Il revient le lendemain, je suis devenue son
idée fixe. Dans la chambre, il me dit :
— Tu vas me sucer et je vais jouir, mais
je veux que tu n’avales que quand je te le dirai, hiiiiiiiiiiii !
— Oui Monsieur.
Je m'agenouille entre ses maigres cuisses, face
à l'anguille morte qui lui sert de bite. Je commence à la sucer. Il me répète :
— Tu gardes tout en bouche, hein !
Je hoche la tête sur sa bite. Heureusement que
je n'en suis pas à ma première pipe ! Ça ne dure pas... Il jouit en faisant un
festival de cris variés. Ça y est, j'ai la bouche pleine. Il presse son sexe de
bas en haut pour m'envoyer ce qui reste encore dans le canal. J'ai les joues
aussi gonflées qu'un hamster qui revient des grandes courses ! Il est ravi et
me dit :
— Tu n'as rien avalé ?
Je fais non de la tête. Rire idiot... Si ça
doit durer, je sens que je vais tout lui envoyer dans la figure... Enfin, il me
dit :
— Tu peux avaler, hiiiiiiiiiiii !
Ce n'est pas ma tasse de thé du tout, mais je
suis une pute... Il prend des billets dans son portefeuille et les éparpille
par terre en disant :
— Ramasse, hiiiiiiiiiii !
Quand c'est fait, j'ai droit à un :
— Qu'est-ce qu'on dit ?
— Merci Monsieur, vous êtes très généreux.
— Et toi, tu sais comment gagner de
l'argent avec tes fesses et ta bouche, hoooouuuuu !
Il s'en va... au diable, j'espère.
Le reste de la journée se passe normalement... Deux
ou trois fellations et levrettes, la routine. Je pense au fou : me marier
avec ça !!!
***
Le lendemain, je revois Donald... On joue
"chienne". Je suis obligée de me mettre nue, à quatre pattes. Il me
lance un os en caoutchouc que je dois aller chercher et rapporter. Tout ça
ponctué de rires idiots. Il me met aussi un collier et une laisse.
Il faut le sucer aussi et quand la chienne a
avalé le sperme de son maître, il me demande :
— Qu'est-ce qu'elle fout ta propriétaire ?
— Mademoiselle Hunter est au Canada,
Monsieur, mais elle revient pour vous voir...
— Je te jouerai au poker avec elle, je
gagne toujours, hiiiiiiiiiiii !
Il part en me laissant une poignée de billets
de 100 $. Je me rhabille pour aller au bureau. Summer est là, enfin... Je me
colle à elle et lui demande :
— Tu restes un peu, hein ?
— Oui, on va s'occuper de ton amoureux.
Je fais la grimace. Elle ajoute :
— Monsieur Sam est ici spécialement pour
ça.
Oh ! Il prend le dingue au sérieux ! On quitte
le bordel pour aller vers l'hôtel. Monsieur Sam est assis à la terrasse de l'hôtel
avec Sarah, sa maîtresse, qui est une vraie garce. Summer serre la main de
Monsieur Sam et embrasse Sarah. Ils échangent quelques mondanités. Et moi ?
J'ai dit bonjour « Monsieur Sam, bonjour mademoiselle Sarah ».
Personne ne répond, je crois que je suis devenue transparente. Summer dit à
Monsieur Sam :
— J'ai pris Ashley avec moi, elle est
quand même très concernée. Elle peut s'asseoir ?
C'est Sarah qui répond :
— Tu l'as affranchie ?
— Non, mais..
— Alors qu'elle reste comme ça, elle a
tendance à oublier où est sa place.
Elle, un jour, je... Qu'est-ce que je pourrais
jamais faire ? Je suis désarmée et tout est organisé pour que je n'oublie
surtout pas que je suis une esclave. Je m'en fous ou alors... je sens que j'ai
les larmes aux yeux. Sarah commence par rire, puis elle me dit :
— Pleure pas bébé, tu peux t'asseoir, mais
pas près de nous.
Elle me désigne une table un peu plus loin. Je
suis tellement bien drillée que je réponds :
— Merci, Mademoiselle.
Alors que je lui enfoncerais volontiers... une
bouteille de bière dans le cul. Non, elle pourrait aimer ! Une serveuse vient
demander à Summer ce qu'elle veut boire. Quand elle revient, c'est avec deux
verres. Un pour Summer et l'autre pour moi. En souriant, elle me dit :
— De la part de ta Maîtresse.
— Merci...
Grâce à ma "Maîtresse", je peux boire
une Margarita et j'adore ça !
Je bois, ils parlent... de mes futures noces ! Mais
non, je refuse d'épouser le dingo ! J'entends qu'ils parlent d'un contrat de
mariage... les bébés Gomez ou plutôt Maîtres Gomez et Gomez vont lui faire
signer un contrat où il est écrit que Summer Hunter accepte la proposition de Donald
Spassy d'épouser l'esclave Ashley Stirland qui lui appartient – en échange
d'une somme de 10 000 $ – mais qu'en cas de divorce ou de décès, l'esclave
Ashley Stirland redeviendra la propriété de Mademoiselle Summer Hunter. Ils ont
intérêt à me donner de sérieuses garanties pour que j'épouse ce barjo ! Oui, je
dis des bêtises, là. Je ferai ce que Summer me dira de faire, évidemment. Je
bois en rêvant à une vie avec Summer, on est riches, on a un bateau et... Un "pssst"
me sort de ma rêverie. C'est Sarah qui me fait signe d'approcher. Elle me dit :
— Assieds-toi.
Quel honneur ! Quand je suis assise, Sarah (pourquoi
elle ?) m'annonce :
— Tu vas épouser ce type et ça ne durera
que trois semaines, maximum un mois.
— Il me fait peur, Mademoiselle.
Elle se tourne vers Summer en disant :
— Tu vois, elle n'est pas encore bien dressée.
Je vais la prendre avec moi, j'ai une gouvernante qui est beaucoup plus
efficace que Madame Stone.
Je réponds aussitôt :
— Je ferai tout ce que me dira ma
Maîtresse.
Summer me répond :
— Je sais... tu devras faire des jeux
comme dans la chambre, la chienne, les billets... Ce qu'il aime, c'est humilier
la Première Dame. Il ne t'a pas fait mal ?
— Non. À part... non, rien.
Je n'ose pas dire qu'il m'a donné une claque
sur les fesses. Ce serait de la folie de se plaindre d'une claque quand on est
une esclave. N'empêche, je pourrais bien me mettre à pleurer. Monsieur Sam me
dit :
— On a quelqu'un sur place.
Je regarde Summer, elle fait oui de la tête.
Bon, je baisse la tête, vaincue sans combattre. Je peux déjà être heureuse de
pouvoir rester à la même table qu'eux et même de recevoir quelque chose à
boire. Summer, qui me connaît bien, me dit :
— Ça m'énerve quand tu joues les martyrs.
— Mais... tu ne le connais pas, il est...
Sarah répond :
— Très riche.
Elle n'a qu'à l'épouser elle-même, la conne !
***
Deux jours plus tard, on se retrouve dans la nursery
des bébés Gomez... Mais non, dans le bureau de maîtres Gomez et Gomez. Il y a Summer
et moi, Monsieur Sam et Sarah, les bébés Gomez et bien sûr Donald Spassy plus
gloussant que jamais. On est assis autour d'une grande table, même moi. Summer
y va de son petit compliment :
— Je suis très flattée qu'un homme de
votre importance m'achète une esclave, mais vous devez comprendre que je tiens quand
même à elle. Elle est très demandée.
Rire de l'idiot qui répond :
— Oui, c'est une pute qui a la langue bien
pendue, hiiiiiiii !
— Je vous la vends pour 1000 $ par
mois pendant 5 ans.
Geste désinvolte de Donald, qui répond :
— D'accord, aucun problème, c'est une
goutte d'eau dans ma mer de pétrole, hiiiiiiii !
Trop drôle ! Tout le monde rit complaisamment.
Il se touche l'entrejambe en disant :
— On est donc d'accord... Mais comme tout
ça m'excite, j'ai envie que ma future femme me suce la bite. Si ça ne vous
dérange pas.
C'est Monsieur Sam qui répond :
— Pas le moins du monde, cher Monsieur,
c'est comme si elle était déjà à vous.
Mais ils sont tous devenus fous ?? Là, je vois
un rapide échange de regards entre Monsieur Sam et Summer, comme si tout ça les
arrangeait bien. Sarah me lance :
— File sous la table, Ashley !
Pfff... je me retrouve à nouveau entre les
cuisses du dingo, puis devant son sexe qui me dégoûte, mais alors à un point...!
Je l'embrasse en grimaçant, puis je prends son gland en bouche. En haut, Summer
me dit :
— Le grand jeu, n'est-ce pas jeune fille !
Elle ne dit jamais ça ! J'obéis évidemment à ma
Maîtresse. C'est au tour des bébés Gomez d'entrer dans la danse, ils lui disent :
— Le problème qu'il pourrait y avoir,
c'est que si vous divorcez, Mademoiselle Summer se retrouverait sans revenus...
Nous avons donc ajouté une clause précisant qu'en cas de divorce ou de décès,
Ashley et tous ses biens redeviendront la propriété de Mademoiselle Summer.
Je caresse le bout de son gland avec mes
amygdales, tandis qu'il répond :
— Putain de merde ! Cette pute est la
meilleure suceuse de bite que j'ai rencontrée, hooooooooooooo...
— Alors vous êtes d'accord, Monsieur
Spassy ?
— Ouiiiiiiiiiiii, il me la faut ! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii....
— Si vous voulez bien parapher toutes les
pages puis écrire « lu et approuvé » sur la dernière et la signer.
Je ralentis le rythme de ma langue tandis qu'il
signe... Enfin, je suppose parce que je suis toujours à l'étage en dessous. Je
m'arrête un peu pour me reposer la langue, mais il lance aussitôt :
— Je t'ai dit de t'arrêter ?
Je continue, tout en pressant ses couilles
gonflées ! Allez, crache ton venin, horrible... troll !! Ah, il redevient
sonore :
— Hooooo, hiiiiiiiiii, avale tout, salope !
Je déglutis son sperme, il est mieux dans mon
ventre que dans mon vagin, tout sauf un bébé de ce dingue... au cas où ma
contraception me lâcherait. Après sa panoplie de cris, un des Gomez lui dit :
— Tout est en ordre, Monsieur Spassy.
Voici les documents et votre contrat de mariage.
Donald prend les papiers et dit :
— On va partir à Vegas... Mon jet privé
nous attend. Au revoir.
Il ajoute pour moi :
— Et ce soir, c'est ta nuit de noces. Ça
va être la fête à ton cul, salope, hiiiiiiiiiii !
Je me remets debout, j'embrasse Summer et je le
suis... Oh, sans le moindre enthousiasme !
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Vous allez adorer "Samia, fille du voyage" avec 63 dessins de Bruce Morgan
http://www.lamusardine.com/P32760-samia-fille-du-voyage-morgan-bruce-michael-mia.html.
Bruce Morgan a aussi illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous"
.
D****, très beau dessin et un texte sulfureux.....
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