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La garce de petite chef me laisse de longues minutes, peut-être, une demi heure, à genoux. Mes fesses me brûlent et les petits cailloux blancs me rentrent bien dans les genoux, tandis que la position, mains derrière la nuque me fait de plus en plus mal aux épaules. Mon père n'est pas au courant de la cruauté de ces Nonnes de l'enfer... Quand il l'apprendra il viendra me chercher toutes affaires cessantes.
Enfin... je la sens derrière moi. Elle me dit :
— Debout.
Ouf ! Je peux baisser les bras. Mes fesses et mes épaules me font vraiment mal et je tremble sur mes jambes.
Ma jupe est toujours épinglée en haut de mon dos et ma culotte est sur mes genoux. Je tends la main pour la remonter, mais elle me donne une bonne gifle qui claque sur ma joue.
— Aaaaiiiieee !
Je lâche ma culotte pour frotter ma joue, tandis qu'elle me dit :
— Je t'ai autorisée à la remonter ?
— Non, Mademoiselle.
— Excuse toi d'abord auprès de tout le monde et fais ça bien, sinon tu retournes compter les petits cailloux avec tes genoux.
Je me tourne vers les gens qui terminent de manger et je leur dit :
— Pardon d'avoir perturbé votre repas, dorénavant j'obéirai.
Deux ou 3 personnes me jettent un coup d'oeil distrait les autres s'en foutent. Les filles en uniforme ont les yeux baissés et elles n'osent manifestement pas bouger.
Mes excuses on l'air de plaire, plus ou moins à la chef. Elle me prend par le bras et on sort du réfectoire. Dans le couloir elle me dit :
— Rajuste roi tu es ridicule avec tes fesses rouges, on dirait une guenon en chaleur.
— Oui, Mademoiselle.
Je me rajuste. Rien que le contact de ma culotte me fait mal aux fesses.
On se trouve dans un des couloirs et elle va toquer à la porte de la mère supérieure. On dit :
— Entrez.
La fille passe la tête et dit :
— Je suis avec la fille qui a passé la nuit dans une bassine ma mère.
— Ah oui, entre, ma petite Charlotte.
La fille me dit :
— Met toi a genoux devant le bureau, les mais croisées sur les reins.
Encore !! J'obéis, bien sûr.
Ouch! Ça me fait vraiment mal aux genoux.
La chef dit :
— J'ai du la fouetter parce qu'elle refusait de terminer son assiette, vous voulez voir ses fesses ?
— Ses fesses, je m'en fous ma petite Charlotte, ce sont les tiennes qui m'intéressent.
Cette nonne est une vraie obsédée!
— Qu'est ce que j'en fais, ma mère ?
— Ce que tu veux... Met la au travail ou garde la. Tu n'as pas envie de t'amuser avec elle ?
— Non merci, ma mère. Je dois rejoindre Tina, qui a méritée une bonne fessée. Elle lèche toujours, mieux, après une fessée.
J'ouvre des yeux comme des soucoupes, surtout que la mère a passé sa main sous la jupe de Charlotte qui glousse et se tortille en disant :
— Vous savez ce qu'on veut ma soeur et moi.
La mère pousse un gros soupir,
— C'est difficile, mais je vais essayer. Ta soeur et toi, vous...
Elle s'arrête, me regarde et me dit :
— Va te mettre à genoux dans le couloir.
J'y vais immédiatement, bien sur, et je me mets le nez contre le mur.
Quand mon père saura ça ! Il fera fermer ce convent et arrêter la mère et les autres religieuses.
J'entends glousser dans le bureau. Enfin, Charlotte en sort, souriante et décoiffée.
On va au rez de chaussée, dans une grande cuisine. Il y a une grosse religieuse assise dans un fauteuil... Ce qui est un peu surprenant c'est qu'elle a une mince jeune fille en uniforme sur les genoux et qu'elles lisent un magazine people. Deux filles en robe tablier sales et rapiécées nettoient d'énormes marmites.
Charlotte va l'embrasser sur la bouche et embrasse aussi la fille qui est sur les genoux de la mère. Elle lui dit :
— Vous n'avez pas besoin d'une fille supplémentaire ma mère ?
— Peut-être. C'est une nouvelle ?
— Oui et elle a de belles fesses bien rouges, parce que j'ai dû la fesser.
Charlotte me dit :
— Montre tes fesses !
Surtout ne pas hésiter. Je soulève ma jupe et descend ma culotte.
La mère siffle :
— Mais voilà un joli cul bien rouge... J'ai du fesser ces deux idiotes aussi... Pourquoi encore, Sophie ?
Sophie, c'est la fille qui est sur ses genoux. Elle répond :
— Vous ne les trouviez pas assez souriantes, ma mère et puis, vous aviez envie de faire un peu d'exercice.
Petit rire de la mère, qui dit :
— Oui, ça me maintient en forme de fouetter les filles.
Je suis toujours troussée à montrer mes fesses.
La mère dit :
— Oui, tu peux me la laisser. Je trouverai quelque chose à lui faire faire.
— Merci, ma mère... Je dois faire quelque chose avec Tina.
— Ah, oui, genre, ta chatte et sa bouche ?
— Oui, elle a mérité une correction et peut être qu'ensuite... A tout à l'heure, ma mère..
Elle s'en va.
La mère s'adresse à Sophie, la fille qui est sur ses genoux. Elle lui dit :
— On l'essaye ?
— Oui, pourquoi pas.
Parce que c'est un couvent et que ce sont des religieuses, voilà, pourquoi pas!!
Elle s'adresse aux deux filles qui transpirent à nettoyer les énormes marmites toutes grasses :
— Que ce soit impeccable quand on revient.
Elles répondent en choeur :
— Oui, ma mère.
La grosse femme se lève et me dit :
— On va t'essayer petite.
On arrive dans sa chambre qui est tout près de la cuisine. Ce n'est pas du tout une cellule de moine. Il y a un grand lit, des meubles, des photos de filles nues sur les murs. Elle allume une radio et me dit :
— Déshabille-toi !
Elle enlève aussi sa robe et sa cornette. Ouch ! Elle fait bien 120 kg. Ses cheveux sont archi courts et roux. Son sexe est recouvert de poils roux filasse. Elle a un gros ventre qui retombe sur son pubis et des seins qui arrivent au nombril.
Quand, je suis nue, elle me regarde comme si j'étais une gazelle et elle, une grosse femelle guépard qui a un petit creux.
Elle me prend contre elle et m'embrasse sur la bouche. Comme, je n'écarte pas mes lèvres assez vite elle me pince les fesses.
— Aaaiiiieee !
J'ouvre la bouche pour crier et elle y enfonce 1 kg de langue. Elle a une haleine qui sent la cigarette, l'alcool et d'autres choses pas agréables du tout.
Quand elle retire sa langue, elle me dit :
— On voit que tu n'es pas dressée toi.
— Pardon ma mère je viens d'arriver.
Elle me renifle en disant :
— En plus tu sens le savon. Enfin, on fera avec. Tu as déjà fait l'amour avec une fille ?
— NON ! ... euh... non, ma mère...
— Eh bien tu pourras faire un voeu car tu vas faire un gros câlin avec ma petite Sophie.
C'est de la folie ! Et, elle poursuit :
— Avec Sophie, puis avec moi.
Alors, ça je préfère encore être fouettée ! Non. J'ai encore tellement mal aux fesses. Sophie, elle est vraiment attirante, sauf que je n'aime que les garçons. Elle se couche sur le lit, un bras sous la tête, dévoilant les poils châtains de son aisselle. Son pubis aussi est recouvert d'une épaisse toison de même couleur. La mère lui dit :
— Met toi d'abord à genoux, ma chérie, je veux qu'elle enfonce sa langue dans le cul.
Sophie se mets aussitôt à genoux, les jambes bien écartées, le front posé sur ses mains jointes, les fesses en l'air. La mère enlève sa sandale. Elle est immense, cette femme doit faire du 45 de pointure. Elle frappe sur sa paume gauche et ça claque avec un méchant bruit. Elle me dit :
— Je dois te faire un dessin ?
— C'est que...
Elle me coupe :
— C'est que tu vas bien lui lécher le trou du cul et puis enfoncer ta langue dedans. Elle adore ça, Sophie, elle a toujours le trou du cul qui la chatouille. Hein, ma chérie ?
— Oui, ma mère, j'adore qu'on me fasse ça. Surtout une petite pimbêche qui ne l'a jamais fait. Il faut peut être la stimuler.
— PAF !
— Aaaaaiiieee !
Elle m'a donné un bon coup de la semelle de sa sandale sur la cuisse. Ça fait plus mal que le martinet. Je me mets à lécher à toute vitesse l'anus de la fille. Quelle horreur, dire que c'est par là qu'elle....
— PAF !
— Aaaaaiiieee !
Je gémis :
— Mais, j'obéis ma mère.
— Je sais bien... mais une seule cuisse rouge ce n'est pas possible. Allez suce lui le cul !
J'obéis. Je suce le trou du cul d'une fille. C'est vraiment dégoûtant, mais, franchement, je préfère faire ça qu'embrasser la mère sur la bouche.
A suivre.
Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les supers dessins.
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