jeudi 30 avril 2020
Cachette.
S'ils jouent à cache-cache, elle va se faire gauler tout de suite !
***
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans dans les 5 Mia et dans Samia.
http://www.lamusardine.com/P32760-samia-fille-du-voyage-morgan-bruce-michael-mia.html
mercredi 29 avril 2020
Geisha
Comme boulot au Japon, on m'a suggéré super héroïne ou geisha. Je ne sais pas voler, alors, je vais faire geisha.
Si vous me donnez votre mail, je vous enverrai "Le rêve de Mia" : comment j'ai réussi à me faire publier et à convaincre Bruce Morgan de me faire des dessins. mia.michael@hotmail.fr
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mardi 28 avril 2020
Infidèles...
Votre femme est infidèle et vous n'aimez pas ça ? Achetez une cage et enfermez-la, dès que vous quittez la maison, vous serez tranquille. Existe aussi pour les maris.
Si vous me donnez votre mail, je vous enverrai "Le rêve de Mia" : comment j'ai réussi à me faire publier et à convaincre Bruce Morgan de me faire des dessins. mia.michael@hotmail.fr
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lundi 27 avril 2020
Japon....
J'aime le Japon. C'est là que se passera mon nouveau livre. Je devrais trouver un petit boulot à Tokyo, pour n’imprégner de l'atmosphère, mais quoi ? Vous avez une idée ?
***
Si vous me donnez votre mail, je vous enverrai "Le rêve de Mia" : comment j'ai réussi à me faire publier et à convaincre Bruce Morgan de me faire des dessins. mia.michael@hotmail.fr
dimanche 26 avril 2020
Dentiste
Mon dentiste est très gentil, mais j'ai une méga trouille quand je dois y aller !
***
Si vous me donnez votre mail, je vous enverrai "Le rêve de Mia" : comment j'ai réussi à me faire publier et à convaincre Bruce Morgan de me faire des dessins. mia.michael@hotmail.fr
vendredi 24 avril 2020
425 - 65 San Clemente
Je vais embrasser Summer et, pendant que le dingo
glousse à une de ses plaisanteries, elle me dit à l'oreille en articulant bien :
— On - a - quelqu'un - sur - place.
J'veux pas y aller ! Hélas, on part... à Vegas.
On arrive dans le parking où une grosse voiture
avec chauffeur nous attend. Il est costaud, viril, séduisant. C'est peut-être
la taupe de Summer et Monsieur Sam. Je me sens un peu mieux... On s'assied et Donald
me demande :
— Tu es heureuse de m'épouser ?
— Oui, mais je suis un peu stressée, Monsieur...
j'ai même peur.
— De la nuit de noces ? Pourtant tu n'es
plus pucelle, hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Quel con ! On va à l'aéroport, non pas pour
prendre un vol normal, mais son jet privé. Deux hôtesses font le service d'une
façon tellement servile que je comprends tout de suite que ce sont des
esclaves. Elles ouvrent une bouteille de champagne. Ooh... Ça fait du bien...
Lui, boit aussi... beaucoup. On vide trois bouteilles. Bientôt, je plane...
On atterrit à l'aéroport Mc Carran. Les
formalités sont limitées puisque c'est un vol intérieur. Un homme nous attend,
il salue Donald, puis moi. Je ne sais pas si je dois lui donner la main. Je lui
dis bonsoir avec un grand sourire, c'est peut-être la taupe... On monte dans la
voiture et je demande au dingo :
— Dans quel hôtel va-t-on ?
— Celui de Monsieur Sam, mais d'abord on va
se marier.
Oh ?!! Alors, tout cela est vrai ? On dirait. On
va dans une grande chapelle et on est marié par un sosie d'Elvis, voilà qui est
confondant d'originalité.
Ensuite on se rend à l'hôtel casino de Monsieur
Sam... Une chance sur mille pour que je croise Madame Stone. Elle doit être
dans sa cuisine, comme une araignée venimeuse dans sa toile. Ayant beaucoup bu,
je continue de planer. Je ris aux plaisanteries stupides... de mon mari.
On va au restaurant de l'hôtel. Je ne bois plus
mais je mange du caviar, un T-bone steak et pour finir, une délicieuse pâtisserie
au chocolat. Les deux costauds mangent à une autre table... Donald continue à
boire et à glousser. Il m’annonce :
— Je t'ai préparé une nuit de noces spéciale.
Pas avec moi, ce serait banal, mais avec deux SDF...
Il attend une réaction de ma part, genre
"quelle horreur !", mais je réponds seulement :
— Je ferais ce que vous dites, Monsieur.
— C'est bien... j'ai envie de voir la Première
Dame sucer des sans-abri.
Toujours, pas de réaction de ma part. Il ajoute :
— Je les ai fait laver... leur odeur me
dérangeait.
Je préfère des SDF propres à ce clown glapissant.
Pour le moment, je bois de l’eau minérale, je mange... jusque là, ça va. Quand
on a fini notre repas, on prend l'ascenseur pour aller au dernier étage. Les
riches aiment les chambres du dernier étage, surtout quand les balcons se transforment
en terrasse. Il toque à une porte et c'est son garde du corps – la taupe – qui
vient ouvrir. J'entre dans la chambre et je vois mes amoureux. Comment les décrire ?
Par le commencement. D'abord, ils ne sentent pas mauvais... ouf ! Leurs vêtements
sont rapiécés mais propres, Donald a dû les faire laver. Les types peuvent
avoir une cinquantaine d'années, plutôt maigres, visages abîmés et ridés, des
nez de poivrots... Ils me sourient, je peux ajouter : plus beaucoup de dents.
Donald leur annonce :
— Messieurs, vous allez pouvoir baiser la
Première Dame des États-Unis d'Amérique, mais avant ça, elle va vous sucer la
bite.
Quel con ! Il se tourne vers moi en disant :
— C'est le devoir de tout citoyen de venir
en aide aux sans-abri. Je leur offre ma nuit de noces !
Con et... quel est le mot déjà ? Ah oui,
"grandiloquent". Il ajoute :
— C'est vrai que la Première Dame est
devenue une pute avant que je l'épouse, hiiiiiiiii. Ashley, voici Tooth (il n'a
plus que quelques dents) et Beard (lui, il a des longs cheveux et une barbe
grise de 30
centimètres .
Beard me prend dans ses bras et m'embrasse... Oui,
c'est un mauvais moment à passer. Heureusement que j'ai bien picolé. Tooth se
colle à mes fesses. Oh ! Il bande ! Je pense qu'ils ont dû recevoir des petites
pilules magiques. Il me retourne pour m'embrasser aussi tandis que l'autre se
colle à son tour à mes fesses. Embrasser un homme qui n'a plus que 2 ou 3
dents... c'est spécial. Ils commencent à me déshabiller, plutôt gentiment. Trop
gentiment ? Oui, d'après Donald le dingo, car il leur dit :
— Un peu de nerf, Messieurs, c'est une pute
maintenant, hiiiiiiiiiii.
Évidemment, il a un téléphone en main pour filmer
la scène. Il ajoute :
— Première position.
Oh ! Il a tout organisé. Les types se
déshabillent... euh... c'était pas nécessaire ! Ils ont des maigres jambes mais
un peu de ventre et leur peau est blafarde... Beard a beaucoup de poils gris,
des tatouages et des cicatrices, Tooth a le même genre de corps, mais sans
poils. Ils bandent tous les deux ! Ils me font mettre à quatre pattes sur un
lit, Beard se met à genoux devant moi et se couche son torse sur le lit. Son
maigre cul est contre mon visage, tandis que Tooth s'installe derrière moi. Sa
bite vient flairer ma chatte... Eh oui, elle est propre. Surprenant, hein ?
Donald me dit :
— Lèche son trou du cul, hiiiiiiiiiiiiiiii, hoooouuuuuuuu !
Merci, Summer... Non, c'est ma maîtresse, elle
dispose de moi comme elle veut. J'enfonce le bout de ma langue dans l'anus de
Tooth qui pousse un petit cri. C'est sûrement la première fois que ça lui
arrive. Donald vient filmer de près... Tooth va et vient langoureusement dans
ma chatte. Ça, ça va... même bien... si je n'avais pas ma langue dans le trou
du cul d'un SDF, ce serait parfait. Entendons-nous, avant que ma lectrice
éventuelle pince les ailes de son nez délicat, il est propre.
Donald le dingo parle tout seul entre deux
gloussements :
— Hiiiiiiiiiii, la présidente des États-Unis
(ce que je n'ai jamais été) qui lèche le cul d'un SDF, hououououou !
Vous savez, ma chatte a sa vie propre, elle s'en
fout que ma langue fasse un sale boulot, elle se préoccupe juste de cette bite
qui est en elle. Impossible de réprimer cet orgasme qui pointe le bout de son
nez. Alors... je jouis. S'en suivent des cris et des commentaires de Donald.
— Hiiiooouuu, elle jouit avec un SDF, la salope !!!
Ta gueule ! Enfin, je le pense mais sans le dire....
Les types changent de place, une autre bite plonge... dans ma chatte inondée. Le
deuxième vient s'asseoir devant moi pour me présenter sa bite. Elle a l'odeur
et le goût de ma chatte, ce qui me convient parfaitement...
Je ne sais pas ce que le dingo leur a donné comme
pilule, mais c'est efficace ! De plus, ils ne jouissent pas vite. Dingo filme
toujours, tout en buvant du bourbon... et pour finir... il s'endort dans un
fauteuil. J'enlève une bite de ma bouche pour murmurer à mes partenaires :
— Soyez chic les gars, jouissez, je suis
vraiment fatiguée.
Celui que je suçais répond :
— Serre mes couilles.
OK... L'autre qui est en moi me demande :
— Je peux t'enculer ?
— Oui, vas-y.
Il a une bite moyenne, ce qui ne me fait pas
peur. Je malaxe les couilles de celui que je suce, tandis que je me contracte
sur la bite de celui qui est dans mon cul... et ça marche, ils jouissent tous
les deux. Mon conditionnement est tel que j'essaie de tout avaler, mais ouch !
Je crois que ça fait 10 ans qu'il n'a pas joui. J'avale ce que je peux, le reste arrose le lit...
Donald dort toujours ! Il y a un moment de
flottement... Je dis aux deux hommes :
— Je vais demander ce qu'il faut faire.
Le garde est dans la chambre, je sors à poils...
au point où j'en suis et je vais toquer à la porte de la chambre qui est à côté
de la nôtre. Le garde vient ouvrir, je lui dis :
— Monsieur dort... qu'est-ce que je dois
faire ?
— Oui, ça lui arrive souvent, je m'en occupe.
Il entre et remet une enveloppe à chacun des
hommes, qui remercient. Tooth me caresse les fesses en disant :
— Je recommence quand vous voulez.
Ils s'en vont. Le garde me dit :
— Il ne va pas se réveiller. Va te laver.
Il est gentil... est-ce lui, la taupe ? Il faut
qu'il me défende contre le fou. Là, j'ai une vision, enfin pas vraiment, mais
j'imagine... Donald à moitié endormi qui veut aller pisser et qui se dirige
vers la terrasse, il monte sur une chaise, pisse, se rendort et tombe du sixième
étage ! C'est peut-être prémonitoire.
Une fois lavée, je vais dans le lit conjugal, le
plus loin possible du dingo.
***
Le lendemain, Donald se lève avec la gueule de
bois... Il ne retrouve ses gloussements habituels qu'après le petit déjeuner
quand il regarde la vidéo de la veille. Il me dit :
— Tu es maintenant la femme d'un homme
riche. Tu dois te conduire comme la Première Dame.
— Oui mon chéri.
En couchant avec des sdf ? Pourquoi il n'irait
pas faire un tour sur le bord de la terrasse ? Je lui dirais "Eh Donald, envole-toi....
hiiiiiiiii !"
Après avoir refait les bagages, on reprend
l'avion pour atterrir à San Diego. Là, le chauffeur nous attend. Le garde qui a
fait le voyage s'assied à côté de lui. Donald parle de lui-même, de sa réussite,
de ses goûts... m'en fous ! Il m'explique aussi la façon dont je dois me
conduire :
— Pas de familiarités, je veux une épouse
qui écrase les autres par sa classe.
Ben voyons ! C'est tout moi qui suis née à
Notasulga et qui ai été esclave et pute. D'ailleurs, je le suis toujours,
puisque j'appartiens à Summer et qu'être avec ce dingue qui m'oblige à me taper
des SDF, c'est vraiment être une pute.
On arrive dans le comté d'Orange, puis dans la
ville côtière de San Clemente. Sa maison est une grosse villa dans les dunes,
au bord de la mer. Je déteste être avec ce type, mais je dois reconnaître que
sa villa est belle.
Le chauffeur ouvre la grille à l'aide d'une commande
et il va se garer le long de la maison. Aussitôt descendus de la voiture, une
jolie femme nue vient se mettre à genoux devant Donald en disant :
— Quelle joie de vous revoir, Maître !
Il lui caresse la tête comme on fait à un chien
et répond :
— Tu as été sage ?
— Oui Maître.
— Voici ta nouvelle maîtresse.
La fille se déplace sur les genoux pour se mettre
devant moi. Elle me dit :
— Bienvenue Maîtresse, je m'appelle Nancy et
je suis à votre service.
C'est la phrase que toutes les esclaves apprennent,
qu'est-ce que je dois répondre ? Je finis par dire :
— Sois obéissante et tout ira bien.
Donald me regarde d'un drôle d'air. Ce n'est pas
ce que j'aurais dû dire ? Il fait un geste et Nancy se relève. Je la détaille
un peu... En fait, on se ressemble, en taille et en poids et même le visage. Sans
glousser, il me dit :
— Tu peux circuler dans le jardin et la
maison, sauf dans mon bureau. Nancy va te montrer ta chambre.
Chouette, on ne partage pas la même chambre. Il
ajoute :
— Ce soir, on reçoit des amis... tu
t'habilleras classe, Nancy t'aidera. Répétition à 15 heures.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Vous allez adorer "Samia, fille du voyage" avec 63 dessins de Bruce Morgan
http://www.lamusardine.com/P32760-samia-fille-du-voyage-morgan-bruce-michael-mia.html.
Bruce Morgan a aussi illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous".
jeudi 23 avril 2020
pour changer...
Pour changer des photos habituelles : Mia, toute nue 😀
Si vous me donnez votre mail, je vous enverrai "Le rêve de Mia" :
comment j'ai réussi à me faire publier et à convaincre Bruce Morgan de me faire
des dessins. mia.michael@hotmail.fr
mercredi 22 avril 2020
Assistante sociale.
"Je n'imaginais pas ça comme ça, assistante sociale dans les prisons !"
Si vous me donnez votre mail, je vous enverrai "Le rêve de Mia" : comment j'ai réussi à me faire publier et à convaincre Bruce Morgan de me faire des dessins. mia.michael@hotmail.fr
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mardi 21 avril 2020
Le + vieux métier du monde...
Prête à aller travailler au Bois de Boulogne ?
- Mais non, allergie aux vêtements.
***
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lundi 20 avril 2020
Ashley - 12 Voir Venice et... jouir.
À l’intérieur, c’est beaucoup plus grand que je ne pensais. Il y a pas mal d’Hispaniques. Les gardes qu’on a vus sont attablés dans le fond du restaurant. Il y a aussi le grand Texan qui m’a appris à fouetter. En nous voyant arriver, il me demande :
— Alors, Summer ne t’a pas vendue ?
Ça va me poursuivre, ça. Il me prend par la main pour me faire asseoir sur ses genoux, puis il dit à Summer :
— Je peux te l’emprunter ? Je voudrais lui montrer quelque chose dans les toilettes.
— Bien sûr.
Eh, oh, je suis là moi ! On peut me demander mon avis avant de m’emprunter ! Et puis, je me doute de ce qu’il va me montrer ! Summer me regarde et je devine ce qu’elle pense : "Comment elle va s’en sortir ?"
Je réponds :
— Ça tombe bien, je dois faire pipi.
Summer me sourit, elle apprécie ma réponse... Pourquoi faire la Sainte Nitouche, j’ai envie qu’il me baise depuis que j’ai senti la barre dure de son sexe contre mes fesses, et puis vous êtes déjà au courant de tout ce qui m’a excitée, cet après-midi. Il me dit à l'oreille :
— Depuis que j’ai senti ton cul contre moi, j’ai envie de te prendre en levrette.
Vous voyez : pareil ! Un de ses copains se lève en annonçant :
— Je vais faire le guet...
Les toilettes se composent d’un lavabo et deux cabines avec des w.c. Le Texan me dit :
— Penche-toi et tiens-toi au lavabo.
Quand je suis en position, penchée en avant et bien cambrée, il se met à genoux derrière moi. C’est gentil, je ne pensais pas que c’était son genre. Il écarte mes fesses pour me lécher plusieurs fois, depuis le clito jusqu’à l'anus. Charmante attention, mais ce n’était pas nécessaire de m’humidifier, ma chatte s’est déjà chargé du job ! Il se relève, me prend par les hanches et s’enfonce en moi lentement mais à fond. Ouch ! Il est bien monté...
Il me baise à grands coups de reins, j’en avais besoin depuis que... qu’on m’a obligée à fouetter ces filles. Quelques minutes plus tard, je jouis. Repenser aux filles punies, ça a été la goutte d’eau. Il continue 5 ou 6 minutes de plus et je sens que je vais repartir, quand il jouit, lui aussi. Eh ! C’est vite ! Il se retire et me donne une claque sur les fesses en disant :
— Bouge pas !
— J’ai pas eu le temps de...
Oui, je le dis... même si ce n’est pas adroit. Il répond :
— Reste dans cette position et tais-toi.
Il ouvre la porte, son ami entre et, sans un mot, même pas "Vous permettez ?", il enfonce son sexe en moi et se met à me baiser. Ils me traitent vraiment comme une pute... ou... comme une esclave. Quelques coups de reins plus tard, je jouis à nouveau. C’est bon, quand ils sont deux, même un peu rapides ! Le copain jouit lui aussi en vitesse, puis il repart sans un mot. Heureusement qu’il ne dit pas "Au suivant !" Deux, c’est bien et ça me suffit. Je passe aux toilettes pour faire pipi et pour expulser le petit cocktail de spermes dont ils m’ont fait cadeau. Quand je reviens vers notre table, je suis un peu gênée. Tout le monde me regarde en souriant. Je vais vite m’asseoir sur une banquette près de Summer et je trempe un chips dans du "guacamole" qui se trouve au milieu de la table. C’est chouette, Venice !
Je suis plus calme. Si, si... me faire baiser par deux mecs dans les toilettes, ça calme. Je m’amuse bien avec les amis de Summer. On boit de la tequila, ils disent des "shots", ça pique, mais c’est bon... La soirée se prolonge et vers 3 h du matin, Summer me dit :
— Demain à 10 h on a rendez-vous avec ton agent. Faut qu’on y aille.
— On peut pas rester encore un peu ?
— Non, viens.
Pppffff... Après avoir dit au revoir à tout le monde, on rentre. Je chantonne dans la voiture pendant le retour, je suis bien... même si tout tourne un peu autour de moi.
Dans sa chambre, on se déshabille et je l’enlace en disant :
— Merci Summer, c’est la meilleure soirée de ma vie.
— T’es bourrée...
Elle me repousse et va faire pipi en disant :
— Tu vas être belle demain...
M’en fous, j’ai juste envie d’elle. Depuis le pied du lit, je me glisse entre ses jambes et je colle mes lèvres à sa chatte. Elle murmure :
— T’es insatiable, toi.
Mais, elle me laisse faire. Je m’endormirais bien là... mais dès qu’elle a joui, elle me repousse et je me mets dans le lit. Au milieu de la nuit, je dois vite aller dans la toilette pour vomir. Ouch ! Je vais arrêter de boire des "shots" ! Je me rendors péniblement...
— — —
Le lendemain matin, je suis réveillée par Summer qui me secoue en disant :
— Allez, debout !
Elle me traîne sous la douche... L’eau est froide. J’ai beau pousser des cris, elle me maintient sous le jet. Ouch ! Ça réveille. Elle finit par me lâcher, en me disant :
— Tu as 5 minutes pour te maquiller et t’habiller....
J’ai mal à la tête... Je ne boirai plus jamais de ma vie ! J’ai juste le temps de me coiffer un peu et d’enfiler ma robe que Summer me tire hors de la chambre. On monte en voiture et... on va où déjà ? Ah oui, chez un agent. Le moteur fait trop de bruit et j’ai des hauts le cœur.
Ayant plus ou moins reconnu l’avenue qu’on prend, je demande à Summer :
— Il habite près de Topanga ?
— Oui, sur la plage à Malibu.
Cool... On arrive devant l’entrée. Depuis la voiture, Ashley sonne, puis annonce dans le parlophone :
— Summer.
La grille s’ouvre. Elle me dit :
— On va se faire engueuler.
Aaah ? Ça commence bien... L’entrée est quelconque, mais par contre, la propriété est superbe : une grande maison à un étage avec une piscine entourée de végétation0 La plage et la mer sont un peu en contrebas, il y a un escalier en bois pour y arriver. Et maintenant, je sais nager... Devant la maison, une grande femme bien en chair et vêtue d’une robe noire nous attend. Elle n’a pas l’air commode. Derrière cette elle, il y a deux filles en uniformes de servante avec toute la panoplie : petit tablier et coiffe sur la tête. Ce sont sans doute des esclaves, mais je n’ose pas le demander. La femme dit :
— Bonjour Mademoiselle Summer, bonjour Mademoiselle Ashley..
Summer répond :
— Bonjour Madame Stone. De quelle humeur est le patron ?
— Comme vous imaginez.
Summer grimace, tandis que les servantes font une révérence quand on passe devant elles. J’adore ça...
On suit Madame Stone jusqu’à une terrasse qui donne sur la piscine. Sous une grande toile, un vieux petit bonhomme est assis derrière une table, sur laquelle se trouvent un PC et des papiers. Derrière lui, il y a aussi deux servantes en uniforme, les mains croisées sur le pubis, la tête baissée. Summer lui dit :
— Bonjour Monsieur Leyssens, désolée pour le retard.
— Bonjour Summer. Tu devrais être là depuis 10 minutes !
— Je sais on a perdu dans un embouteillage. Ça m’arrangerait que vous n’en parliez pas à Monsieur Sam.
— Redevable ?
Elle lui serre la main, en disant :
— Redevable.
Mais c’est quoi ça ? Ils font partie d’une secte ? Moi aussi, si je me souviens bien, je suis "redevable" à Summer. Je ne sais même plus pourquoi.
Le petit bonhomme me regarde attentivement, avant de me dire :
— Tu as des cernes sous les yeux. C’est toujours comme ça ?
— En fait... hier soir, j’ai mangé mexicain, Monsieur. Je ne suis pas habituée à ce genre de cuisine et j’ai été malade durant la nuit...
— Moi aussi, j’ai du mal à supporter cette nourriture. Bon, passons pour cette fois. Alors, tu es prête à faire tout ce qu’il faut pour réussir dans le cinéma ?
— Oui, Monsieur.
— À coucher avec des hommes, des femmes ?
— Oui, Monsieur.
— Tourner nue ne te pose pas de problème ?
— ... Euh... non.
— Alors enlève ta robe, que je voie comment tu es faite... Tu peux garder ta culotte.
— Ça ne va pas être possible, Monsieur...
Tête du gars qui se demande à quoi je joue. J’enlève ma robe par le haut d’un mouvement félin – si, si – et j'ajoute :
— J’ai pas de culotte.
C’est bien joué, non ? Je tourne sur moi-même pour qu’il puisse admirer ma plastique... de rêve. Il me dit :
— Je prendrais bien quelques photos, si ça ne te dérange pas.
— Au contraire, j’aime qu’on me photographie.
Il crie :
— Syl ! Appareil photo.
Une servante arrive en courant et se met à genoux devant lui. Elle lui tend un appareil photo qu’elle tient à deux mains. J’en veux des esclaves, moi, c’est trop cool ! Le gars a l’air aussi vieux que les séquoias du parc naturel qui se trouve pas loin, et pourtant, il se lève avec souplesse et se met à tourner autour de moi. Je prends des poses de pin up. Il me fait même des compliments... à tel point que je lui dis :
— Ce serait intéressant que je pose avec une esclave nue0
— Très bonne idée.
Il crie :
— SYL, à poils et aux pieds, de notre invitée !
La fille enlève son tablier, sa robe noire et vient se mettre à genoux devant moi. Je lui dit :
— Regarde-moi !
Elle obéit et, comme je m’avance un peu, ses lèvres s’enfoncent dans les poils de ma chatte. Je regarde Monsieur Leyssens, qui hoche la tête en souriant. C’est un feu vert ça, non ? Alors j’écarte les jambes en disant à Syl :
— Tu ne veux pas être fouettée ?
— Non, Maîtresse...
— Alors, fais-moi jouir.
Elle glisse son fin visage entre mes cuisses et colle sa bouche contre ma chatte. Je mouille son visage.
Putain, je me doutais qu’une fille qu’on menace du fouet devait lécher comme une reine... façon de parler, bien sûr. Elle me lèche, me suce... Spencer fait des photos en pied, elle et moi, et puis de mon visage. Il me dit :
— Regarde l’appareil, je veux t’avoir quand tu jouis.
Ce seront des photos vraiment indécentes, je... jouis en tenant le visage de l’esclave collé à ma chatte. Spencer est tellement content qu’il me dit :
— Monsieur Sam a raison tu es une future star.
— Merci, je ferait pour ne pas le décevoir.
Une secrétaire, pas une servante, passe la tête pour dire :
— Monsieur King est là, Monsieur.
— J'arrive.
A suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les
tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html
Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html
Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
C'est du propre.
Et l'hygiène ?
- Ce sont des esclaves.
Pas de problèmes, alors... et puis, c'est écologique.
Si vous me donnez votre mail, je vous enverrai "Le rêve de Mia" : comment j'ai réussi à me faire publier et à convaincre Bruce Morgan de me faire des dessins. mia.michael@hotmail.fr
- Ce sont des esclaves.
Pas de problèmes, alors... et puis, c'est écologique.
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dimanche 19 avril 2020
2 Mia...
Mia, son reflet et le bras du photographe... On ne voit pas le reste de l'équipe.
Si vous me donnez votre mail, je vous enverrai "Le rêve de Mia" : comment j'ai réussi à me faire publier et à convaincre Bruce Morgan de me faire des dessins. mia.michael@hotmail.fr
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vendredi 17 avril 2020
Ashley - 64 Contrats.
Il revient le lendemain, je suis devenue son
idée fixe. Dans la chambre, il me dit :
— Tu vas me sucer et je vais jouir, mais
je veux que tu n’avales que quand je te le dirai, hiiiiiiiiiiii !
— Oui Monsieur.
Je m'agenouille entre ses maigres cuisses, face
à l'anguille morte qui lui sert de bite. Je commence à la sucer. Il me répète :
— Tu gardes tout en bouche, hein !
Je hoche la tête sur sa bite. Heureusement que
je n'en suis pas à ma première pipe ! Ça ne dure pas... Il jouit en faisant un
festival de cris variés. Ça y est, j'ai la bouche pleine. Il presse son sexe de
bas en haut pour m'envoyer ce qui reste encore dans le canal. J'ai les joues
aussi gonflées qu'un hamster qui revient des grandes courses ! Il est ravi et
me dit :
— Tu n'as rien avalé ?
Je fais non de la tête. Rire idiot... Si ça
doit durer, je sens que je vais tout lui envoyer dans la figure... Enfin, il me
dit :
— Tu peux avaler, hiiiiiiiiiiii !
Ce n'est pas ma tasse de thé du tout, mais je
suis une pute... Il prend des billets dans son portefeuille et les éparpille
par terre en disant :
— Ramasse, hiiiiiiiiiii !
Quand c'est fait, j'ai droit à un :
— Qu'est-ce qu'on dit ?
— Merci Monsieur, vous êtes très généreux.
— Et toi, tu sais comment gagner de
l'argent avec tes fesses et ta bouche, hoooouuuuu !
Il s'en va... au diable, j'espère.
Le reste de la journée se passe normalement... Deux
ou trois fellations et levrettes, la routine. Je pense au fou : me marier
avec ça !!!
***
Le lendemain, je revois Donald... On joue
"chienne". Je suis obligée de me mettre nue, à quatre pattes. Il me
lance un os en caoutchouc que je dois aller chercher et rapporter. Tout ça
ponctué de rires idiots. Il me met aussi un collier et une laisse.
Il faut le sucer aussi et quand la chienne a
avalé le sperme de son maître, il me demande :
— Qu'est-ce qu'elle fout ta propriétaire ?
— Mademoiselle Hunter est au Canada,
Monsieur, mais elle revient pour vous voir...
— Je te jouerai au poker avec elle, je
gagne toujours, hiiiiiiiiiiii !
Il part en me laissant une poignée de billets
de 100 $. Je me rhabille pour aller au bureau. Summer est là, enfin... Je me
colle à elle et lui demande :
— Tu restes un peu, hein ?
— Oui, on va s'occuper de ton amoureux.
Je fais la grimace. Elle ajoute :
— Monsieur Sam est ici spécialement pour
ça.
Oh ! Il prend le dingue au sérieux ! On quitte
le bordel pour aller vers l'hôtel. Monsieur Sam est assis à la terrasse de l'hôtel
avec Sarah, sa maîtresse, qui est une vraie garce. Summer serre la main de
Monsieur Sam et embrasse Sarah. Ils échangent quelques mondanités. Et moi ?
J'ai dit bonjour « Monsieur Sam, bonjour mademoiselle Sarah ».
Personne ne répond, je crois que je suis devenue transparente. Summer dit à
Monsieur Sam :
— J'ai pris Ashley avec moi, elle est
quand même très concernée. Elle peut s'asseoir ?
C'est Sarah qui répond :
— Tu l'as affranchie ?
— Non, mais..
— Alors qu'elle reste comme ça, elle a
tendance à oublier où est sa place.
Elle, un jour, je... Qu'est-ce que je pourrais
jamais faire ? Je suis désarmée et tout est organisé pour que je n'oublie
surtout pas que je suis une esclave. Je m'en fous ou alors... je sens que j'ai
les larmes aux yeux. Sarah commence par rire, puis elle me dit :
— Pleure pas bébé, tu peux t'asseoir, mais
pas près de nous.
Elle me désigne une table un peu plus loin. Je
suis tellement bien drillée que je réponds :
— Merci, Mademoiselle.
Alors que je lui enfoncerais volontiers... une
bouteille de bière dans le cul. Non, elle pourrait aimer ! Une serveuse vient
demander à Summer ce qu'elle veut boire. Quand elle revient, c'est avec deux
verres. Un pour Summer et l'autre pour moi. En souriant, elle me dit :
— De la part de ta Maîtresse.
— Merci...
Grâce à ma "Maîtresse", je peux boire
une Margarita et j'adore ça !
Je bois, ils parlent... de mes futures noces ! Mais
non, je refuse d'épouser le dingo ! J'entends qu'ils parlent d'un contrat de
mariage... les bébés Gomez ou plutôt Maîtres Gomez et Gomez vont lui faire
signer un contrat où il est écrit que Summer Hunter accepte la proposition de Donald
Spassy d'épouser l'esclave Ashley Stirland qui lui appartient – en échange
d'une somme de 10 000 $ – mais qu'en cas de divorce ou de décès, l'esclave
Ashley Stirland redeviendra la propriété de Mademoiselle Summer Hunter. Ils ont
intérêt à me donner de sérieuses garanties pour que j'épouse ce barjo ! Oui, je
dis des bêtises, là. Je ferai ce que Summer me dira de faire, évidemment. Je
bois en rêvant à une vie avec Summer, on est riches, on a un bateau et... Un "pssst"
me sort de ma rêverie. C'est Sarah qui me fait signe d'approcher. Elle me dit :
— Assieds-toi.
Quel honneur ! Quand je suis assise, Sarah (pourquoi
elle ?) m'annonce :
— Tu vas épouser ce type et ça ne durera
que trois semaines, maximum un mois.
— Il me fait peur, Mademoiselle.
Elle se tourne vers Summer en disant :
— Tu vois, elle n'est pas encore bien dressée.
Je vais la prendre avec moi, j'ai une gouvernante qui est beaucoup plus
efficace que Madame Stone.
Je réponds aussitôt :
— Je ferai tout ce que me dira ma
Maîtresse.
Summer me répond :
— Je sais... tu devras faire des jeux
comme dans la chambre, la chienne, les billets... Ce qu'il aime, c'est humilier
la Première Dame. Il ne t'a pas fait mal ?
— Non. À part... non, rien.
Je n'ose pas dire qu'il m'a donné une claque
sur les fesses. Ce serait de la folie de se plaindre d'une claque quand on est
une esclave. N'empêche, je pourrais bien me mettre à pleurer. Monsieur Sam me
dit :
— On a quelqu'un sur place.
Je regarde Summer, elle fait oui de la tête.
Bon, je baisse la tête, vaincue sans combattre. Je peux déjà être heureuse de
pouvoir rester à la même table qu'eux et même de recevoir quelque chose à
boire. Summer, qui me connaît bien, me dit :
— Ça m'énerve quand tu joues les martyrs.
— Mais... tu ne le connais pas, il est...
Sarah répond :
— Très riche.
Elle n'a qu'à l'épouser elle-même, la conne !
***
Deux jours plus tard, on se retrouve dans la nursery
des bébés Gomez... Mais non, dans le bureau de maîtres Gomez et Gomez. Il y a Summer
et moi, Monsieur Sam et Sarah, les bébés Gomez et bien sûr Donald Spassy plus
gloussant que jamais. On est assis autour d'une grande table, même moi. Summer
y va de son petit compliment :
— Je suis très flattée qu'un homme de
votre importance m'achète une esclave, mais vous devez comprendre que je tiens quand
même à elle. Elle est très demandée.
Rire de l'idiot qui répond :
— Oui, c'est une pute qui a la langue bien
pendue, hiiiiiiii !
— Je vous la vends pour 1000 $ par
mois pendant 5 ans.
Geste désinvolte de Donald, qui répond :
— D'accord, aucun problème, c'est une
goutte d'eau dans ma mer de pétrole, hiiiiiiii !
Trop drôle ! Tout le monde rit complaisamment.
Il se touche l'entrejambe en disant :
— On est donc d'accord... Mais comme tout
ça m'excite, j'ai envie que ma future femme me suce la bite. Si ça ne vous
dérange pas.
C'est Monsieur Sam qui répond :
— Pas le moins du monde, cher Monsieur,
c'est comme si elle était déjà à vous.
Mais ils sont tous devenus fous ?? Là, je vois
un rapide échange de regards entre Monsieur Sam et Summer, comme si tout ça les
arrangeait bien. Sarah me lance :
— File sous la table, Ashley !
Pfff... je me retrouve à nouveau entre les
cuisses du dingo, puis devant son sexe qui me dégoûte, mais alors à un point...!
Je l'embrasse en grimaçant, puis je prends son gland en bouche. En haut, Summer
me dit :
— Le grand jeu, n'est-ce pas jeune fille !
Elle ne dit jamais ça ! J'obéis évidemment à ma
Maîtresse. C'est au tour des bébés Gomez d'entrer dans la danse, ils lui disent :
— Le problème qu'il pourrait y avoir,
c'est que si vous divorcez, Mademoiselle Summer se retrouverait sans revenus...
Nous avons donc ajouté une clause précisant qu'en cas de divorce ou de décès,
Ashley et tous ses biens redeviendront la propriété de Mademoiselle Summer.
Je caresse le bout de son gland avec mes
amygdales, tandis qu'il répond :
— Putain de merde ! Cette pute est la
meilleure suceuse de bite que j'ai rencontrée, hooooooooooooo...
— Alors vous êtes d'accord, Monsieur
Spassy ?
— Ouiiiiiiiiiiii, il me la faut ! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii....
— Si vous voulez bien parapher toutes les
pages puis écrire « lu et approuvé » sur la dernière et la signer.
Je ralentis le rythme de ma langue tandis qu'il
signe... Enfin, je suppose parce que je suis toujours à l'étage en dessous. Je
m'arrête un peu pour me reposer la langue, mais il lance aussitôt :
— Je t'ai dit de t'arrêter ?
Je continue, tout en pressant ses couilles
gonflées ! Allez, crache ton venin, horrible... troll !! Ah, il redevient
sonore :
— Hooooo, hiiiiiiiiii, avale tout, salope !
Je déglutis son sperme, il est mieux dans mon
ventre que dans mon vagin, tout sauf un bébé de ce dingue... au cas où ma
contraception me lâcherait. Après sa panoplie de cris, un des Gomez lui dit :
— Tout est en ordre, Monsieur Spassy.
Voici les documents et votre contrat de mariage.
Donald prend les papiers et dit :
— On va partir à Vegas... Mon jet privé
nous attend. Au revoir.
Il ajoute pour moi :
— Et ce soir, c'est ta nuit de noces. Ça
va être la fête à ton cul, salope, hiiiiiiiiiii !
Je me remets debout, j'embrasse Summer et je le
suis... Oh, sans le moindre enthousiasme !
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Vous allez adorer "Samia, fille du voyage" avec 63 dessins de Bruce Morgan
http://www.lamusardine.com/P32760-samia-fille-du-voyage-morgan-bruce-michael-mia.html.
Bruce Morgan a aussi illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous"
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