mercredi 5 février 2020

Ashley - 6 Du bon côté du fouet.


Mon Dieu, comme c’est agréable d’être du bon côté du fouet et d’en tenir le manche... J’ordonne à Pearl : 
— Appuie le haut de ton corps sur la table, avec les jambes écartées et bien droites, les pieds sur le sol.
Elle me regarde stupidement. Je la prends par la nuque pour l’obliger à se pencher, puis à se coucher sur la table. C’est pourtant pas très compliqué. Comme elle est grande et qu'elle a des longues jambes, son buste est plus bas que ses hanches, ce qui met bien en valeur ses fesses. Je les caresse, elles sont chaudes et fermes... Elles seront nettement plus chaudes encore dans cinq minutes. Les filles et Alan me regardent faire tandis que Billy me dessine. Je ferais bien encore un peu durer ce moment agréable... Non, j’y vais. Mon bras se lève et ça fait :
Fffffzzzziiiii ! 
C’est le sifflement du fouet dans l’air, juste avant de s’abattre sur ses fesses.
Pearl crie :
— Aiiiieeeeee ! Un, merci Maîtresse.
Elle compte en plus ! Une belle marque lui barre les fesses.
Fffffzzzziiiii !
Le fouet vient à nouveau de frapper ses fesses, mais la trace est décalée.
— Aiiiieeeeee !... Deux, merci Maîtresse.
Fffffzzzziiiii !
— Aiiiieeeeee ! Trois, merci Maîtresse.
Là, le fouet a atteint la base des fesses. Ça doit être douloureux, car, elle commence à gémir nettement plus fort. Je dis aux autres :
— C’est amusant, quand je lève le fouet, ses fesses montent comme pour diminuer la distance entre les lanières et elles. Ensuite, elles essayent de s’enfoncer dans la table. Alan répond :
— Oui, c’est ce qu’on appelle la danse des fesses.
 

 
Je lève le bras.
Fffffzzzziiiii !
— AaaIIIiiiieeeeee !... Quatre, merci Maîtresse.
À nouveau la base des fesses. Cette fois, elle commence à pleurer, la pauvre... Mais ce n’est pas le moment de s’attendrir, il faut lui apprendre à faire plus attention.
Fffffzzzziiiii !
— Aiiiieeeeee !... Cinq, merci, Maîtresse.
C’était le haut des cuisses ! Elle pensera à moi chaque fois qu’elle va s’asseoir... Bien sûr, une esclave ne peut pas s'asseoir, mais à chaque pas, elle se souvenir de cette correction. Oui, euh... c’est du vécu.
Je lui demande :
— Tu ne seras plus maladroite ?
Elle crie presque :
— NOOON... non, maîtresse, je vous jure...
— Bien, la punition est finie, tu peux bouger et me remercier de t'avoir corrigée.
Elle se met aussitôt à genoux devant moi et, en se baissant complètement, elle couvre mes pieds de baisers mouillés de ses larmes... Au bout d’un moment, je la repousse du pied et Victoria lui dit :
— La lessive va se faire toute seule, Pearl ?
— Non, Maîtresse.
— Tu t’es assez amusée, vas travailler.
— Oui Maîtresse.
Elle s’en va en frottant discrètement ses fesses qui portent ma signature.
Pour tout dire, lui faire ça m’a excitée. D’autant plus que Billy me montre son dessin : c’est moi corrigeant Pearl, bien sûr... Il me dit :
— C’est pour toi.
— Merci, c’est très gentil. Est-ce que je peux faire quelque chose pour te faire plaisir ?
Ses yeux fixent ma chatte. OK, j’ai compris. Je dis aux filles et à Alan :
— Ça ne vous dérange pas si je remercie Billy dans la chambre ?
Victoria répond :
— Tu peux faire ça ici.
Encore mieux... Je demande à Billy, qui est devenu tout rouge :
— Comment as-tu envie de faire ça, poussin ?
— Je vais vous montrer.
C’est le seul qui soit habillé, enfin, il a un maillot. Il l’enlève et se couche par terre sur la terrasse en demandant :
— Vous pourriez venir sur moi ?
Je cherche le meilleur endroit de son corps pour m’asseoir. J’ai trouvé : sa bite ! Bon, ce n’est pas le sexe d’Alan, mais dans mon état d’excitation, je me ferais bien enfiler par un lapin... Euh... non, ils font ça trop vite. Disons plutôt par un Danois (le chien !) Billy a envie de me baiser, mais il veut surtout me regarder. Bon, je m’assieds sur sa bite qui entre dans ma chatte aussi facilement qu’un pickpocket visite votre poche quand vous êtes bourré. C’est la faute de Pearl si je suis aussi mouillée, il faudra que je la punisse !
Billy commence à avoir du spectacle : moi, qui vais et viens sur son sexe dressé en faisant bien bouger mes seins... Ensuite, je les caresse... Billy me dit :
— Tu es trop belle ! Je peux te demander quelque chose ?
Ça y est, il me tutoie. Est-ce qu'il ne deviendrait pas trop familier, lui ? D'un autre côté, un mec qui a sa bite dans votre chatte, on n’a plus grand-chose à lui refuser, Je réponds :
— Vas-y.
— Je voudrais te voir de dos.
OK, après m’être un peu redressée, je me retourne et j’enfonce sa bite dans mon cul. Faut varier les plaisirs et j’aime ça par derrière. Après mes seins, je fais danser mes fesses pour lui. J’imagine déjà les dessins qu’il va faire. Ah ! Je sens que la bite de mon artiste grossit un peu et il pousse des petits gémissements. J’accélère légèrement et il jouit en moi... J’ai besoin de davantage pour jouir aussi... Je demande aux filles :
— Je peux utiliser Pearl pour me... nettoyer ?
Wendy répond :
— Le nettoyage, c’est son boulot.
Juste ! Alors, je crie :
— Pearl, aux pieds !
Elle arrive en courant. Ah, vous voyez comme le fouet est utile ! Je me couche sur le dos et je lui montre ma chatte du doigt. Pas besoin d’insister pour qu’elle m’obéisse en collant ses lèvres sur ma chatte.
 

 
Je sens sa langue pénétrer dans mon vagin. Vas-y, petite esclave, avale tout ! Quand elle m’a bien sucée et léchée, je lui donne un petit coup de talon sur les fesses, en disant :
— Plus haut !
Elle lèche aussitôt mon clito. Il ne me faut que quelques minutes pour jouir sur son visage. La vie est belle en dehors de Notasulga ! Elle lèche encore mon sexe, voulant vraiment me faire plaisir. Ou alors, elle veut vraiment éviter le fouet ! Je lui dis :
— C’est bon, dégage !
Je suis bien... Il ne manque que les filles à mon tableau de chasse, mais elles sont fidèles, d’après ce que je sais. J’ai pourtant bien l’impression qu’elles donneraient volontiers un coup de canif dans leur contrat de fidélité. D’ailleurs, elles me font un cadeau. Victoria me dit :
— Wendy et moi, on a commandé un livre pour toi et on l’a reçu ce matin. Tiens !
Elle me tend un livre, c’est "Les vies secrètes de Marilyn Monroe" de Anthony Summers. Je les embrasse pour les remercier, en dérapant un peu sur leurs bouches. J’ouvre le livre pour regarder les photos... C’est vrai qu’elle est très belle... que toutes les deux, on est très belles. Je lis un passage au hasard : « Durant son mariage avec Arthur Miller, elle arrêta de se montrer nue devant les invités, sauf si c’était des femmes. » Oh ! J’adore l’idée ! Aussitôt, je me plonge dans le livre. Bientôt, j’ai une idée précise de nos points communs :
1 - on se ressemble comme deux gouttes d’eau, l’une plus brune que l’autre avant décoloration
2 - on a une mère droguée, ou folle, ou toxico
3 - on a été dans des familles d’accueil
4 - on n’a pas fait d’études
5 - on adore se montrer nues
6 - on couche facilement et un peu avec n’importe qui
7 - on est toutes les deux narcissiques, mais ça, c’est normal quand on est aussi belles.
Il ne me reste plus qu’à suivre la voie qu’elle m’a tracée : aller à Hollywood pour apprendre à jouer, à chanter et à danser. Je deviens une star, j’épouse un homme très riche et je m’envoie tout ce qui a une queue ou une chatte. Par contre, je décide de contrôler ma consommation d’alcool et de ne pas toucher aux drogues sous n’importe quelle forme...
Je suis sortie de ma lecture par la voix d’Alan :
— On doit y aller dans 15 minutes, Ashley ! Si tu allais faire une petite toilette ?
— Oui, j’y vais.
Je viens de lire que Marilyn n’aimait pas trop se laver, mais là, je ne vais pas l’imiter, je veux une chatte vraiment fraîche... Elle ne le restera pas longtemps, surtout si Pearl fait une connerie...
***
Au club, c’est toujours assez fatigant, mais ça me plaît et j’imite de mieux en mieux Marilyn. Il ne se passe rien de spécial, sauf que je gagne nettement plus d’argent. Bientôt Hollywood ! En rentrant, Alan me baise... C’est la fête à mon cul, ici !
Le lendemain, je me lève vers midi. Alan est déjà descendu. Aussitôt que je fais un peu de bruit, on toque à la porte de façon très discrète, le genre de toc-toc que pourrait faire une souris si elle mesurait 1 mètre 50 et qu’elle ait des doigts... Euh, oublions la souris. Je réponds :
— Entrez.
C’est Billy qui me dit :
— Bonjour Ashley, j’ai entendu du bruit et...
J’attends la suite... qui ne vient pas. Pour finir, il me tend un paquet de photos. Je les regarde. Il y a quelques paysages, puis des nus et... des photos de moi, qu’il a faites sans que je le remarque. Il me demande :
— Tu n’es pas fâchée ?
— Mais non, elles sont vraiment belles. Tu as beaucoup de talent.
— Tu pourrais poser pour moi ?
— Oui, bien sûr, surtout si tu m’en donnes.
— OK et je te ferai un book photo pour Hollywood.
Il est au courant de tout, lui ! Je sens qu’il a envie de me dire quelque chose, mais qu’il n’ose pas. Je le rassure :
— Si tu as autre chose à me demander, vas-y.
— Hier, c’était merveilleux, mais j’aurais tant voulu te....
Ça y est, il bloque !
— Me quoi ?
— Te lécher...
— Oh, ce n’est que ça ! Mais je n’ai pas encore pris ma douche, tu sais....
— Ça ne fait rien. S’il te plaît...
Je m’adosse à l’oreiller et j’écarte les jambes. Si je peux lui faire plaisir avec une chatte collante, pourquoi l’en priver ? Marilyn serait à 100 % d’accord avec moi.
 
A suivre.
 
Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
 

 
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html

Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …




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