Bien sûr, Bobby ne ressemble pas
du tout à Allan. Il n’est pas très grand, pas très costaud, pas très sûr de
lui, mais il dessine très bien et ses photos sont splendides. De plus, il a
peut-être d'autres talents. Il se jette sur ma chatte la langue la première et
ça me fait constater que, oh oui, il fait ça bien ! Pearl m’a bien léchée, de
peur d’être fouettée, mais Bobby, c’est un... "natural born pussy
licker" (né pour lécher des chattes). Sa bouche et sa langue me titillent
délicieusement. Oh ! Il la remet dans sa bouche... mais c’est pour me demander
:
— Je peux plier tes
jambes ?
— ... Euh, oui...
Il replie mes jambes, dans la
position du bébé qu’on lange.
Ensuite, appelons un chat, un
chat, il enfonce sa langue dans ma chatte et puis dans mon cul. Ça, c’est la
première fois qu’on me le fait ! Il y a déjà eu des doigts et des bites qui
l’ont visité, mais une langue, jamais... Et ça me plaît ! C’est tellement...
intime et inconvenant ! Après une courte mais délicieuse romance entre sa
langue et mon cul, il remet mes jambes dans une position normale et sa langue
se remet à virevolter sur mon clito. Putain ! Il est bon ! Vous voyez, un mec
comme Alan, il a l'impression, qu'il vous fait une fleur en vous enfonçant sa
bite dans la bouche, mais jamais il n’irait embrasser un minou et encore moins
un cul. Sa bouche, il estime qu’elle sert à donner un baiser à sa mère, pas à
embrasser le cul des filles. Chacun a sa spécialité : la nuit dernière Alan m’a
mis 10 cc de sperme dans la chatte et ce midi, Bobby la nettoie. Ce sont des
pensées que je ne devrais pas avoir : ça m’excite trop, mais si je pense au
fouet qui claque sur les fesses de Pearl, c’est pire ! Alors je lâche les
amarres et le bateau de la jouissance m’emmène sur une mer de félicité ! Ou
bien, pour parler normalement, je prends un super pied. Je plaque son visage
sur ma chatte et je resserre mes cuisses tandis qu’il me fait jouir. C’est trop
bon.... Je le lâche avant qu’il n’étouffe et, comme une chatte qui lape du
lait, il nettoie ma chatte mouillée. Je me lève pour m’étirer... Bobby me
demande :
— Je pourrai le
refaire ?
— Tous les matins, si tu
veux.
Ses yeux brillent comme ceux
d’un enfant qui découvre les jouets laissés par le père Noël... Enfin, moi, je
n’ai pas connu ça ! Il me dit :
— Je sais que tu vas
partir bientôt. Je pourrai t’accompagner quand tu iras à Hollywood ? Mes
parents me versent une rente, je te la donnerai et...
Allons bon, voilà autre chose.
Est-ce que j’ai besoin de lui ? Oui, pour faire des photos et pour être mon
boy, si j’ai envie. Je lui demande :
— Tu m’obéiras ?
— Oui, je te le jure.
— C’est combien la
rente ?
— 750 $ par mois...
Mouais, pas énorme, mais il
peut m’être utile. Je réponds :
— D’accord, je te ferai
venir.
— Oh merci Ashley.
Pour le taquiner, j’ajoute :
— Mais tu devras laver
mes culottes... à la main.
— Ouiiii...
Il me donne son numéro de
téléphone et prend le mien. Bon, assez joué, je descends vers la terrasse, mon
boy sur mes talons. Pearl ne fait aucune bêtise, ça m’énerve !
***
En fin de journée, je pars au
club avec Allan. Il y a une nouvelle fille, une jolie rousse et il a l’air très
intéressé. On ne s’est pas juré fidélité et bon, je vais partir dès que
possible.
Vers 23 h, un groupe arrive.
Il y a d’abord un homme d’une cinquantaine d’années, très noir de cheveux. Il
n’est pas séduisant mais apparemment très sûr de lui, comme tous les riches. Il
pourrait être Italien comme Enzo, le patron du club. Une jolie blonde
l’accompagne, ça pourrait être sa fille ou sa petite fille... Il y a aussi une
femme d’une trentaine d’années, une jolie brune aux yeux bleus. Sans pouvoir
expliquer pourquoi, je la sens dangereuse. Enfin, il y a un homme plus jeune et
costaud, sûrement un garde du corps.
Dès que Ruby voit l’homme, elle
dit à une fille :
— Demande à Monsieur de
venir immédiatement.
Puis elle va au-devant de
l’homme en disant :
— Signor Boizano, je
suis ravie de vous voir dans notre club.
Il lui tend la main et répond
:
— Tu es Ruby, c’est ça ?
— Oui, Signor, l’épouse
d’Enzo. D’ailleurs, le voici.
Enzo s'incline devant le
nouveau venu en disant :
— Bienvenue, Signor
Boizano, votre visite est un grand honneur. Si je puis vous être utile de
quelques façons que ce soit...
— On est ici pour
affaire et j’ai entendu parler d’une fille qui serait le sosie de Marilyn.
— Certainement... Si
vous voulez, les filles vont vous installer dans la salle VIP et elle va vous
rejoindre.
Eh ! Je suis connue ! Monsieur
ouvre lui-même la porte de la salle VIP. Il fait signe à plusieurs filles de
s’occuper d’eux. Ruby me dit :
— Va vite te changer. Tu
mets la robe rouge pour faire ton numéro devant le signor Boizano. C’est
quelqu’un de très important.
Non, pas possible ? À les voir
ramper devant lui, je m’en doutais un peu. Après m’être changée, je me donne un
coup de peigne. Puis je vais dans le club, par la porte qui donne sur la grande
pièce VIP. J’entre et je prends une pose de pin up en demandant avec la voix de
Marilyn :
— Puis-je danser pour
vous ?
Ils sont surpris, eux ! Il
faut dire que ma ressemblance avec Marilyn est... comment dire ? Hallucinante.
Voilà... Le signor Boizano me répond :
— Je suis venu pour te
voir et je ne suis pas déçu, tu es très belle....
— Merci Monsieur.
Je clique sur mon iPhone et la
musique de "Diamonds" se fait entendre. Le son n’est pas très bon,
mais je suis sûre que c’est la vue qui l’intéresse. Je grimpe sur la table.
Elle est grande, ce qui me permet de danser en chantant et en me déshabillant.
Je fais mon numéro pour el signor. Je commence à chanter :
— The French are glad to
die for love (les Français sont heureux de mourir d'amour).
— They delight in
fighting duels (ils aiment se battre en duel).
— But I prefer a man who
lives (mais je préfère un homme qui vit).
— And gives expensive
jewels (et qui m’offre des bijoux coûteux).
Moi, je suis tout à fait
d’accord avec ces paroles. Je continue à chanter tout en me déshabillant et je
termine en saluant... Et... il n’a pas mis de billet sur la table. Je lui dis :
— Ça ne vous a pas plu,
Monsieur ?
— Si, si, mais je suis
surpris de la ressemblance.
Ayant compris que je voulais
que son admiration se transforme en espèces, il sort un billet de son
portefeuille. Je me retourne et il le glisse entre mes fesses. C’est l’habitude
au Club, les clients glissent les billets sous le string, entre les fesses ou
ils les posent sur la table. Je le remercie et prends le billet. Oh ! c’est 100
$, mon plus gros pourboire. Je me mets à quatre pattes sur la table pour
l’embrasser sur la bouche. Il a l’air surpris, les autres aussi... Peut-être
suis-je un peu trop familière ? Je dis aussitôt :
— Pardon, c’était
spontané.
En regardant la fille qui
l’accompagne, j’ajoute :
— Je ne voulais pas...
euh... marcher sur tes plates-bandes. Je suis nouvelle et...
Elle répond :
— Pas de problèmes, tu
peux embrasser mon oncle. Je suis une grande fille, hein tonton Sam ?
— Mais oui, Pussycat.
Ils se foutent de moi là,
Tonton Sam et Pussycat ? Il me dit :
— Assieds-toi petite,
j’ai une proposition à te faire.
— Si vous voulez
m’épouser, c’est "oui" tout de suite.
D’abord surpris, il finit par
rigoler. Je vais m’asseoir sur une chaise en face de lui. À ses côtés, il y a
Pussycat et l’autre la fille de trente ans.
Il dit à cette dernière :
— Sers-lui un verre,
Summer.
Ça lui va bien, ce nom Summer.
Elle remplit une coupe de champagne et me la tend. Je remercie les yeux baissés
car elle m’intimide. Je vide mon verre d’un coup... et je fais un petit renvoi
discret. Sam me dit :
— Tu sais qui je suis ?
— Mon plus riche client
jusqu’à présent.
— Oui, mais aussi un
homme d’affaires. Ma société possède un grand studio à Hollywood et je voudrais
t’engager.
Oh ! Il se fout pas de moi
là ? Je lui dis :
— Sérieux ?
— Oui. Bon, il faudra
travailler, apprendre à jouer, à danser, à chanter...
— Oui, bien sûr, je
travaillerai dur. Je veux devenir une star !
— Tu es vraiment
décidée ?
— Oui.
Il me tend la main et je me
lève pour la serrer. C’est tout ? On ne signe pas de contrat ? Ça me surprend,
mais bon, je viens de la campagne. Summer m’explique :
— Une poignée de main
avec Monsieur Sam, devant témoins, vous engage tous les deux. C’est plus
important qu’un contrat.
Sam, mon nouveau patron, me
dit :
— Si tu veux, pars avec
nous maintenant.
Oui, mais oh ! Ça va trop
vite, là ! Il me voit paniquer, tout à coup, car il sort une tablette d'une
serviette et dit à Summer :
— Explique-lui.
— Oui, Monsieur Sam.
Elle me prend la main en
disant :
— Viens avec moi.
On va s'asseoir côte à côte, à
une table du fond. Elle ouvre la tablette, tape quelques mots et me montre le
site du studio "New Hollywood Studios" en disant :
— Le studio de la société de
Monsieur Sam.
Ensuite elle me montre un
grand casino à Vegas, qui appartient à sa société et enfin, un site qui
s'appelle "Slave Paradise" Vente d'esclaves. Je lui dis :
— C'est à lui ?
— Oui, sa société est la seule
à vendre les esclaves, les shérifs ne peuvent plus le faire.
— Et, je pourrai y aller ?
— Ce n'est pas encore ouvert,
mais je connais tous les gardes. On pourrait y aller et même se baigner à poils
sur la plage privée...
— Et pendant le voyage, on
sera ensemble ?
— Oui.
— C'est d'accord.
On se lève, elle me reprend
par la main... D'accord, elle me traite comme une gamine, mais elle me
rassure... On retourne près des autres, Summer dit :
— La petite part avec nous.
À suivre.
Un tout grand merci à Bruce
Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de
"Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html
Mes livres non illustrés, ici
: https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …