de m'enlever pour
demander une rançon... Je lui dis :
—
Je dois prévenir mon mari et Madame Conway...
—
C'est fait. Mettez la perruque et les lunettes noires.
Je
commence à avoir la trouille ! Je lui demande :
—
Pourquoi des gardes noirs ?
—
On va dans Altgeld Gardens, un quartier afro-américain...
—
Comment connaissez-vous...
Elle
me coupe et répond avec impatience :
—
Je suis née à Washington. Montez dans la camionnette et taisez-vous
!
Je monte à
l'avant avec Madame Stone. Le chauffeur est un des gardes noirs.
L'autre garde est à l'arrière. J'ai l'impression d'être une
vedette incognito... ce que je suis. Non, je suis plus que ça : la
femme du Président des États-Unis incognito. On roule un bon moment
et on arrive dans un quartier de logements sociaux. Des petites
maisons toutes semblables sont alignées derrière une pelouse. Les
gens qui sont là sont presque tous noirs. Certains nous regardent
d'un sale œil. On quitte les petites maisons bien rangées et on
arrive devant un bâtiment beaucoup plus grand. Une grosse maison,
avec des vitrines sur lesquelles il est écrit "Strip-tease"
et "Bar à hôtesses". C'est une autre façon de dire
bordel. Le chauffeur s'arrête dans le parking. On descend, mon vagin
est tout serré, je me dis, mais qu'est-ce que je fais là ?
Impossible de m'enfuir... Alors, je reste près de Madame Stone. Je
suis sûre qu’elle se rend compte de ma trouille et s'en délecte.
Un des gardes ouvre les portes de la camionnette et les quatre filles
en descendent. Elles ont aussi la trouille, ce qui est bête, car on
va juste les dresser, pas les abîmer. Un gros Black, chauve avec des
lunettes en or, sort de la maison et vient à notre rencontre. Il
embrasse Madame Stone en disant :
—
Emma, je suis ravi de te voir
—
Moi aussi, Jeffery.
—
Alors qu'est ce que tu nous amènes ? Déjà, une super brune !
Eh,
mais non ! Il me regarde en disant ça. Madame Stone répond :
—
D'abord les filles enchaînées.
—
Bien. Venez, on entre.
Un
garde tire les filles enchaînées, tandis que je dis au chauffeur
:
— Je ne suis
pas à l'aise, après ce qu'il vient de dire.
Il
répond tout bas :
—
Aucune raison d'avoir peur, Madame la Présidente. C'est votre mari
qui m'a chargé de vous accompagner...
Ouf !
Mon vagin se relâche...
Jeffery,
le gros Black, nous dit :
—
Venez boire un verre pendant qu'on s'occupe des filles. On leur a
préparé quelque chose d'original.
On
entre dans le bordel. Il y a un grand bar, des tables de pole dance,
des fauteuils... Ça me rappelle mes débuts à Atlanta...
Dès
qu'on est assis, deux serveuses en uniforme sexy viennent nous
demander ce qu'on désire. Je remarque qu'elles sont vraiment
stylées, elles. Elles font une révérence et puis attendent avec
humilité qu'on dise ce qu'on veut. Il est 11 h du matin, je demande
un café... Madame Stone, un thé. Le boss et les gardes, des bières.
Il me dit :
— Je
sais que tu es mariée à un riche industriel, c'est dommage, parce
que tu as physique qui ferait un malheur, ici !
—
Merci, c'est gentil...
C'est
le genre de compliment qui me met mal à l'aise. Heureusement, on
parle d'autre chose et au bout d'une petite demi-heure, une serveuse
vient dire :
—
Les filles sont prêtes, Maître.
On
se dirige vers une porte au-dessus de laquelle il est écrit "glory
holes". Je sais ce que c'est : un panneau avec des trous. Le
client arrive, il met sa bite dans le trou et une fille, à genoux de
l'autre côté, le suce. Banal ! Depuis qu'il y a des esclaves, il
y a des "glory holes" un peu partout, y compris dans les
toilettes des établissements. Jeffery ouvre la porte, j'entre et...
Oh mon Dieu, je suis sur le cul ! Non, je vais dire ça plus
joliment : j'ai une vraie émotion esthétique ! Je supporte le
manque de manière de Madame Stone, car grâce à elle j'ai un
spectacle tous les matins et un autre ici. Je vais essayer de décrire
ça au mieux. D'abord, je voudrais qu'on se souvienne que les
esclaves sont des délinquantes et qu'on peut les traiter comme on
veut, à condition de ne pas les abîmer. Un paysan qui traite mal
ses animaux peut être poursuivi, mais libre à lui de les marquer au
fer rouge, de les attacher ou de les monter ! Alors, voilà...
Les
deux sœurs et la mère et la fille sont couchées l'une sur l'autre,
sur des bancs assez hauts, en position de 69. Elles sont attachées
avec des cordes qui maintiennent leurs poignets et leurs chevilles
contre le banc. Une corde supplémentaire passe autour de la taille
de la fille du dessus. Elles sont bien ficelées. Je vois déjà
plusieurs traces de fouet sur les quatre derrières. Il y a une
inscription au-dessus de chaque fille : Aline, la mère, Alexandra,
la fille d'un côté, Radia, la sœur et Nouzha, la sœur de l'autre.
Je dis :
— Oh, mon
Dieu... c'est beau...
Le
patron, Jeffery, répond :
—
Oui, ça plaît beaucoup aux clients, surtout quand les filles ont un
lien de parenté. Quand une de mes filles fait des manières avec un
client, on la met ici pendant quelques heures à la disposition de
tous. Ensuite, elle fait tout pour ne plus y revenir.
J'imagine.
Il met sa grosse main sur mes fesses et ajoute :
—
Tu veux une démonstration ?
—
Oh oui, volontiers !
Il
me tutoie et me caresse les fesses, mais bon, je suis incognito. Et
puis je veux une démonstration, alors je remue peu les fesses contre
sa main. Il me demande :
—
Avec un bel homme ou le tout venant ?
Avec
un bel homme, ce serait trop facile, alors je réponds :
—
Le tout venant.
—
Tu es une connaisseuse, petite.
Il
dit à une servante qui attend, les mains croisées sur le pubis, les
yeux baissés :
—
Va demander à Leroy et Joey de venir.
—
Oui, Maître.
La
fille quitte la pièce en courant. Ça, c'est stylé ! Quelques
minutes plus tard, elle revient avec deux Blacks. D’abord un gros
qui pourrait être le cuisinier à voir son tee-shirt constellé de
taches de nourriture. L'autre est beaucoup plus jeune et doit être
son commis. Ils ne sont pas appétissants ! Le patron leur dit :
—
Allez-y les gars.
Le
gros cuisinier sort une grosse bite molle de son pantalon et il va la
déposer sur la bouche d'Aline qui fait une grimace et ne bouge pas.
Jeffery dit au commis qui est du côté des fesses :
—
Fouette la fille.
Quelques
coups de fouet sur les fesses de sa fille et Aline dit :
—
Arrêtez, s'il vous plaît ! Je suce.
Elle
ouvre la bouche et le cuisinier y enfonce son gros sexe qui commence
à bander. Il reste un moment dans la bouche d'Aline puis pose son
gland sur la vulve d'Alexandra et s'y enfonce tandis qu'elle gémit.
Heureusement, le gland est bien mouillé par la salive de sa mère.
Le cuisinier va passer de l'une à l'autre, pour se faire sucer par
la fille puis baiser la mère.
Le
commis joue avec les sœurs. Il commence par donner quelques bons
coups de fouet sur les fesses de deux filles qui poussent des cris
stridents. Ces esclaves sont vraiment douillettes. Le commis va du
côté de Radia et il lui dit :
—
Tu me suces la bite ou je continue..
Aussitôt,
elle ouvre la bouche. Une menace du fouet et elles sont prêtes à
sucer la bite d'un commis ou d'un chien ! Il passe aussi d'une
bouche à une vulve. Au bout d'un moment, Jeffery lui dit :
—
Change de côté.
Normal,
il faut que les sœurs connaissent le goût de la chatte de l'autre.
Du sperme passe de la vulve de l'une à la bouche de l'autre.
Ça se complique un peu pour les filles quand le cuistot et le commis enculent les deux sœurs, puis mère et fille. Là, elles font la grimace quand ils passent du cul de l'une à la bouche de l'autre. D'accord, c'est un peu dégoûtant, mais bon, beaucoup de gens n'emploient plus de papier, quand ils ont des esclaves.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Les
tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" et les 2 tomes de
« Samia, fille du voyage » sont ici
:
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes
livres non illustrés, ici
:
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0
…
Dessin de Bruce Morgan.
dimanche 7 mars 2021
Un arbre et moi...
Première photo de la série Mia au boulot... euh... au bouleau 😀
samedi 6 mars 2021
Pipi...
Dessin de Bruce Morgan.
Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
vendredi 5 mars 2021
Ma chatte...
Dernière photo de la série "à cheval sur un tuyau".
***
Mes livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Maid in Japan
Nouvel épisode de "Maid in Japan" avec des dessins.
Réservé aux grands... je parle de l'âge, pas de la taille.
https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.be
jeudi 4 mars 2021
Dessin de Bruce Morgan.
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search