dimanche 10 décembre 2017

Pan ! Dans l'étoile !

Un follower et ami, sachant que j'étais fan de Marilyn, m'a envoyé la petite histoire ci-dessous.
Le titre est de moi.
 
Pan ! Dans l'étoile ! par AK.
 
L'éclair fut suivi d'un bref fracas assourdissant, zébré de sifflements stridents. J'absorbai tant bien que mal la poussée anti-gravitationnelle. La cellule sembla se stabiliser, et la porte s'ouvrit, laissant entrer une raie de lumière. J'allais me lever du siège lorsque je constatais que j'étais à quatre pattes, et en baissant la tête je vis des poils chatains, et surtout .. des pattes de chien. Je redressai la tête et dans la vitre de la cellule je me vis ... Rintintin... Quel bordel, cette machine à remonter le temps ... C'est en sautant souplement du siège que je compris - mon neveu avait laissé joué dans la machine et y avait laissé trainé son magazine .... Cette interview exclusive de Marilyn, je l'ai un peu dans l'os, c'est le cas de le dire. Quand je pense que je bosse sur cette biographie nuit et jour depuis des mois, et que là, avoir mis la main sur cette machine à remonter le temps pour pouvoir aller interviewer Marylin sur sa vie sexuelle avec JFK, une bombe, et la célébrité assurée. Et dans mon coin, la célébrité et la richesse, c'est un synonyme direct de filles pour s'envoyer en l'air quand bon me semble .... La galère... 
J'en suis là de mes lamentations quand j'entends du bruit à côté, comme une douche. Puisque je suis là, et que je  suis quand même loin d'être bête, enfin, je me comprends, je vais faire un petit tour. Une chambre, un lit défait sur lequel trainent une paire de bas, une culotte et un peignoir. Je renifle la culotte, et une belle odeur un peu forte picote mes narines. Je me shoote littéralement en grognant doucement, quand la porte d'où vient le bruit de la douche s'ouvre et qu'une voie chantonne pou pou pidou où es-tu mon petit wiskhy (en anglais, mais je traduis pour les lecteurs non anglophones). Marilyn, en chair et en os, et à poil, enfin, je me comprends, pas comme moi. 
- Oh, qui es-tu toi, me dit-elle
- ouaf, ouaf, je réponds
- mais, je te connais, tu es comme moi, une étoile, oh, viens là me faire un câlin, et elle se jette littéralement autour de mon cou et commence à me papouiller le cou, le dos, le ventre, .. Quoique chien, je n'en reste pas moins homme... La main de Marylin me caresse le ventre... Combien de fois me suis-je caressé, les yeux dans ses yeux, enfin, les yeux du poster au-dessus de mon lit, en criant son nom en jouissant, enfin, doucement pour ne pas réveiller les parents dans la chambre à côté..et là c'est sa main. Oh non, ou plutôt, oh oui, trop bon, je bande, comme un âne, enfin, je me comprends. Et évidemment sa main bute sur ma queue - l'autre, celle du ventre 
- coquin rintintin, dit elle en gloussant, et en attrapant ma queue, commençant à la branler
L'envie est trop forte. Je lui passe un gros coup de langue sur le visage et enfoui ma gueule dans son cou, je descends sur ses seins magnifiques. Je bande, Marylin me branle, je lui lèche les chiens, et la langue d'un berger allemand a une longueur respectable. Elle pousse des petits cris, elle se met à japper doucement, glisse, se détache de moi. Oh non... Mais .. mais... elle se met à genoux sur le tapis, offrant à mes yeux son sexe, surmonté d'un adorable petit trou du cul. Elle gémit-jappe, et de sa main me fait signe d'approcher. Je tends le cou et mon museau se retrouve dans son entre-cuisse. Je sors ma langue et balaye généreusement sa fente, remonte sa raie et l'enfouit dans son petit trou. Elle gémit plus fort. Je lèche. L'instinct animal prend le dessus - j'entends des trompettes retentir dans ma tête, c'est l'heure où la cavalerie intervient: je me dresse sur mes pattes arrières, pose mes pattes avant de part et d'autres de son dos, cherche un peu, sa main saisit ma queue et la dirige ... vers son anus. Avec la quantité de bave que j'y ai laissé, je rentre comme dans de la Margaryn et commence à limer frénétiquement.
 
Oh god, oh dog, reprend-elle de plus belle, et moi qui ne peut pas m'arrêter de faire des petits mouvements rapides du bassin. Je sens ses muscles se contracter autour de ma queue - est-ce que les chiens ont ainsi  conscience du plaisir? Je jouis, en elle, et elle s'affale sur le sol, je manque de me casser la figures, heureusement que j'ai quatre pattes. Oh god, good dog, me dit elle. J'en suis là à ne pas tout à fait réaliser ce qui vient de se passer quand je sens une odeur nouvelle. Le temps de comrpendre d'où cela vient, des clés tournent dans la porte, qui s'ouvre. J'ai à peine le temps de voir le visage poupin de JFK que j'ai bondi, saisi la culotte dans ma gueule et sauté dans la pièce d'à côté. "oh honey, you're ready, waiting for me" "yes Mr president"  se disent-ils dans la pièce d'à-côté, pendant que je rejoins la cellule, m'assoit tant bien que mal dans le fauteuil et avec mes pattes avant appui sur le bouton "Go". 
L'éclair. Le fracas. Les sifflements. La porte s'ouvre. Ma chambre. Je m'apprête à bondir quand je me rends compte que j'ai repris forme humaine... il y a encore quelques subtilités de la relativité gravito-quantique qui m'échappe..et dans la main j'ai la culotte de Marylin. La culotte de Marylin, la vraie. Et un scoop: Marylin s'est bel et bien fait sodomisé par Rintintin, ce n'était pas qu'une légende ! 
 
The end.
 
PS : Marilyn, a mis une perruque brune par discrétion.

Le dessin est de Bruce Morgan, pour "Mia sans dessous"
"Mia sans dessous - tome 4" vient de paraître.
Près de 400 pages et plus de 100 dessins de Bruce Morgan.
lamusardine.com/P31501-mia-san
 

4 commentaires:

  1. Très joli texte, bravo à l'auteur !
    J'aime les touches d'humour et les jeux de mots subtils.

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  2. Sodomiser Marylin et emporter sa culotte, quel rêve !!

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  3. Merci, c'est très gentil. Je vais lui dire ça va lui faire plaisir

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  4. D****, très belle histoire, fraiche , gaie et coquine, génial cet auteur....cadeau la culotte de Marilyn...

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